L’urine frappait le fond de ma gorge et ressortait m’inondant le visage, me privant de respiration et m’aveuglant. L’autre revenait avec trois grands jerricans vides de trente litres qu’il accrocha sous moi à mes chevilles. Comme ils touchaient le sol ils manœuvrèrent le moteur du treuil pour m’élever encore. L’autre plaça une plateforme devant ma tête pour revenir enfoncer son pieu dans ma bouche. Dans l’ouverture d’un jerrican l’autre glissa un tuyau souple qui laissait couler un filet d’eau. Le réservoir allait se remplir augmentant progressivement le poids qui serait supporté par mes couilles jusqu’à ce que mon dos se brisât ou que mes couilles s’arrachassent. Si elles supportaient péniblement mon poids, elles ne pourraient supporter quatre-vingt dix kilos de plus. Le second jerrican serait rempli si le premier ne suffisait pas, puis le troisième. Celui dans ma bouche donnait de petits coups de reins qui générèrent un mouvement de balancier à mon corps. Il bandait totalement désormais et il n’avait plus besoin de bouger, en pendulant pendu par mes couilles il rentrait jusqu’à la garde puis ressortait jusqu’au grand sans rien faire jusqu’à déverser son foutre dans la gorge.