Introduction

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Ce blog est un récit romancé. Pour le suivre, il faut entamer la lecture par l'article le plus ancien.


Sans doute, beaucoup de tous les écarts que tu vas voir peints te déplairont, on le sait, mais il s’en trouvera quelques-uns qui t’échaufferont au point de te couter du foutre, et voila tout ce qu’il nous faut. Si nous n’avions pas tout dit, tout analysé, comment voudrais-tu que nous eussions pu deviner ce qui te convient ? C’est à toi à la prendre et à laisser le reste ; un autre en fera autant ; et petit à petit tout aura trouvé sa place.

Sade

 

 

Malheur, cent fois malheur à la créature infortunée qui, dans un pareil abandon, se trouvait à la merci d’un scélérat sans loi et sans religion, que le crime amusait, et qui n’avait plus là d’autre intérêt que ses passions et d’autres mesures à garder que les lois impérieuses de ses perfides voluptés.

Sade

Samedi 1 mai 6 01 /05 /Mai 20:26

Je m’appliquais à le lui rendre propre, après tout, ça ne venait que d’Alexandre. Il me pilonna la bouche sans ménagement et aussitôt son membre nickel il retourna là d’où il était sorti, remplaçant son sexe par celui d’Alexandre dans ma bouche, et recommença le pistonnage intensif du postérieur de mon amoureux. Je prodiguais à Alexandre des caresses suaves et savantes qui le faisaient bander de plus en plus intensément. J’étais terriblement excité et j’en avais oublié l’horreur de notre situation. Les enculeurs s’interrompaient régulièrement pour pénétrer mos bouches, celui jusqu’à leurs jouissance presque simultanées dans nos deux fondements.

En nous ramenant à la cellule, un des bourreaux s’aperçût du regard furtif que je portai au crâne qui se trouvait sur la troisième étagère.

- Hervé, confirma-t-il. C’est triste qu’il n’ait pas de compagnie, mais bientôt il aura de nouveaux copains.


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Jeudi 29 avril 4 29 /04 /Avr 20:14

Aussitôt après une vive douleur m’annonça que mon fondement subissait les mêmes sévices et une douce chaleur humide que mon membre était englouti. Je voyais le vit, à quelques centimètres de mes yeux, entrer et sortir du derrière de l’être qui m’était le plus cher et se colorer progressivement de marron. Malgré l’inconfort de la situation et la terreur qui m’habitait, ma bite prenait du volume ce qui déclencha la même mécanique dans celle d’Alexandre. Au bout de quelques minutes de va-et-vient, entre ses reins, l’enculeur se retira pour plonger dans ma bouche jusqu’à la garde, me donnant à gouter aux excréments d’Alexandre qui maculaient son membre.

- Nettoie, ordonna-t-il.


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Mercredi 28 avril 3 28 /04 /Avr 19:39

Quelques jours après ils vinrent nous chercher pour nous conduire dans la salle de tortures. Dans le couloir que nous primes je remarquai la vitrine, que j’avais déjà remarqué lors de la séance fatale pour Hervé. Elle contenait alors deux étagères remplies de quatre crânes chacune. Cette fois-ci un nouveau crâne était posé sur la troisième étagère.

Dans la salle ils me couchèrent de dos sur une plateforme, les mains attachés le long du corps, les jambes repliées écartées sur mes flans, la tête dépassant de la plateforme renversée en arrière, le bassin dépassant de l’autre coté, mon cul et ma bouche disponibles pour tous les assauts sexuels. Ils revinrent avec Alexandre qu’ils installèrent tête bêche au dessus de moi, ses fesses proches de ma bouche et sa tête au dessus de mes fesses. Un des bourreaux me donna sa bite à sucer me recommandant de bien la lubrifier, puis, sortant de ma bouche dans laquelle il plaça le sexe flaccide d’Alexandre, il s’enfonça sans ménagements dans son fondement tout proche.


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Mardi 27 avril 2 27 /04 /Avr 22:26

J’expliquai à Alexandre que ses parents allaient s’apercevoir de notre disparition et qu’ils lanceraient la police à notre recherche, qu’elle allait nous retrouver et nous libérer et que les assassins d’Hervé allaient payer pour leur crime, mais je ne croyais pas à ce que je lui disais.

Pendant quelques jours nos tourments vont cessèrent même s’ils vinrent se satisfaire dans le fondement de l’un ou de l’autre. Les assassins nous traitèrent même assez bien. Ils nous nourrissaient régulièrement avec de délicieux plats de viande cuisinée avec art que nous engloutîmes avidement. Horreur absolue, au bout d’une semaine ils nous apprirent que nous avions mangé Hervé.


