Introduction

  ======== Merci de laisser des commentaires. =======


Ce blog est un récit romancé. Pour le suivre, il faut entamer la lecture par l'article le plus ancien.


Sans doute, beaucoup de tous les écarts que tu vas voir peints te déplairont, on le sait, mais il s’en trouvera quelques-uns qui t’échaufferont au point de te couter du foutre, et voila tout ce qu’il nous faut. Si nous n’avions pas tout dit, tout analysé, comment voudrais-tu que nous eussions pu deviner ce qui te convient ? C’est à toi à la prendre et à laisser le reste ; un autre en fera autant ; et petit à petit tout aura trouvé sa place.

Sade

 

 

Malheur, cent fois malheur à la créature infortunée qui, dans un pareil abandon, se trouvait à la merci d’un scélérat sans loi et sans religion, que le crime amusait, et qui n’avait plus là d’autre intérêt que ses passions et d’autres mesures à garder que les lois impérieuses de ses perfides voluptés.

Sade

Dimanche 20 juin 7 20 /06 /Juin 17:57

Ils détachèrent Alexandre qui, cassé par les tortures qui avaient précédé, ne se rebella même pas. Nous savions tous deux que c’était inutile. Le contact chaud de sa peau me manqua immédiatement. Ils lui enserrèrent le membre, vit et couilles, dans un collier métallique, étroit et serré, équipé d’un anneau sur le coté ; à l’anneau ils cadenassèrent une chaine reliée à un autre anneau scellé dans le mur de la pièce. Il était ainsi prisonnier par son sexe. Enfin ils s’éloignèrent pour s’occuper de moi. Alexandre se hâta d’arracher le ruban adhésif qui le bâillonnait et vomir les excréments qu’il avait encore dans la bouche. Puis il les insulta. Eux rigolaient.


Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 19 juin 6 19 /06 /Juin 12:36

Ils se retirèrent à quelques mètres pour disserter entre eux. Ils nous contemplaient, écartelés ainsi sans aucun support. Notre respiration était très pénible et fatigante, je compris quel était le supplice des crucifiés. Eux devisaient sur ce qu’ils allaient nous faire. Dans leur visage, l’air perplexe de leurs yeux se muait parfois en une expression d’une perversité infinie puis s’éteignaient alors que leur discussion reprenait de plus belle. Puis tout à coup leur figure s’éclaira d’un sourire éminemment sadique et effrayant, ils avaient trouvé notre futur supplice pour notre plus grand malheur.


Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 18 juin 5 18 /06 /Juin 19:18

Celui qui s'acharnait derrière moi se rapprocha et décocha un coup de pieds entre nos cuisses écartés écrasant nos couilles qui pendaient, vulnérables à merci. Je me serais tordu de douleur si je n'avais autant été écartelé sur le portique. Les lanières du fouet recommencèrent leur travail et s'abattirent pendant de longues minutes même après que le sang coule, puis ils se déshabillèrent et nous prirent sans ménagement ni préparation. Leurs coups de boutoir se répercutaient sur nos membres qui se frottant l’un l’autre nous donnaient beaucoup de plaisir après la torture que nous venions de subir. L’émission de sperme couronna notre jouissance à la grande fureur de nos bourreaux qui voulaient nous punir et non nous faire jouir même si eux s’étaient également épanchés dans nos fondements.


Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 17 juin 4 17 /06 /Juin 21:35

Notre dos fut râpé par le sol de ciment puis se remplit d’échardes lorsque nous arrivâmes au rez-de-chaussée. Ils n’avaient qu’un seul portique, ils nous y attachèrent face à face les membres en crois et en extension maximum, les pieds ne touchant plus le sol. Malgré ma terreur, le contact sensuel avec l’épiderme d’Alexandre me rassurait et m’excitait. Mon membre n’y était pas insensible et quand je sentis des palpitations dans celui de mon amour je bandai instantanément. Ils ne nous avaient pas encore retiré les baillons sinon j’aurai embrassé Alexandre avec la passion la plus brulante que les coups de fouet qui lacéraient nos dos ne pouvaient éteindre.


Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 16 juin 3 16 /06 /Juin 22:27

Une radio grésilla tout à coup. L’intrus y répondit puis ses pas se dirigèrent rapidement vers la sortie, la porte s’ouvrit, après une courte salutation, on marcha sur le gravier, la voiture démarra et repartit nous laissant à notre désespoir.
Nos bourreaux revenaient. Ils n’avaient certainement pas beaucoup apprécié notre remue ménage et allaient nous le faire payer cher. Ils se saisirent chacun d’un de nous et nous trainèrent par les pieds jusqu’à la salle de tortures.


Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 15 juin 2 15 /06 /Juin 22:31

Là haut la discussion continuait animée. J’entendis les pas passer de pièce en pièce. Je supposai que l’intrus avait trouvé un moyen pour visiter la maison et qu’il allait nous découvrir et nous libérer. D'autres pas descendirent l’escalier de la cave. C’était un bourreau qui, équipé d’un énorme couteau de cuisine, était venu se poster à l’entrée de la pièce attenante à notre cellule. Quelques instants après des pas indiquèrent que deux autres individus entamaient la descente de l’escalier. L’homme au couteau se prépara.


Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 14 juin 1 14 /06 /Juin 21:09

Je paniquai tout à coup, je sentis ma mort toute proche et je perdis espoir d’y échapper. Je ruai tant que je pouvais tentant de donner l’alerte, j’entendais Alexandre sangloter sentant venir le moment fatal. Heureusement mes soubresauts ne furent pas vains, le frottement contre le sol déplaça insensiblement le coussin mais suffisamment pour qu’un maigre filet d’air arrive à mes poumons.


Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 13 juin 7 13 /06 /Juin 17:34

Puis il me toisa méchamment en réfléchissant au meilleur moyen de me faire taire. Apres un instant il alla chercher un coussin qui trainait dans la pièce attenante. C’était un confort auquel je n’avais pas gouté depuis longtemps mais le coussin n’était pas destiné à mon postérieur, la salaud vint me le fixer sur le visage à grands renforts de scotch. Les sons que je produisais étaient irrémédiablement étouffés mais je ne pouvais plus reprendre mon souffle. Il repartit me laissant ainsi m’étouffer lentement. Si personne ne revenait rapidement ils retrouveraient un cadavre à leur retour. Et personne ne revenait.


Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 12 juin 6 12 /06 /Juin 16:13

Tout ce que nous réussîmes à faire fut d’attirer l’attention des bourreaux dont un d’eux descendit l’escalier, prétendant aller préparer un thé, pour nous réduire au silence. Il s’occupa d’abord d’Alexandre qui faisait bien plus de boucan que moi avec ses chaines. Il se planta, jambes écartées, pieds bien plantés au sol, devant Alexandre qui le bravait en continuant plus fort que jamais à secouer les chaines et lui décocha, au moment qu’Alexandre s’y attendait le moins, un coup de pied dans les parties qu’il ne réussit pas à éviter. Alors qu’il se tordait de douleur au sol, avec le rouleau de scotch il lui immobilisa progressivement tous les membres, depuis les chevilles jusqu’au coudes en passant par les genoux et les cuisses.


Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 11 juin 5 11 /06 /Juin 20:21

Il cherchait à gagner du temps ou à faire repartir l’intrus, mais en vain puisque les pas de dirigèrent bientôt vers la maison où il pénétra. Il venait certainement pour nous et peu importait que ce ne soit pas le cas, nous devions tout faire pour attirer son attention mais notre liberté de mouvement était sérieusement limitée. Ils n’avaient pas eu le temps de finir de saucissonner Alexandre et il réussit à détendre ses liens et à se redresser pour attraper la chaine qu’il se mit à secouer avec l’énergie d’un condamné. Pour l’aider je me résolus à avaler ce qui obstruait ma bouche et je me mis alors à gémir aussi fort que je pus mais peu de sons s’échappèrent de ma gorge.


Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 10 juin 4 10 /06 /Juin 22:49

C’est alors qu’on entendit un bruit de moteur venant de l’extérieur. Ils n’avaient plus assez de temps.
- Va te laver les mains, je vais voir ce qu’il veut.
Et ils disparurent tous les deux.
Les roues crissèrent sur les graviers de l’allée. Le moteur fut coupé. La porte de l’engin et celle de la maison s’ouvrirent presque en même temps et une conversation dans une langue que je ne connaissais pas débuta. Il me semblait que ce devait être de l’Allemand et je compris que l’individu était de la police ou quelque chose de ressemblant. Le ton de la voix d’un de nos bourreaux me paraissait inquiet.


Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 9 juin 3 09 /06 /Juin 20:44

Leurs doigts plantés entre mes molaires brisèrent facilement ma résistance et j'ouvris malgré moi la bouche qu’ils remplirent tant que quelque chose pouvait y tenir, puis ils firent plusieurs tours de ma tête avec le scotch emprisonnant le tout à l'intérieur. Ils parachevèrent leur travail en me saucissonnant le corps de corde et m’abandonnant au sol. Puis, après s’être occupé ainsi de moi, ils se retournèrent vers Alexandre. Lui non plus ne leur facilita pas le travail mais il ne put rien faire pour les arrêter. Je craignais qu’il ne puisse s’empêcher de vomir ce qui serait fatal pour lui. Ceci me fit un peu oublier que j’avais la même matière immonde dans la bouche.


Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 8 juin 2 08 /06 /Juin 22:20

Il en était aux chevilles lorsque l'autre déboula avec un rouleau de scotch large, comme celui utilisé pour fermer les cartons de déménagement. Quand il s'approcha de moi je me débattis, je ne voulais pas lui faciliter la tâche. Il appela son collègue à la rescousse et ils n'eurent aucun mal à m'immobiliser.
- Faudrait quelque chose dans sa bouche.
- Je reviens.
A mi-chemin des escaliers il fit demi-tour et alla ramasser une grande poignée de merde là où nous faisions nos besoins.


Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 7 juin 1 07 /06 /Juin 22:41

Notre moral et nos espoirs étaient au plus bas ; nous n’arrivions plus à nous consoler et à croire qu’un jour la libération arriverait quand il y eut soudain une grande agitation. Les deux bourreaux accoururent un peu paniqués dans notre cellule. Après avoir tendu la chaine qui nous immobilisait contre les murs ils vinrent m’attacher les mains dans le dos.
- Où est le scotch ?
- Merde, je l’ai oublié.
- Putain, c’est pas le moment.
- J’y vais, attache l’autre entre temps.
Pendant qu’un tortionnaire repartait à l’assaut des escaliers en courant l’autre s’activa à lier les poignets d’Alexandre.


Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Dimanche 6 juin 7 06 /06 /Juin 18:02

Le printemps commençait à se faire sentir. La lumière qui entrait par le petit vasistas était un peu plus forte et en se faisant la courte échelle on pouvait apercevoir de plus en plus de touffes d’herbes qui émergeaient de la neige. Les jours faisaient suite aux jours, les semaines aux semaines. Nos orifices étaient régulièrement utilisés, ensemble ou séparément. Des tortures plus ou moins raffinées nous étaient infligées de temps à autre. Nous n’étions sortis de notre cellule que pour servir sexuellement ou pour emplir nos intestins de ce qui allait nous nourrir. Comme toilette nous avions un jet sous pression qui décollait notre crasse du corps et qui balayait les excréments du sol jusqu’à une petite évacuation dans un coin de la cellule.


Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés