Introduction

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Ce blog est un récit romancé. Pour le suivre, il faut entamer la lecture par l'article le plus ancien.


Sans doute, beaucoup de tous les écarts que tu vas voir peints te déplairont, on le sait, mais il s’en trouvera quelques-uns qui t’échaufferont au point de te couter du foutre, et voila tout ce qu’il nous faut. Si nous n’avions pas tout dit, tout analysé, comment voudrais-tu que nous eussions pu deviner ce qui te convient ? C’est à toi à la prendre et à laisser le reste ; un autre en fera autant ; et petit à petit tout aura trouvé sa place.

Sade

 

 

Malheur, cent fois malheur à la créature infortunée qui, dans un pareil abandon, se trouvait à la merci d’un scélérat sans loi et sans religion, que le crime amusait, et qui n’avait plus là d’autre intérêt que ses passions et d’autres mesures à garder que les lois impérieuses de ses perfides voluptés.

Sade

Samedi 13 février 6 13 /02 /Fév 17:01

De la main j’arrêtai Alexandre. Il me demanda si tout allait bien. Je lui fis signe de la tête que oui et je dis à haute voix :

- Si vous voulez voir mieux vous pouvez entrer.

Une cavalcade dans le couloir nous fit éclater de rire. Ils n’avaient même pas pris la peine de refermer la porte. Nous étions encore en train de rire que la porte s’ouvrit un peu plus pour laisser le passage à Grégory qui, tout penaud, nous demanda :

- C’est vrai que je peux regarder ?

Notre hilarité redoubla. Elle était contagieuse car Grégory rigola aussi. Quand on réussit à se calmer on lui signifia qu’il pouvait aussi participer s’il le souhaitait. Il n’avait aucune expérience. Il avait bien couché deux ou trois fois avec des filles mais ce n’était pas allé très loin. Alors il préféra rester en retrait et observer. Mais malheureusement notre excitation était partie, emportée par l’ouragan de notre rire. Et nous étions troublés par la présence de notre spectateur. On reprit alors les préliminaires afin de faire grossir les outils qui devaient servir à l’office.

Au petit déjeuner les discutions tournèrent irrésistiblement autour du sexe. Grégory se vantait de ne plus être puceau, il avait couché une fois avec Magalie et deux avec Justine.

- Il n’y a plus que Kévin qu’est puceau, s’exclama-t-il dans un rire.

- Chuis pas puceau, répondit timidement Kévin en rougissant.

 


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Vendredi 12 février 5 12 /02 /Fév 19:51

A nos questions Grégory nous expliqua que tout était faux mais qu’il en avait assez de ce climat et qu’il avait envie de choquer le plus possible toute cette satanée famille « bien pensante » qu’il ne supportait plus. Il avait réussi son coup au-delà de ses espérances. Leur téléphone portable ne cessait de sonner. Tantôt c’était papa, tantôt maman, tantôt un cousin puis le père d’Alexandre. Il fut convenu qu’ils rentreraient chez eux le lendemain. L’appartement était suffisamment spacieux et nous pouvions coucher Grégory et Kévin chacun dans sa chambre.

Cette journée spéciale nous avait bien excités et je demandai à Alexandre de me rendre ce que je lui ai donné à la distribution des cadeaux. En me montrant son membre tendu et en me flattant les fesses il me dit qu’il y était tout disposé. Je me couchai sur le dos, les jambes relevées contre son torse. Il cracha dans sa main, me lubrifia le cul puis y présenta son vit qui pulsait de désir. Nous essayions d’être moins démonstratifs acoustiquement que lors de notre dernière partie de jambes en l’air. Alexandre pénétra mon cul et se saisit de ma bite raide qu’il branla délicieusement. J’étais aux anges mais j’entendis tout de même la porte de la chambre s’entrouvrir même si celui qui l’ouvrait essayait d’être le plus silencieux possible. Alexandre, tout à son plaisir, n’avait rien remarqué et je décidai de ne rien lui dire. J’évitai de regarder directement en direction de la porte pour ne pas effaroucher celui qui, témérairement et clandestinement, venait se rincer les yeux à notre spectacle, mais dans la glace qui en reflétait l’image je découvris Kévin. Je fus étonné, j’aurais pensé que ce serait plutôt Grégory qui aurait eu cette initiative. Bientôt je découvris que je ne me trompais qu’à moitié lorsqu’au dessus du visage de Kévin je vis apparaitre celui de son frère. Ils étaient venus tous les deux nous espionner en douce et apprendre de nouvelles choses.


