Deux nouvelles canettes de bière furent versées à nouveau dans l’entonnoir, j’en avais perdu le compte mais ça devait bientôt approcher les dix. Et toute cette bière allait bien ressortir vers ma
bouche.
Alexandre se disait qu’il avait failli me tuer par deux fois déjà depuis que j’étais sous cette baignoire. La tension, un instant soulagée, était à nouveau énorme aussi bien dans ses trippes que
dans sa vessie alors il bandait ses muscles autant qu’il le pouvait pour me laisser le temps de reprendre des forces. Ma toux se calmait progressivement et Alexandre se résolut alors à relâcher
un peu d’urine, mais il avait retenu la leçon. Il pissa un coup et arrêtât jusqu’à m’entendre reprendre mon souffle. Puis il recommença.
Les monstres comprirent que le meilleur du spectacle était passé et que désormais on allait gérer cette situation désespérée. Ils avaient déjà joui, trois fois pour l’un, deux pour l’autre, alors ils se levèrent et après avoir versé deux nouvelles canettes dans l’entonnoir, un monta sur la plateforme derrière Alexandre et le pénétra péniblement de son membre à moitié flaccide. Il n’avait pas l’érection qu’il affichait tout à l’heure mais qu’importe puisque son but n’était que de pisser. Lui aussi avait bu plusieurs bières alors il se soulagea dans les trippes, lui donnant le second lavement à l’urine de la journée, sachant que tout ce qui irait dans son ventre finirait dans la baignoire et qu’il serait ainsi d’autant plus pénible à Alexandre de se retenir. Il s’assit ensuite sur le rebord de la baignoire, les fesses en porte-à-faux au dessus de l’évacuation et commença à pousser. Un long cigare brun pointa dans son cul et se déploya pendant au moins une trentaine de centimètres avant de se détacher et de s’abimer sur le plexiglas. Délicatement avec les doigts il l’enfonça dans l’ouverture jusque dans ma bouche. J’étais au-delà de la limite de la nausée et je devais faire des efforts surhumains pour ne pas vomir. Tout le cigare y passa et j’avalai car je ne pouvais rien faire de plus. Je devais garder le tuyau libre pour l’air.
- A moi maintenant, je vais lui rincer la bouche, dit l’autre en se positionnant pour pisser dans la baignoire.
- Arrête ! T’es con. Quand je bouffe du chocolat je veux pas me rincer la bouche pour garder le gout, répondit l’autre, et ils partirent tous les deux d’un fou rire qu’ils ne pouvaient stopper.
"Son" ventre et pas "mon"
Corrigé