Mardi 6 juillet
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06
/07
/Juil
22:52
Deux nouvelles canettes de bière furent versées à nouveau dans l’entonnoir, j’en avais perdu le compte mais ça devait bientôt approcher les dix. Et toute cette bière allait bien ressortir vers ma
bouche.
Alexandre se disait qu’il avait failli me tuer par deux fois déjà depuis que j’étais sous cette baignoire. La tension, un instant soulagée, était à nouveau énorme aussi bien dans ses trippes que
dans sa vessie alors il bandait ses muscles autant qu’il le pouvait pour me laisser le temps de reprendre des forces. Ma toux se calmait progressivement et Alexandre se résolut alors à relâcher
un peu d’urine, mais il avait retenu la leçon. Il pissa un coup et arrêtât jusqu’à m’entendre reprendre mon souffle. Puis il recommença.
Les monstres comprirent que le meilleur du spectacle était passé et que désormais on allait gérer cette situation désespérée. Ils avaient déjà joui, trois fois pour l’un, deux pour l’autre, alors
ils se levèrent et après avoir versé deux nouvelles canettes dans l’entonnoir, un monta sur la plateforme derrière Alexandre et le pénétra péniblement de son membre à moitié flaccide. Il n’avait
pas l’érection qu’il affichait tout à l’heure mais qu’importe puisque son but n’était que de pisser. Lui aussi avait bu plusieurs bières alors il se soulagea dans les trippes, lui donnant le
second lavement à l’urine de la journée, sachant que tout ce qui irait dans son ventre finirait dans la baignoire et qu’il serait ainsi d’autant plus pénible à Alexandre de se retenir. Il s’assit
ensuite sur le rebord de la baignoire, les fesses en porte-à-faux au dessus de l’évacuation et commença à pousser. Un long cigare brun pointa dans son cul et se déploya pendant au moins une
trentaine de centimètres avant de se détacher et de s’abimer sur le plexiglas. Délicatement avec les doigts il l’enfonça dans l’ouverture jusque dans ma bouche. J’étais au-delà de la limite de la
nausée et je devais faire des efforts surhumains pour ne pas vomir. Tout le cigare y passa et j’avalai car je ne pouvais rien faire de plus. Je devais garder le tuyau libre pour l’air.
- A moi maintenant, je vais lui rincer la bouche, dit l’autre en se positionnant pour pisser dans la baignoire.
- Arrête ! T’es con. Quand je bouffe du chocolat je veux pas me rincer la bouche pour garder le gout, répondit l’autre, et ils partirent tous les deux d’un fou rire qu’ils ne pouvaient stopper.
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Lundi 5 juillet
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05
/07
/Juil
21:49
Il réduisit le flot au maximum pour me laisser le temps de boire, sans pousser sur sa vessie, juste en détendant sa prostate, un mince filet d’urine coulait du bout du cathéter, mais son idée
était en fait une très mauvaise idée. Les assassins l’avaient bien compris, eux qui bandèrent à nouveau intensément. Tant que le liquide coulait, même lentement, dans ma bouche, je ne pouvais pas
respirer. Il aurait mieux valu qu’Alexandre pissat fort d’un coup et qu’il arrêtât immédiatement après pour me laisser le temps d’avaler avant de reprendre de l’air. Au lieu de ça, j’étais obligé
d’avaler sans cesse et sans pouvoir respirer. Alexandre ne le comprenait pas et il continuait à son rythme lent et désastreux. Étant donné la quantité qui s’était accumulé dans sa vessie ça dura
de longues minutes. Si au début j’arrivais à avaler au rythme imposé par Alexandre, j’avais de plus en plus de difficulté à mesure que mon ventre s’emplissait et que l’air me manquait. Au bout
d’une éternité le liquide s’amassait dangereusement dans le tuyau jusqu’à déborder au fond de la baignoire sans que j’aie le temps d’avaler. Je manquais d’air et j’expulsai celui que j’avais dans
les poumons afin de tenir l’apnée quelques secondes de plus. Alexandre ne savait pas que j’étais au bord de l’asphyxie et il continuait à pisser lentement. Quand allait-il comprendre que j’allais
me noyer ? Bientôt je ne pus faire autrement que d‘inspirer mais le tuyau débordant d’urine, ce n’est pas de l’air que j’inspirai. Le tuyau se vida instantanément et douloureusement dans mes
poumons et j’explosai dans une brulante quinte de toux monstrueuse. Alexandre, comprenant son erreur, stoppa immédiatement de pisser, mais l’urine qui ruisselait au fond de la baignoire continua
sa descente vers mes poumons et je m’étranglai doublement à l’inspiration rauque suivante dont le son fut abominable. Sur le canapé, à ce spectacle, le foutre fut à nouveau répandu pour la
troisième fois en moins de trente minutes.