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Jeudi 11 février 4 11 /02 /Fév 22:59

Quand nous redescendîmes les seuls qui nous regardaient sont les jeunes qui arboraient un immense sourire sur leurs visages. Les parents d’Alexandre étaient cramoisis de honte. Les grands-parents faisaient des prières. Ce fut Grégory qui brisa la glace en proposant de passer au dessert. Alors nous nous attablâmes tous et les discutions reprirent.

- C’est très agréable de se faire enculer, dit Grégory au milieu des diverses conversations qui s’arrêtèrent instantanément. Puis il continua dans un silence de mort, je le fais aussi souvent que je peux.

Tous les regards étaient sur lui puis, fier, il reprit :

- J’aimerais bien avoir un copain qui m’enculerait chaque jour mais… pour l’instant j’en ai plusieurs, surtout Youssef et sa grande bite noire. Et puis, Hamed, le rebeu le plus pervers du monde.

Scandale chez les grands-parents qui étaient au moins autant racistes qu’homophobes. Les cris et les hurlements fusaient. Tout le monde dut déguerpir illico, la fête était finie. Les parents de Grégory s’y mirent aussi, les noms d’oiseau volaient bas. Kévin s’enfuit à l’anglaise vers sa chambre alors que Grégory tenait tête à son père. Les grands-parents remontèrent dans leur chambre en demandant qu’il ne restât personne quand ils redescendraient. Kévin revint peut de temps après avec son sac et celui de Grégory et il le tira par le bras pour partir en plantant là ses parents. Alexandre que je n’avais pas vu disparaitre arriva de même et nous partîmes en compagnie de ses neveux, laissant tata Mariette, tatie Danielle et la mère des enfants en pleurs, le père hurlant des insanités que la décence m’interdit de citer ici. Édouard et tonton François assis dans des fauteuils terminant leur morceau de buche en sirotant une coupe de champagne et devisaient on ne sait de quoi comme si rien ne se passait. On n’eut pas de mal à trouver un taxi qui nous amena à la gare. On proposa aux enfants, qui étaient à peine plus jeunes que nous, de les héberger pour la nuit ou pour le temps qu’il faudrait.


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Mercredi 10 février 3 10 /02 /Fév 21:13

Nous passâmes Noël dans la famille d’Alexandre près de Deauville. C’est une grande bâtisse familiale en pierre de taille sombre qui ressemble à un manoir écossais rempli de fantômes. Elle est construite sur un promontoire rocheux face à la mer, dotée de deux étages, plus celui des domestiques qui n’était plus occupé que par la cuisinière. C’étaient les grands-parents d’Alexandre qui l’habitaient. Je savais que sa famille était pleine aux as mais devant ce petit château je restai sur le cul. Ils voulaient nous faire dormir dans deux chambres séparées mais Alexandre s’y opposa violemment. Il redoubla de colère lorsqu’ils nous proposèrent une chambre dotée de deux lits séparés. Il menaça de repartir illico alors on finit finalement dans une superbe chambre avec lit à baldaquins face à une fenêtre qui donnait sur un balcon d’où le spectacle de la mer était grandiose. Alexandre m’avoua que c’était une des plus belles chambres de la maison.

La distribution des cadeaux se fit le 25 à midi, entre les plats et les desserts, lorsque toute la famille fut assemblée. Je reçus comme cadeau un livre de prières, Alexandre une invitation pour un stage de conversion qui prétendait le « guérir » de sa péditude (homosexualité était le mot inscrit sur le prospectus). Il montra la plus vive joie et se jeta à mon cou pour m’embrasser goulûment devant tous les convives en caressant ma braguette ostensiblement. Il me dit haut et fort « Je veux que tu m’encules. » Évidement ça fit scandale, c’était précisément le but recherché par Alexandre pour se venger de ce monstrueux cadeau. Il me tira par la main et nous montâmes dans la chambre. Les autres convives restaient muets ou marmonnaient des incantations. Certains firent le signe de croix. Nous ne nous enfermâmes pas dans la chambre mais laissâmes intentionnellement la porte entrebâillée. Alexandre se déshabilla, m’arracha presque mes vêtements et il m’offrit son cul. Je le limai longuement et bruyamment. Lui exprima son plaisir aussi fort qu’il le put afin que tout le monde l’entende. De choquer toute cette bande de bien pensants catholiques homophobes (est-ce un pléonasme ?) m'excitait presque autant que de recevoir de douloureux sévices. Quelqu’un qu’on ne vit pas vint refermer la porte alors qu’Alexandre hurlait « oh oui ! Défonce-moi le cul ! »


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Mardi 9 février 2 09 /02 /Fév 22:21

Ce samedi nous faisions les courses de Noël. Noël approchait et nous étions invités tous les deux dans la grande maison familiale des grands-parents d’Alexandre près de Deauville. Alors aujourd’hui c’était la corvée des cadeaux. C’était surtout Alexandre qui devait se casser la tête car, hormis ses parents, je ne connais personne de sa famille. Il allait y avoir les grands-parents, les parents, tata Mariette, tonton François son mari, tatie Danielle veuve depuis vingt ans, cousin Fredo et sa femme Mauricette, cousin Edouard, célibataire endurci de trente cinq ans qui n’avait jamais présenté la moindre conquête, ni féminine ni masculine à personne, les enfants de Fredo, Kevin et Gregory, et nous deux. Une journée ne nous suffit pas, nous décidâmes de continuer le Samedi d’après.

Avec RV84 nous avions enfin convenu de nous rencontrer en janvier. Le scénario était presque au point et promettait d’être bien excitant. Alexandre était presque aussi impatient que moi. On en parlait souvent et à chaque fois ça nous échauffait au point que nous devions nous soulager réciproquement par des actes immoraux qui nous faisaient le plus grand bien.


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Lundi 8 février 1 08 /02 /Fév 20:22

Nous eûmes eu la surprise de la visite de Benjamin plusieurs semaines après qu’il se soit enfui penaudement après avoir déchargé. On sonna à la porte et c’était lui, rouge de honte, n’arrivant pas à s’exprimer. Lorsque, en sortant de chez nous, il avait rejoint sa copine et tenté de l’embrasser pour se faire pardonner, celle-ci ne s’était pas laissé faire, ne pouvant ne pas sentir son haleine. Il avait du s’expliquer et, comme le font presque toujours les hommes infidèles, il mentit effrontément. Sauf que bien souvent un mensonge se retourne contre celui qui le profère. Sa copine, qui l’avait suivi au sortir du Jardin des Tuileries, lui balança qu’elle l’avait vu en train de lécher et d’embrasser un garçon couvert de merde. Sur ce, elle lui demanda de prendre ses affaires et d’aller voir ailleurs si elle y était. Ailleurs elle n’y était pas mais il y était allé voir tout de même. Et depuis il était retourné chez ses parents où il ne l'a pas plus trouvé. Il se disait toujours hétéro mais cette aventure avait chamboulé beaucoup de choses chez lui. Il désirait la renouveler. Alexandre lui proposa même de lui pondre un œuf dans le gosier. Il en fut enchanté. Un sursaut que l’on aperçut sous sa braguette nous le prouva. L’affaire le fit décharger voluptueusement mais à peine avait-il déchargé qu’il fuit comme la première fois. On l’observa depuis la fenêtre sortir de l’immeuble et vomir sur le trottoir. Décidément, que c’est pénible ces gens qui n’assument pas leurs fantaisies.


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Dimanche 7 février 7 07 /02 /Fév 20:04

Ceci nous avait bien échauffés. Nous nous imaginons, Alexandre et moi, en espions de sa gracieuse Majesté (plus classe qu’espions français ou de la CIA), je nous voyais bien en Jason Bourne et James Bond, confrontés à de dangereux terroristes, enlevés par les réseaux de Ben Laden et torturés pour nous faire parler. On s’inventait des détails, des dialogues. On bandait. Alexandre se saisit d’une ficelle et m’attacha les mains dans le dos. C’était une première. Mais il rechignait encore à me torturer même légèrement. Il se contenta de me lever les cuisses pour m’enculer délicieusement tout en me branlant le vit. James féconda le cul de Jason, quel nouvel espion allait naitre d’une telle union ? Nous en rigolâmes beaucoup puis nous nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre en nous baisotant les lèvres.

RV84 tardait à se décider. Qu’importe, je cherchai d’autres plans sur Paris. J’en trouvai pas mal de décevants, la majorité en fait, et très peu de satisfaisants. Le temps passait. On fignolait à chaque dialogue un peu notre scénario. Certaines choses devaient rester secrètes afin d’entretenir notre excitation. Alors on parlait de ce qu’on voulait sans rien décider d’autre que le scénario de l’enlèvement et c’était à RV84 de nous faire la surprise de la suite. Le début était déjà assez avancé. Il s’agissait pour nous de prendre le train jusqu’à Rouen, et une fois sur place on recevrait les consignes par SMS. Mais pour le reste RV84 hésitait beaucoup. En fait, je me demandais de plus en plus s’il allait sauter le pas un jour ou s’il ne nous menait pas en bateau, ayant déjà décidé de rester dans le domaine du fantasme, s’excitant et se masturbant sur ces idées sans jamais passer à l’acte. Voila plusieurs mois que nous discutions et que rien ne venait. Alexandre avait laissé tomber ses dernières réticences. Si RV84 avait été dangereux il n’aurait pas tant tergiversé, et s’il montrait tous ces scrupules c’est bien qu’il était inoffensif.


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Samedi 6 février 6 06 /02 /Fév 16:31

Le soir j’en parlai à RV84. Il en fut étonné, amusé et aussi un peu dégouté. Du moins c’est ce qu’il prétendit, mais aurait-il demandé autant de détail s’il l’avait vraiment été ? Je le soupçonnais de se secouer la tige d’une main tout en tapant qu’il était écœuré de l’autre sur le clavier. Il s’échauffa de plus en plus et malgré le fait qu’il prétendait encore ne pas être prêt pour une rencontre il semblait de moins en moins réticent à cette idée. Le lui suggérai quelques pistes sur un scénario que nous pourrions monter afin de rendre cette rencontre plus excitante. Alexandre n’était d’ailleurs pas contre m’accompagner et RV84 paraissait désormais assez ouvert à ce qu’il m’accompagnât.

Moi : ça pourrait être excitant

RV84 : 1 truc genre enlèvement ?

Moi : ouais

RV84 : mouais, je suis pas sur de savoir faire ça. Et puis c pas facile a realiser

Moi : ben, on se laissera faire qd meme

RV84 : alors c pas réaliste, c nul

Moi : oui mais bon, on va pas se battre dans la rue, et pis t tout seul et on sera 2

RV84 : alors fodra soigne le scénario

Moi : ouais, on va y réflechir et toi aussi réflechis

RV84 : par exemple je pourrais vous laisser des messages pour vous dire koi fair et me cacher pour sortir au dernier moment

Moi : super, j’ador

RV84 : sauf que c pas réaliste comme enlèvement

Moi : on se fera passer pour des agents secrets qui suivent une piste et ki tombent dans un trakenard

RV84 : ouais c pas mal, vous devez vous laisser faire pour délivrer la fille du président

Moi : le fils lol, et un fils mignon lol

RV84 : lol, ça sera ki le fils ?

