Ils l’actionnèrent tendant tout d’abord le câble qui soulevait le crochet, puis tirant impitoyablement mes bourses, m'obligeant à décoller les fesses du sol en me cambrant pour tenter de diminuer ou du moins de retarder le douloureux étirement qui me faisait craindre l’arrachement de mes bijoux. Le treuil fonctionnait encore à vitesse réduite. Mes genoux décollèrent du sol dans une immense souffrance. J'avais encore les orteils au sol mais il n'y restèrent que quelques secondes de plus et je ne reposai plus que par les épaules. La douleur était insupportable et je ne savais comment mes couilles restaient attachées à mon corps.