Je me sentais mourir noyé, tué par l’urine de mon ami et amoureux. Je ruai dans les sangles, tétanisé par une douleur inhumaine, puis retombai inerte. Je l’ai tué, se dit Alexandre. Quelques
longues secondes, qui lui paraissaient des siècles, après je revins à moi dans une déflagration de toux au son épouvantable. Je voyais l’urine remonter dans le tuyau à chaque quinte mais elle y
retombait impitoyablement comme si son but était de m’achever. Petit à petit je réussissais à en boire une partie, qui n’allait pas repartir vers mes poumons, et ainsi progressivement je les
dégageai du liquide fatal.
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Dimanche 4 juillet
7
04
/07
/Juil
10:11
Je n’avais pu que prendre un tout petit peu d’air avant que la boule vienne m’interdire de respirer à nouveau. Je tirai désespérément sur mes liens même si je savais que ça ne servait à rien. Je
retentai la manœuvre en expulsant le peu d’air qui me restait mais cette fois ci l’amas se leva à peine, juste pour laisser mon souffle sortir, et retomba aspiré par mes poumons qui réclamaient
l’oxygène. Je commençais déjà à me sentir partir, un voile noir descendait devant mes yeux et la brulure du manque d'oxygène cessa, mes membres n'avaient plus de force. Alexandre était effondré
croyant m’avoir tué eu ne put se retenir, des flots de larmes envahirent ses yeux au point qu’il ne vit pas un des tortionnaires se lever et venir pousser l’amas d’excréments sur le coté,
laissant enfin l’air s’engouffrer dans mes poumons. Il me sauvait la vie in extremis afin de pouvoir me tourmenter encore plus longtemps.
- C’est trop tôt, dit-il à Alexandre. C’est pas marrant s’il meurt maintenant. J’aime trop m’amuser avec vous deux.
L'air s'engouffra avec force dans mes poumons. Un élan, bien mal placé, de compassion envers l’assassin me submergea pour m’avoir épargné temporairement. Je reprenais péniblement mon souffle et
mes fonctions vitales renaissaient. Au bout d’un court moment l’assassin tassa le morceau de merde à travers du tube afin de le faire passer dans ma bouche et je me résignai à l’avaler sous son
regard satisfait. Puis il alla se rassoir à cote de son acolyte qui se releva presque aussitôt pour aller chercher deux canettes de bière à vider dans l’entonnoir d’Alexandre avant de retourner
au canapé lui aussi pour continuer à profiter du spectacle.
La pression dans les entrailles d’Alexandre avait diminué un peu mais elle était à son summum dans sa vessie. Il savait désormais que si elle dépassait un certain niveau il ne pourrait plus
contrôler les vannes lorsqu’elles s’ouvriraient. Il se résolut dont à la faire baisser en pissant lentement espérant que je pourrai la boire malgré le fait que j’avais du avaler l’énorme quantité
sortant de ses trippes l’instant d’avant.