Moi : on le trouvera pas puisqu’on tombe dans 1 trankenard et toi tu devras nous torturer pour k’on te dise où est caché l’argent

RV84 : lol, tu mattes trop de films

Moi : lol oui, ça te plait ?

RV84 : c pas mal

Moi : on fé ça qd ?

RV84 : tain, t pressé, je sais pas si je suis prèt a ça. Et ton mec i dit koi ?

Moi : il lit et il est ok

RV84 : cool

Moi : nous on est prés

RV84 : pas moi

Moi : oki, on attend ke tu sois pret

RV84 : j’y réflechis et je vous dit.


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Vendredi 5 février 5 05 /02 /Fév 19:33

Mais, ce qui arrive souvent après la perte des fluides corporels à ceux qui n’assument pas leurs désirs, Benjamin se sentit tout honteux et dégouté. Il jugulât plusieurs nausées qui manquaient de le faire vomir à chaque instant, s’excusa et déguerpit à tire d’aile, n’ayant pas besoin de se rhabiller puisqu’il ne s’était pas déshabillé. De la fenêtre nous le regardâmes sortir de l’immeuble, à peine était-il sur le trottoir qu’il se tordit en avant et dégueula abondamment dans le caniveau. Que les gens sont inconséquents parfois. Il sortit son téléphone et appelle « Chérie ? » avant de sortir de notre vie.

Nous passâmes à la douche. Alexandre me savonna de partout et je lui rendis la pareille. Nos membres s’étaient sont redressés et demandaient eux aussi à se décharger de leur semence. Je rinçai celui d’Alexandre que je pris en bouche pour en déguster le nectar. Il me fit la même chose, puis après nous être séchés, nous nous couchâmes, l’un dans les bras de l’autre, pour une sieste délicieuse. A notre réveil nos membres avaient repris leur vitalité. A notre âge cela était facile. Puisque c’est nos bouches que nous avions honoré il y a peu, nous allions honorer nos culs. J’enculai tendrement Alexandre jusqu’à provoquer un nouvel écoulement de semence. Alors nous décidâmes de retourner au Jardin des Tuileries.


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Jeudi 4 février 4 04 /02 /Fév 19:33

- Que fait-on ?

- Ben, je pense qu’il faudrait rentrer pour nous laver, me dit-il.

Nous prîmes le chemin du retour. Il finit de s’essuyer les mains sur mes fesses. Les traces auraient pu passer pour de la boue s’il n’y avait eu pas cette odeur prenante. Aux carrefours, en attendant de traverser, les autres piétons s’éloignaient après nous avoir jeté un coup l’œil écœuré. C'est alors que nous fûmes rejoints par le garçon. Sans dire un mot il se plaça devant moi, posa ses mains sur mes hanches, m'attira à lui et se colla à mon pubis. Je sentis une érection monumentale derrière sa braguette. Comme il n’y avait aucune résistance de ma part, il sortit la langue et me lécha le visage en direction de ma bouche où il finit dans un baiser profond me donnant à gouter ce que sa langue a récolté sur ma peau.

- Viens avec nous, lui dis-je.

- Je peux pas, y'a ma copine qui m'attend.

- Qu'elle attende.

Et après une courte hésitation il répondit :

- Oui, qu'elle attende !

