Matthias n’ayant pas évacué sa tension ressortit de sous le bureau, le membre fièrement à l’air. Un peu plus tôt, en passant par la cuisine il avait aperçu un paquet de petits beurre sur une
étagère. Il alla en sortir deux qu’il déposa sur la table et branla son vit jusqu’à les arroser d’un nappage blanc et gluant. Il les rapporta ensuite dans la chambre et en offrit un à chaque
frères penché sur son clavier. Kévin, habitué aux plaisanteries de Matthias, s’aperçut immédiatement de la supercherie et il prit un plaisir non dissimulé à déguster ce biscuit. Grégory encore
candide y croqua sans se douter de rien. Il engouffra la galette puis se plaignit :
- Elles sont pourries, c’est dégueu.
Ce qui déclencha instantanément l’hilarité générale à la grande consternation de Grégory.
La journée se passa sans aucune découverte importante et les trois amis décidèrent de se séparer en se donnant rendez-vous au lendemain. Dans un tiroir proche de l’entrée Kévin découvrit un
double de la clé de l’appartement. Ils s’en saisirent ainsi les deux frères pourraient y venir quand ils auraient un peu de temps pour continuer leur recherche sans avoir besoin d’attendre celui
qui aurait eu la seule clé.