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Samedi 3 juillet
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12:25
Une peur panique l’envahit au moment de desserrer un peu ses sphincters, car la pression étant énorme sur eux, il sentit, au comble du désespoir, qu’il allait se vider complètement sans pouvoir
stopper le flot me condamnant irrémédiablement à une mort atroce. Dans un effort surhumain il réussit à resserrer les muscles et à arrêter les cataractes qui se répandaient de ses trippes mais un
rapide coup d’œil au fond de la baignoire lui révéla l’étendue des dégâts. Il avait du relâcher d’un coup plus d’un litre de liquide brun et nauséabond accompagné de gros morceaux et tout ceci se
déversait dans ma bouche. De mon coté, je ne pouvais juger de la quantité et j’eus juste le temps de prendre une forte inspiration avant que d’être submergé. Sur le canapé, les tortionnaires
virent le tuyau se remplir jusqu’à déborder de plusieurs centimètres au fond de la baignoire et ils se masturbaient frénétiquement.
Je ne perdis par de temps et je m’activai à avaler le plus rapidement que je pouvais. Sur l’écran on voyait ma glotte monter et descendre à un rythme effréné. J’étais proche de la panique et m’y
rapprochais à mesure que le temps passait et que mon besoin d’oxygène augmentait. La baignoire se vidait et j’eus l’espoir de réussir avant de manquer d’air me soulage mais il fut de courte
durée. Il y eut un morceau plus gros que les autres qui surnageait, et je constatai au comble du désespoir qu’il est trop gros pour passer par le tuyau. Effectivement, lorsque je réussis à avaler
les dernières gorgées le morceau se posa délicatement sur l’ouverture et l’obstrua funestement.
Les vannes de ma panique étaient ouvertes. J’avais besoin d’air et rien n’arrivait. Je me débattis violemment mais vainement dans mes liens. Alexandre me voyait et était accablé. Il ne pouvait
m’aider, suspendu à une dizaine de centimètres du fond de la baingoire. Je tirai désespérément sur les sangles qui résistaient. Je tentai enfin une dernière manœuvre en expirant vivement l’air
qui me restait dans les poumons espérant ainsi dégager le tuyau. Le morceau se souleva de quelques centimètres sous l’effet du souffle, retomba à coté de l’ouverture mais, aidé par sa forme
sphérique, roula impitoyablement et revint colmater le passage. Il y eut, venant du canapé à ce moment là, simultanément les soupirs puissants de deux orgasmes prodigieux.
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Vendredi 2 juillet
5
02
/07
/Juil
19:28
Le salaud se retira du fondement d’Alexandre qui ne put s’empêcher une fuite qui coulait le long de ses jambes, goutait dans la baignoire puis faisait un petit ruisseau qui se dirigeait
impitoyablement vers l’évacuation et ma bouche. Il serrait désespérément les fesses, meurtries par le pieu qui venait d’en ressortir, pour tarir cet écoulement et il n’y réussit qu’au bout de
longues secondes. Il ne savait pas combien de temps il allait pouvoir les garder serrées.
Assassin ouvrit une troisième canette et la vida dans l’entonnoir.
- Quand à toi, tu ne mourras pas de soif. Je viendrai régulièrement te donner à boire.
Il descendit de la plateforme et s’installa dans le canapé moisi où l’attendait son acolyte en érection pour admirer leur œuvre macabre. Pendant que le postérieur d’Alexandre subissait les
assauts d’un des tortionnaires, l’autre avait installé un astucieux système de caméras reliées à deux écrans devant leur canapé pour ne rater aucun détail. Une caméra filmait le visage crispé
d’Alexandre et leur permettait de suivre en direct ses efforts surhumains. L’autre filmait en gros plan le tuyau d’évacuation qui me rentrait dans la bouche. Ils purent ainsi contempler le filet
brun qui se déversait dans ma gorge, me voir déglutir et avaler. Celui qui n’avait pas encore joui, à ce moment là, fut à deux doigts d’exploser en geyser.