Benjamin, puisque c’est ainsi qu’il s’appelait, plante là sa copine et, tout bandant et émoustillé, nous suivit à la maison. Il ne résistait pas à l’envie, à chaque carrefour que nous devions traverser, de lécher sensuellement mon visage et baiser mes lèvres. A peine dans l’ascenseur, Il se jeta goulument sur mon visage qui fut presque totalement débarbouillé avant qu’on rentrât dans l’appartement. Je n’avais pas besoin de douche, sa langue m’avait nettoyé consciencieusement. Elle n’épargna pas la main d’Alexandre. Et c’est en baisant mon boxer et découvrant ce qu’il cachait et en s’y jetant dessus goulument qu’il en jouit dans son pantalon sans même se toucher.


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Mercredi 3 février 3 03 /02 /Fév 20:10
Et il éclata de rire. Il se saisit alors de mon visage, une main sur chaque joue, m’attira à lui et me donna un long baiser, profond et langoureux malgré les quelques passants qui faisaient les scandalisés. La fille de l’autre coté, qui avait vu tout le spectacle, attira l’attention du garçon sur nous. Ils nous regardaient amusées et souriants et ça nous émoustilla. Le garçon s’empara de la bouche de la fille et tenta de rivaliser avec nous dans un baiser passionné. Et comme pour augmenter les enchères il caresse l’intérieur des cuisses de la fille. Alexandre ne se laissa pas démonter et souleva un peu mon t-shirt pour, d’une main, caresser mes abdominaux. Le garçon s’échauffa et remonta la main vers la culotte de la fille, montrant ses jambes chaque fois un peu plus. Alexandre n’allait pas abandonner si facilement, il fit passer ses doigts sous ma ceinture. Le défi échauffait un peu plus le garçon face à nous qui s’empara de la chatte de sa copine alors Alexandre ne résista pas en enfoncer toute sa main et une partie du bras dans mon pantalon et mon boxer. Il stoppa immédiatement. Je sentais venir ce dénouement mais je ne voulais rien faire tant il m’excitait. Quand à Alexandre, il avait totalement oublié ce qu’il avait fait juste avant qu’on sorte et sa moue en témoignait. Le couple en face fut tout étonné de cette grimace et stoppa là ses attouchements dans l’attente de comprendre ce qui se passait. Alexandre ressortit alors sa main de mon pantalon, les doigts écartés par le dégout, elle était couverte de merde. Alexandre pour me punir m’écrasa sa main sur la figure me maculant horriblement de merde molle et odorante. Il replongea sa main dans ma culotte et en ressortit un paquet qu’il m’étala sur les cheveux. La grimace de dégout du couple face à nous nous fit rire aux éclats. L’odeur devait arriver jusqu’à eux. Ils se levèrent sans demander leur reste et disparurent.

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Mardi 2 février 2 02 /02 /Fév 22:52

Lorsque je racontai à Alexandre ma séance chez Eric en détails, l’érection me vint et je pus satisfaire ses envies d’être pris. Nous jouîmes délicieusement l’un dans l’autre, nos bouches soudées dans un profond baiser amoureux. Il comprenait à quel point j’avais besoin régulièrement de ces séances et ne s’opposait pas à ce que je les renouvelasse régulièrement.

En ce dimanche superbe d’octobre ensoleillé nous décidâmes, Alexandre et moi d’aller flâner dans les jardins publics de la capitale. Alors que nous nous préparions il me prit une fantaisie que, malgré la honte qu’elle m’inspirait, je racontai à Alexandre. L’excitation se mêlait parfois à des choses incompréhensibles. Je demandai à Alexandre de chier sur mon pubis. Il était toujours un peu dégouté par ce genre de pratiques mais il s’y soumettait de bonne grâce sachant combien elles me plaisaient. Je m’installai donc par terre, Alexandre s’accroupit au dessus de mon sexe et laissa tomber un cigare que j’emprisonnai immédiatement en remontant mon boxer et en boutonnant mon pantalon. Nous sortîmes ainsi, moi avec la douce chaleur du cadeau d’Alexandre qui me faisait bander.