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Lundi 26 avril 1 26 /04 /Avr 19:23

Ils nous avaient amené dans une cellule, Alexandre et moi seulement. Ils nous mirent chacun un collier métallique avec une chaine qui passait dans un anneau fixés au mur et qui ressortait de la cellule. Les anneaux d’Alexandre et le mien étaient fixés aux murs opposés de la cellule. Ceci leur permettait de nous séparer, en tirant sur les chaînes, et nous bloquer contre les murs afin qu’on ne puisse pas les attaquer simultanément quand ils rentraient dans la cellule. Nous somment toujours nus mais ils avaient nettoyé nos corps. Dans un coin il y avait une bassine où nous pouvions faire nos besoins. Alexandre pleura longtemps. J’étais révolté et furieux et je me retins de sangloter tant que je le pus puis les larmes s’amassèrent dans mes yeux.


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Dimanche 25 avril 7 25 /04 /Avr 09:16

Ses bourreaux, déçus, n'allaient pas avoir le spectacle attendu. Ils abandonnèrent Alexandre. Pour sortir Hervé de la cuve ils lui placèrent au cou un collier en cuir muni d'un anneau à l'arrière qu'ils accrochèrent au treuil, puis le soulevèrent jusqu’à le sortir totalement du liquide. Dépités de l'échec de leur tentative ils quittèrent la pièce nous laissant ainsi, moi suspendu au dessus d'une cuve que je continuais à remplir, Alexandre attaché sur un sling, Hervé pendu par le cou.

Il se débattit longtemps, ne pouvant presque pas prendre d’air. La vie est décidément coriace et y renoncer est bien difficile tant qu’il y a de l’espoir, et il y a toujours de l’espoir tant qu’il reste un souffle de vie. Les minutes passaient, interminables, et les bourreaux ne revenaient pas. Quand enfin ils revinrent, Hervé ne bougeait plus.


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Samedi 24 avril 6 24 /04 /Avr 11:59

La fois suivante pouvait lui être fatale mais au moins allait-il être délivré de ces bourreaux.Il prit une forte inspiration et se posa au fond de la cuve pour se reposer un peu. Malgré des efforts surhumains je ne réussis pas à retenir ma vessie et quand il revint à la surface, le niveau ayant monté et il échoua à sortir son nez du liquide. Lorsque celui-ci pénétra ses poumons la douleur fut telle et il se débattit tant qu'il en arracha les clous qui reliaient les deux planchettes emprisonnant ses couilles, pouvant ainsi se redresser et s'extraire jusqu'aux épaules de l'eau meurtrière qui se colorait en rouge, et reprendre souffle au milieu d'une cascade de toussotements et de crachats, recrachant ce qu’il avait respiré. Il était sauvé. Pour un temps limité du moins.


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Vendredi 23 avril 5 23 /04 /Avr 20:35

C’est lorsqu’il s’étouffa pour la première fois, buvant la tasse et toussant à s’arracher les poumons, que nos tortionnaires jouirent, un dans le fondement d’Alexandre, l’autre dans sa gorge. C’est bien nos souffrances qui les excitaient jusqu’à l’orgasme. Mais ça ne leur suffisait pas, sans se retirer des trous d’Alexandre ils reprirent leurs mouvements s’extasiant des toussotements, entremêles de cris de douleur, d’Hervé qui avait failli se noyer.

Il réussit à grand peine à récupérer un peu mais ce fut de courte durée. Ils avaient rajouté deux bouteilles d'eau dans l'entonnoir et je ne pus me retenir de pisser bien longtemps.


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Jeudi 22 avril 4 22 /04 /Avr 22:30

Régulièrement aussi ils venaient verser d’importantes quantités d’eau dans mon entonnoir que j’avais beaucoup de mal à avaler sans pouvoir reprendre ma respiration. Je pissais presque sans discontinuer dans le cylindre dont le niveau de liquide s’élevait dangereusement. Hervé devait tirer sur ses couilles meurtries et saignantes pour sortir son nez du liquide afin de prendre de l’air. Pour l’épargner peut être aurais-je du me laisser noyer moi-même par l’eau qu’ils versaient dans l’entonnoir mais je ne voulais pas laisser Alexandre seul aux mains de ces barbares et, de plus, j’étais certain que cela n’épargnerait pas Hervé. Celui-ci se reposait maintenant au fond du cylindre pour soulager ses cuisses et ses bourses et ne remontait à la surface que quand il manquait d’air.


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Mercredi 21 avril 3 21 /04 /Avr 20:29

Leurs bites se tendaient. Nos angoisses et nos souffrances les excitaient au plus haut point. Ils n’allaient avoir aucune pitié. Notre sort était tragiquement désespéré.

Ils le prirent par devant et par derrière sans ménagement. Ils avaient jute craché un peu sur sa rondelle avant de lui défoncer le cul sauvagement. Sa plainte fut étouffée par la bite qui s’enfonçait dans sa gorge à travers d’anneau lui soulevant l’estomac et risquant à tout moment de le faire vomir. Régulièrement ils changeaient de place, celui qui le pénétrait par derrière venait devant, sans même s’essuyer la bite, et l’autre allait à l’arrière.