Il ne se passa pas longtemps que la poussée sur les sphincters d’Alexandre devienne intolérable et il comprit que dans peu de temps il ne pourrait plus rien retenir, d’autant plus que sa vessie
se gonflait elle aussi impitoyablement. Etait-il encore temps de faire baisser la pression en expulsant une partie tout en en contrôlant le débit ? Chose qu’il ne pourrait faire si la pression
faisait sauter toutes les vannes. Si je recevais la matière en petites quantités j’avais plus de chances de pouvoir l’avaler et de ne pas mourir noyé dedans, alors que si les digues se rompaient
et que tout était expulsé d’un coup malgré ses efforts, Alexandre était certain que je ne pourrai tout avaler avant de manquer d’air. C’était du moins la réflexion qu’Alexandre se faisait
lorsqu’il se décida à éjecter un peu des excréments et de l’urine qui emplissaient ses trippes. Il espérait seulement pouvoir en contrôler le débit.
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Jeudi 1 juillet
4
01
/07
/Juil
21:13
Alexandre était équipé du même bâillon que moi. Nous avions toujours ces plugs enfoncés dans nos fondement depuis bientôt trois jours alors que les excréments se faisaient de plus en plus
pressants et volumineux dans nos trippes, voulant sortir mais ne le pouvant. Les connaissant maintenant relativement bien nous savions tous les deux leurs intentions et nous ne nous faisions
aucun espoir. Les assassins se saisirent d’Alexandre et le firent glisser sur le rail du plafond pour le placer au dessus de la baignoire. Ils se saisirent d’un grand entonnoir se terminant par
un tuyau flexible pour le fixer au tube qui pénétrait sa bouche. Ils accrochèrent l’entonnoir à la chaine du treuil au dessus de moi pour l’éviter de verser puis ils allèrent chercher deux
canettes de bière.
- Tu vois qu’on te gâte ? On t’a pris la meilleure. Me dirent-ils en me montrant la marque sur les canettes qu’ils ouvrirent successivement pour les verser dans l’entonnoir. Alexandre ne voulait
pas avaler mais il ne put s’en empêcher. La bière envahit sa bouche et s’enfonça dans sa gorge, il but malgré lui. Il savait que bientôt ce liquide allait remplir sa vessie et qu’il lui serait
très difficile de se retenir et il savait que tout ce qu’il lâcherait dans la baignoire serait un danger mortel pour moi.
Un de nos tortionnaires défit la sangle qui maintenait en place le plug qui empêchait Alexandre de déféquer mais il était désormais hors de question qu’il vidât ses trippes, si du moins il
réussissait à se retenir. Mais pour combien de temps ? Leur machiavélisme était total. Ils ne voulaient pas nous tuer mais ils voulaient que l’un de nous tue l’autre non pas intentionnellement
mais parce qu’il n’aurait pas pu faire autrement. Ils placèrent une plateforme derrière Alexandre et l’un deux, nu et en totale érection, grimpa dessus pour positionner sa bite au niveau du cul
d’Alexandre et le pénétrer sans préparation, s’enfonçant dans sa merde. Tous ces préparatifs l’avaient excité à un tel point qu’il ne tarda pas à joui mais il ne se retira pas pour autant,
restant enfoncé jusqu’à la garde. Après un court instant Alexandre sentit une chaleur l’envahir et son ventre gonfler. Alors il comprit que l’autre pissait dans ses trippes. Le flot dura et dura
encore, il se vida la vessie pendant de longues minutes, emplissant les trippes qui étaient déjà distendues par les excréments qu’il n’avait pu expulser depuis trois jours et compromettant
dramatiquement ses possibilités pour continuer à se retenir. Je me dis alors que mes dernières heures avaient sonné. Alexandre pensait de même et éclata en sanglots.
- Ton amoureux va rester là-dessous pendant au moins vingt quatre heures, il ne tient qu’à toi qu’il y survive.