Nous nous installâmes sur un banc dans le jardin de Tuileries. De l’autre coté de l’allée, sur un banc légèrement décalé par rapport au nôtre, un garçon et une fille, d’approximativement le même âge que nous, se faisaient des petits bisous tendres. Je me penchai vers Alexandre et lui dit :

- C’est d’un conventionnel !


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Mardi 2 février 2 02 /02 /Fév 08:00

Il me retourna sur le dos, ou plutôt sur mes bras, car ils étaient attachés au centre de mon dos, et sur les jambes qui étaient repliées sous moi, ma tête hors du matelas, et recommença à placer les pinces qu’il venait d’arracher en zigzag sur mon torse et mon abdomen, descendant pour finir entre mes cuisses. Puis il me présenta à nouveau sa bite à sucer. Je ne pouvais desserrer mes dents tant la brulure sur mes deux flancs était encore vive mais elle s’apaisait progressivement et bientôt je pus prendre ce magnifique membre dans ma bouche. Il y pénétra lentement mais inexorablement jusqu’à buter à nouveau sur ma glotte, alors, d’une main il tordit un peu plus mon cou vers l’arrière pour dégager ma gorge et réussit à passer l’obstacle. Ma nausée subite le força malgré lui à se retirer. Il allât alors dans la salle de bains chercher des serviettes qu’il plaça au sol et sous mes épaules, puis il me redonna sa bite, s’enfonça jusqu’à la garde et commença à me pilonner la gorge. J’avais l’impression que son gland baignait dans mes sucs gastriques tant il s’enfonçait loin. En butant sur ma glotte il devait lui rester au bas mot huit centimètres à l’extérieur de ma bouche, certainement plus, et maintenant il écrasait ses couilles sur mon nez. Il me maintenait la tête d’une main ferme derrière la nuque, et de l’autre main il se saisit de la ficelle et la tendit pour actionner les pinces. Ce membre qui m’irritait la gorge ne tarda pas à me donner envie vomir. J’eus beau lutter pour ne pas laisser la nausée s’installer ce fut en vain, le reflexe de régurgitation devint trop important, il ne se passa pas beaucoup de temps avant que tout le contenu mon estomac ait envie de remonter. Je tentai alors désespérément de me dégager pour éviter la catastrophe mais Eric renforça la prise sur ma tête pour m’empêcher d’expulser son membre, ni même d’aller si profond. Il restait enfoncé de toute sa longueur et se laissait branler par les convulsions de ma gorge luttant contre la nausée. Alors ce qui devait arriver arriva, je vomis. Au même moment il arracha toutes les pinces d’un coup vif sur la ficelle. Et je fus emporté par un orgasme intersidéral, dans un plaisir démultiplié par les douleurs que mon corps subissait.


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Dimanche 31 janvier 7 31 /01 /Jan 10:27

Eric laissa les pinces faire leur travail et s’empara d’une bougie qu’il alluma et dont il fit couler la cire sur mon dos, mes omoplates, mes fesses et tout particulièrement mes couilles tendues par la ficelle qui les reliait au sommet de mon crâne. Mon membre, en totale érection, frottait voluptueusement contre le drap, aidé par les mouvements que la douleur me faisait accomplir, me rapprochant chaque fois un peu plus de l’orgasme. Je voulais me soustraire à cette cire bouillante qui coulait maintenant sans discontinuer sur mes couilles ; la douce brulure allait me faire jouir lorsque subitement Eric reposa la bougie. Il se plaça devant mon visage, retira le bâillon qu’il m’avait placé et présenta son membre démesuré à ma bouche gourmande. Évidement que je ne fis aucune difficulté pour l’ouvrir et engloutir autant que je pouvais ce sexe délicieux mais Eric n’était pas satisfait, la taille et la courbure de sa verge ne lui permettait pas de l’enfoncer bien loin dans ma bouche, elle butait au niveau de ma glotte. Le passage serait certainement plus ouvert si j’étais sur le dos plutôt que sur le ventre, il s’amusa tout de même un bon moment à baiser ma bouche et je m’en délectais.