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Mardi 20 avril 2 20 /04 /Avr 23:02

Si les muscles d’Hervé lui permettaient de tenir suffisamment longtemps c’est mon urine qui allait le noyer. J’en pleurais de dépit. Ils me placèrent un pince à linge sur le nez afin de m’obliger à respirer à travers le tuyau, donc à le vider pour ce faire, ce qui ne pouvait être fait qu’en buvant, et versèrent une demi bouteille d’eau dans l’entonnoir. Puis, me laissant ainsi, ils allèrent s’occuper d’Alexandre.

Il fut attaché sur un sling. Ils lui installèrent un anneau entre les dents, retenu par une lanière à l’arrière de sa tête, ainsi il ne pouvait mordre celui qui voulait pénétrer sa bouche. Alors qu’ils lui retiraient le bâillon pour lui mettre l’anneau, il les implora de cesser ces horreurs. Mauvais calcul ! Un des bourreaux s’exclama :

- Oh putain ! Un peu plus et il me faisait juter. Vas-y supplie encore.


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Lundi 19 avril 1 19 /04 /Avr 20:10

Puis ils remplirent d’eau le cylindre jusqu’à ce qu’Hervé soit obligé de se relever pour garder la tête hors de l’eau. Mais la ficelle qui lui relie les couilles à la planche du fond étant trop courte il devait rester accroupi. S’il tirait sur ses cuisses il augmentait ses souffrances. S’il les relâchait il se noyait. Le principe était effroyable. Il ne pouvait pas tenir bien longtemps. La mort allait enfin le délivrer mais qui est disposé à mourir sans se battre jusqu’au dernier souffle ?Ils me suspendirent à nouveau aux treuils et m’amènent à la verticale du cylindre et alors, enfin, ils me retirèrent le short en latex qui m’obligeait à reboire indéfiniment mon urine. Celle-ci s’écoulait désormais dans le cylindre, faisant monter, petit à petit, impitoyablement, le niveau.


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Dimanche 18 avril 7 18 /04 /Avr 09:13

Hervé, qui avait repris connaissance, fut détaché de son carcan mais son calvaire n’était pas fini. L’horreur de la situation était à son comble et j’en tremble à la décrire. Les clous avaient traversé les bourses d’Hervé de part en part et s’étaient fichés dans la planchette qui était sous ses couilles. Ils l’assirent sur une plaque de bois ronde munie de quatre anneaux sur sa circonférence et d’un autre à son centre. Une ficelle fut attachée à cet anneau puis à un des clous qui avaient percé les couilles d’Hervé, trop courte pour qu’Hervé puisse tendre ses jambes une fois debout. Ils attachèrent des chaines aux anneaux disposés sur les bords de la plaque pour l’accrocher au treuil. Ils le soulevèrent ainsi du sol, installèrent le cylindre transparent sous lui et le firent redescendre à l’intérieur.


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Samedi 17 avril 6 17 /04 /Avr 08:58

Je compris que lorsque mes fesses poussaient la feuille de plexiglas les clous perforaient les bourses d’Hervé, mais lorsque dans un effort désespéré je me hissais à nouveau, les ressorts repoussaient la tablette cloutée pour les extraire les clous des bourses d’Hervé, ainsi à la prochaine fois que mes fesses allaient pousser la feuille les clous allaient percer une nouvelle fois les bourses renouvelant à l’infini les mêmes tortures. La seule façon d’en finir, car nos bourreaux n’interrompraient pas d’eux même, était de relâcher totalement nos muscles infligeant une atroce douleur à Hervé mais qui, au moins, serait la dernière. A contre cœur c’est ce que je fis, suivi aussitôt par Alexandre qui comprit mon raisonnement. Le cri que poussa Hervé nous horrifia ; heureusement il s’évanouit, façon pour lui de s’échapper à cet enfer.


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Vendredi 16 avril 5 16 /04 /Avr 20:44

Ils firent respirer un flacon à Hervé qui revint à lui, puis ils manipulèrent le treuil pour nous faire redescendre. Il était au comble du désespoir et fondit en larmes. Nos muscles, déjà endoloris, ne pourraient plus nous supporter longtemps. Les contractions involontaires ne tardèrent pas à réapparaitre et bientôt nos fesses poussèrent sur la feuille de plexiglas. Hervé poussa de nouveaux hurlements sans s’évanouir. Que pouvions-nous faire pour lui épargner ou pour lui écourter ce supplice ? Rien ! Alors qu’Hervé poussait un nouveau cri, un gémissement, suivi rapidement d’un autre, nous apprit l’orgasme de nos deux bourreaux qui, nous l’espérions, mettrait enfin un terme à cette horreur. Notre espoir fut déçu. Ils ne bougeaient pas d’un pouce et continuaient à contempler le spectacle atroce qu’on leur donnait. Et ce spectacle ne faisait que commencer.


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