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Mercredi 30 juin
3
30
/06
/Juin
21:35
Les effets du sédatif commençaient à se dissiper alors que ces monstres finissaient de m’attacher sur une grande planche munie d’une multitude d’anneaux. Ils m’avaient déjà immobilisé à l’aide de
sangles qu’ils passaient dans les anneaux et mis un bâillon muni d’un tube inséré profondément entre les dents afin de m’interdire de refermer la bouche. Pour rentre ce dispositif étanche ils
m’entourèrent la tête de plusieurs tours de ruban adhésif, fermant tous mes orifices à l’excusions de mes yeux. Voulaient-ils pouvoir lire ma terreur dans mon regard ou voulaient-ils l’augmenter
par le spectacle de ce qui se passait ? Ils me placèrent des cales de chaque coté de ma tête, bien serrées, m’empêchant de la tourner vers la droite ou la gauche. Avec la sangle qui me prit prend
le front et celle qui passait dans mon cou j’avais la tête impitoyablement immobilisée. Ils se saisirent ensuite de la baignoire en plexiglas transparent et l’installèrent au dessus de moi,
l’évacuation connectée au tube qui me rentrait dans la bouche.
Quand à Alexandre, il était suspendu dans un harnais qui lui serrait tout le corps, accroché au treuil par des chaînes, le cathéter inséré dans son urètre pendait entre ses jambes, maintenu par
les pansements. Nous voyant éveillés tous les deux, dans un éclat de rire, ils dirent à Alexandre :
- Tu vois comme c’est ingénieux. Ton amoureux ne peut que respirer par la bouche puisque je lui ai bouché le nez. S’il veut vivre il devra s’efforcer de laisser le tube vide. Comment ? A lui de
découvrir !
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Mardi 29 juin
2
29
/06
/Juin
23:23
D’où sortirent-ils à leur retour ce grand moment de compassion ? Ils me firent redescendre. Les jerricans posèrent d’abord sur le sol me soulageant d’une cinquantaine de kilos au bas mot, puis je
touchai terre enfin et je perdis à mon tour connaissance.
Je revins à moi dans la cage où nous avions été enfermés en arrivant dans cette maison de l’horreur. J’avais toujours les mains attachées dans le dos, et la bouche bâillonnée remplie d’un morceau
d’Alexandre. Alexandre était dans la cage voisine mais suffisamment éloignée de la mienne pour qu’on ne puisse même pas se toucher du bout des doigts si on avait pu tendre nos bras le plus
possible entre les barreaux. Quelques heures plus tard ils vinrent nous placer un plug gonflable, profondément enfoncé dans nos fondements, maintenus par un harnais de cuir cadenassé pour qu'on
ne les expulse pas. Ils remplirent d’air ces bouchons et nous abandonnèrent. On ne pouvait plus déféquer. Nous allions certainement nous remplir jusqu’à exploser. Ce nouveau jeu occasionnerait
beaucoup d’épanchements de semence de la part de nos bourreaux.
Nous passâmes plusieurs jours ainsi. Nous étions nourris par nos tortionnaires qui ne nous détachèrent pas les mains. Nous aurions pu refuser de manger mais on n’avait plus la force de nous
rebeller. La blessure d’Alexandre était soignée et pansée quotidiennement, preuve qu’ils voulaient continuer à user de nous longtemps.
Puis arriva cette journée terrifiante qui commença par l’application sur nos visages d’un tampon de chloroforme.
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Lundi 28 juin
1
28
/06
/Juin
19:49
Alexandre s’en saisit, il n'avait plus le temps de tergiverser, résigné il l’approcha de ses bijoux pour les trancher. Dans un éclair de lucidité je pus lui crier de ne pas le faire mais
mes mots ne furent pas entendus. J’en oubliais ma souffrance physique, je préférais mourir pour le préserver, mais je n’étais pas maitre du bras d’Alexandre. Le couteau s’abattit. Le membre ne
fut pas tranché. L’entaille, bien que sérieuse, n’était pas suffisante. Le sang gicla avec force et Alexandre s’écroula sans connaissance.