Il se saisit d’un petit anneau à l’extrémité de la ficelle qui reliait ensemble les pinces à linge qu’il m’avait placé sur le flanc droit et la tendit à plusieurs reprises m’occasionnant des gémissements de douleur, puis, sans prévenir, d’un coup sec et précis, il tira vivement faisant sauter les pinces les unes après les autres jusqu’à les avoir toutes arrachées de ma peau. La douleur fut énorme, intense et inattendue et je poussai un monstrueux cri de douleur. J’avais instantanément et totalement débandé tant la douleur était puissante et durable et mes cris ne s’arrêtaient pas malgré l’ordre qu’il me donnait de cesser. Il se saisit alors d’une cravache et entreprit de taper sur mes couilles tendues, faisant sauter la couche de cire qui s’y était formé en refroidissant, comme une carapace. Il me menaça de continuer tant que je ne me tairais pas, alors je serrai les dents et je fis silence. Il se saisit ensuite de l’anneau sur l’autre ficelle, celle du flanc gauche, et me fit sentir sa puissance en tirant légèrement dessus avant de réitérer ce qu’il venait de faire et d’arracher toutes les pinces d’un coup brutal me faisant pousser à nouveau des hurlements de douleur.


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Samedi 30 janvier 6 30 /01 /Jan 10:44

De mon coté je recherchai d’autres contacts avec plus de soin que le premier. Le second, Eric, fut plus satisfaisant. Tout d’abord il ne trichait pas sur son âge. Il avait la quarantaine bien avancée et avait été jadis esclave pendant de longues années avant de développer, depuis une dizaine d’années, une envie de dominer. Il savait donc ce qui devait être fait et comment le faire. Il avait pratiqué en recevant puis en donnant de nombreuses fois. Nous ne parlâmes pas de la taille de son membre alors qu’il aurait pu s’enorgueillir d’un ou plusieurs T dans sa description. Si le précédent, qui se disait déjà TBM, avait été doté comme celui-ci il aurait certainement multiplié par cinq ou six le nombre de T. Eric m’avait envoyé une photo du matériel dont il disposait et qui faisait rêver le soumis que je devenais. Moi-même j’avais fait l’acquisition quelques gadgets que je lui menai pour qu’il les testât sur moi. Il n’était pas beau à vrai dire mais bien conservé. Son petit embonpoint ne nuisait nullement à son sex-appeal. Ses cheveux courts et grisonnants lui donnaient un petit air pervers qui m’excitait beaucoup et que son bouc, entièrement blanc complétait avec bonheur.

Il m’attacha de façon professionnelle, les chevilles aux hauts des cuisses, les genoux bien pliés, les bras dans le dos, poignets joints, coudes aussi rapprochés que possible. Il m’équipa d’un harnais de tête muni d’un anneau au haut du crâne et qui lui permet de placer dans ma bouche toute sorte de bâillons différents, gonflable, à tube, équipé d’un pénis en latex qui interdisait toute parole ou de deux pénis, un pour l’intérieur de la bouche l’autre à l’extérieur pour un quelconque cul qui voudrait s’y empaler. Il attacha une ficelle à mes couilles serrées qu’il relia à l’anneau de l’harnais ; tendue entre mes fesses elle tirait ma tête à la renverse. J’étais sur le ventre en totale érection attendant le doux supplice qui allait suivre. Il plaça une rangée de pinces à linge sur mes flancs. Il commença à mes aisselles, descendit de chaque coté de mon tronc jusqu’à mes fesses, fit un S sur celles-ci remontant sur mes fesses pour redescendre entre elles et continue à l’intérieur de mes cuisses. Toutes ces pinces étaient reliées par une ficelle qui permettait de tirer dessus et d’améliorer ainsi le supplice. Elles m’échauffaient la chair et, comme chacun le sait, elles allaient occasionner une douleur d’autant plus vive qu’elles seraient restées longtemps à pincer.


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