- T’as pas de chance, plaisantèrent-ils. En plus qu’il perd sa bite il va même pas te sauver.
Et ils rigolaient en se branlant de plus belle. Alexandre revint à lui et, s’apercevant des dégâts, hurla son désespoir. Il reprit le couteau mais n’avait plus la force de faire le mouvement
définitif pour s’amputer, ses membres tremblaient et ses yeux étaient inondés de larmes. Enfin il y arriva et dans un ultime mouvement fatal détacha définitivement et irrémédiablement ce que
j’adorais tant chez lui. Il perdit connaissance à nouveau. Les bourreaux déversèrent leur semence. Satisfaits du spectacle, ils allèrent lui panser la plaie. Un se saisit du membre coupé,
s’approcha de moi, me fit ouvrir la bouche et il y enfonça cette partie d’Alexandre que j’avais tant de fois prise en bouche avec un si grand plaisir et qu’aujourd’hui on me l’y mettait dans un
déchirement de mon cœur dont la douleur dépassait et occultait cette de mes couilles. Il me bâillonna à nouveau emprisonnant ce morceau d’Alexandre dans ma bouche. Puis ils chargèrent Alexandre
inerte pour le transporter vers le sous-sol me laissant toujours pendu, le jerrican se remplissant encore.
- Il aurait du venir appuyer sur le bouton avant de s’évanouir, dirent-ils, dans un éclat de rire, en partant. Puisqu’Alexandre n’avait pu actionner le treuil, me laisseraient-ils pendre jusqu’à
mort s’en suive ?
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Dimanche 27 juin
7
27
/06
/Juin
09:58
Ils approchèrent ensuite d’Alexandre une table roulante avec le grand couteau de cuisine qui avait failli servir contre l’intrus.
- Pour soulager ton copain, le bouton blanc, lui dirent-ils et ils s’éloignèrent.
Alexandre se saisit du couteau et leur jeta avec une rage infinie. Mais quand on n’est pas bien calme on ne vise pas bien. Le couteau alla se ficher dans le mur.
- Ainsi tu veux le laisser pendre comme ça ? On a pas l’intention de le redescendre.
- Ni de couper l’eau, ajouta l’autre.
Alexandre pleura, implora, gémit, me mit à genoux. Eux ne bougeaient pas. Ils s’étaient installés dans un canapé moisi et se branlaient en regardant le jerrican se remplir. J’étais fou de
douleur, je n’allai pas supporter ça très longtemps encore et j’en mourrais même si mes couilles résistaient. On ne peut pas vivre en souffrant autant.
Quand le premier jerrican déborda, j’avais encore ma conscience mais je ne pouvais plus réfléchir à rien, toute ma pensée était absorbée par mes couilles qui allaient s’arracher d’un instant à
l’autre. Un plaça le tuyau dans l’ouverture du deuxième jerrican. L’autre déficha le couteau du mur et, sans dire un mot, le reposa sur la table roulante proche d’Alexandre.
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Samedi 26 juin
6
26
/06
/Juin
10:52
L’urine frappait le fond de ma gorge et ressortait m’inondant le visage, me privant de respiration et m’aveuglant. L’autre revenait avec trois grands jerricans vides de trente litres qu’il
accrocha sous moi à mes chevilles. Comme ils touchaient le sol ils manœuvrèrent le moteur du treuil pour m’élever encore. L’autre plaça une plateforme devant ma tête pour revenir enfoncer son
pieu dans ma bouche. Dans l’ouverture d’un jerrican l’autre glissa un tuyau souple qui laissait couler un filet d’eau. Le réservoir allait se remplir augmentant progressivement le poids qui
serait supporté par mes couilles jusqu’à ce que mon dos se brisât ou que mes couilles s’arrachassent. Si elles supportaient péniblement mon poids, elles ne pourraient supporter quatre-vingt dix
kilos de plus. Le second jerrican serait rempli si le premier ne suffisait pas, puis le troisième. Celui dans ma bouche donnait de petits coups de reins qui générèrent un mouvement de balancier à
mon corps. Il bandait totalement désormais et il n’avait plus besoin de bouger, en pendulant pendu par mes couilles il rentrait jusqu’à la garde puis ressortait jusqu’au grand sans rien faire
jusqu’à déverser son foutre dans la gorge.
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Jeudi 24 juin
4
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/Juin
19:47
S’apercevant de ma détresse ils arrachèrent le bâillon et je pus vomir tout mon saoul. Mon supplice allait donc continuer. Ils ne voulaient pas écourter leur plaisir par ma mort trop tôt hâtive.
A mon grand étonnement mes bourses résistaient, certainement grâce à mon très faible poids puisque j’avais énormément maigri depuis que j’étais séquestré ici, et je continuais de m’élever. Ils
arrêtèrent le moteur lorsque je fus à environ un mètre du sol. Je ne m’étais pas évanoui malgré la douleur immense. Un des bourreaux se saisit d’une poignée de pinces à linge puis se plaça devant
ma tête et la poussa en arrière, je ne résistai pas pour ne pas accroitre la tension sur mes bourses, il força mes mâchoires que j’ouvris docilement et il s’introduisit son membre flaccide dans
ma bouche et se mit à pisser.
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Mercredi 23 juin
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/06
/Juin
22:26
Le treuil n'était pas arrêté et le supplice augmentât encore, comment étais-ce possible ?, quand mes épaules décollèrent à leur tour. La tête basculée au maximum en arrière je cherchais à garder
le contact avec le sol. Mais ça ne dura pas bien longtemps. Le sommet de mon crane décolla enfin dans une douleur inimaginable pour celui qui ne l’a pas connu et indescriptible avec les mots de
notre langue. La nausée et l’étourdissement me vint. A la limite de l’évanouissement je vomis. J’avais toujours le scotch qui me bâillonnait, ma bouche se remplit de sucs gastriques qui ne
trouvant pas d’issue s’évacuèrent par le nez. J’allais mourir étouffé par mes régurgitations. J’allais laisser Alexandre seul entre les mains de ces monstres.
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Mardi 22 juin
2
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/Juin
22:49
Ils l’actionnèrent tendant tout d’abord le câble qui soulevait le crochet, puis tirant impitoyablement mes bourses, m'obligeant à décoller les fesses du sol en me cambrant pour tenter de diminuer
ou du moins de retarder le douloureux étirement qui me faisait craindre l’arrachement de mes bijoux. Le treuil fonctionnait encore à vitesse réduite. Mes genoux décollèrent du sol dans une
immense souffrance. J'avais encore les orteils au sol mais il n'y restèrent que quelques secondes de plus et je ne reposai plus que par les épaules. La douleur était insupportable et je ne savais
comment mes couilles restaient attachées à mon corps.
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Lundi 21 juin
1
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/Juin
22:37
Ils me détachèrent pour me rattacher tout de suite après, allongé sur le sol, les poignets et les chevilles reliées ensemble dans mon dos, jambes bien pliées, talons touchant les fesses. Je les
laissai faire sachant que je ne pourrai que les retarder en me débattant mais qu'ils arriveraient malgré tout à leur but. Ils enfermèrent ensuite mes couilles dans une sorte de parachute en cuir
fermé par une courroie et équipé de courtes chainettes, laissant mon membre hors du dispositif. Après s'être assuré de la solidité du dispositif et tirant, douloureusement pour mes couilles,
dessus, je les vis avec effroi manœuvrer le treuil pour l’amener au dessus de moi et relier les chainettes au crochet.
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