Introduction

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Ce blog est un récit romancé. Pour le suivre, il faut entamer la lecture par l'article le plus ancien.


Sans doute, beaucoup de tous les écarts que tu vas voir peints te déplairont, on le sait, mais il s’en trouvera quelques-uns qui t’échaufferont au point de te couter du foutre, et voila tout ce qu’il nous faut. Si nous n’avions pas tout dit, tout analysé, comment voudrais-tu que nous eussions pu deviner ce qui te convient ? C’est à toi à la prendre et à laisser le reste ; un autre en fera autant ; et petit à petit tout aura trouvé sa place.

Sade

 

 

Malheur, cent fois malheur à la créature infortunée qui, dans un pareil abandon, se trouvait à la merci d’un scélérat sans loi et sans religion, que le crime amusait, et qui n’avait plus là d’autre intérêt que ses passions et d’autres mesures à garder que les lois impérieuses de ses perfides voluptés.

Sade

Samedi 6 mars 6 06 /03 /Mars 13:59
Je me réveillai presque nu dans une petite cage, environ un mètre de haut et de large pour un mètre et demi de profond, avec de gros barreaux, toujours attaché, mains dans le dos et pieds joints. Un short en latex me moulait les fesses. Il me recouvrait hermétiquement le cul et le pubis. Il était équipé d’une gaine dans laquelle était insérée mon pénis. Un petit tuyau souple partait du bout de cette gaine me permettant d'évacuer mes urines. Il m’était impossible de m’allonger. A coté de ma cage il y avait une autre cage dans laquelle était enfermé Alexandre, encore endormi, dans la même situation dramatique que moi. Un bruit derrière moi me fit me retourner. Il y avait une troisième cage avec un garçon à l’intérieur, attaché comme nous mais avec un bâillon dans la bouche auquel arrivaient un tuyau muni d'un entonnoir accroché aux barreaux en hauteur. Dans cet entonnoir se déversaient trois tuyaux souples. Le premier des tuyaux était connecté à la gaine que j’avais sur le sexe, le second allait à celle d’Alexandre et le dernier était connecté sur la gaine que le garçon avait sur son propre sexe. Le regard du garçon était terrorisé. Il devait avoir dans les vingt ans. Son corps sec était couvert de marques affreuses, d’hématomes, de cicatrices et de brulures. Même son visage n’était pas épargné. Il semblait mal nourri et malade. Ses cheveux avaient été rasés.

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Vendredi 5 mars 5 05 /03 /Mars 19:24

Alexandre me regarda épouvanté et s’effraya au double de la panique qui m’assaillait.

- Je confesse que tu m’as bien surpris. Au début j’arrivais pas à croire que c’était toi mais quelqu’un qui te ressemblait. Puis en causant j’ai bien compris que c’était toi. Faudra me dire comment t’as fait pour survivre… mais je te rassure… cette fois tu ne survivras pas.

La première rencontre avec ce type avait failli me couter la vie lorsqu’il m’avait laissé sans air attaché, bâillonné bouche et nez, tête entièrement emmitouflée sous des couches de ruban adhésif dans lequel il avait inséré du fil de fer pour qu’il soit plus difficile de me les retirer. Et ceci après m’avoir torturé de la pire manière qui soit. Et voila que maintenant j'étais pieds et poings liés livré à ce monstre et que je lui avais aussi livré Alexandre. Derrière lui un autre visage qui n’était pas plus celui de la photo. Son rire fit le contrepoint du rire de l’autre. Il sortit un foulard de sa poche, y verse dessus un peu du contenu d’un flacon et l’appliqua sur le nez d’Alexandre qui ne tarda pas à sombrer dans le sommeil, puis il passa à moi.


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Lundi 1 mars 1 01 /03 /Mars 22:02
Chapitre 6

Malheur, cent fois malheur à la créature infortunée qui, dans un pareil abandon, se trouvait à la merci d’un scélérat sans loi et sans religion, que le crime amusait, et qui n’avait plus là d’autre intérêt que ses passions et d’autres mesures à garder que les lois impérieuses de ses perfides voluptés.
Sade

 

C’était un homme grand et costaud, la quarantaine, les tempes grisonnantes et un début de calvitie. Le regard d’une extrême férocité.

- Je vois que tu m’as reconnu, dit-il.


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Dimanche 28 février 7 28 /02 /Fév 17:39
Nous roulions encore et toujours. Depuis combien de temps ? Je ne savais. Je ne pus me retenir de pisser et je souillai mon pantalon, je constatai qu’Alexandre avait déjà souillé le sien. Cela devait faire bien longtemps que nous étions ainsi. Au moins quatre heures, si ma notion du temps n’était pas trop altérée, depuis que nous étions éveillés. Mais combien pendant notre sommeil ? La fourgonnette ralentit enfin puis stoppa. Elle redémarra quelques instants plus tard et s’engagea sur un chemin plus sinueux et qui ne permettait pas de soutenir une vitesse aussi régulière qu’avant. Nous avions certainement quitté une autoroute. Nous avions donc fait plusieurs centaines de kilomètres et devions être bien loin de Rouen, notre destination première. A moins que notre ravisseur nous ait fait tourner en rond. Au bout de quelques dizaines de minutes nous quittâmes cette route pour une nouvelle en bien plus mauvais état, certainement un chemin non goudronné à en croire les cahots, les virages et l’allure de la voiture. On roula ainsi pendant encore une bonne dizaine de minutes puis le véhicule stoppa et le moteur s’éteignit. Les portières s’ouvrirent, j’entendis des pas qui longeaient la fourgonnette de chaque coté et la porte arrière s’ouvrit sur nos ravisseurs. Le premier visage qui apparut n’est pas celui de la photo que j’avais reçu de lui mais il ne m’était pas inconnu. Dans une épouvante, je le reconnus.

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Samedi 27 février 6 27 /02 /Fév 13:33
Ma crainte se transforma aussitôt en terreur. L’idée que nous avions fait une grosse connerie traversa mon esprit avant que celui-ci commence à s’embrouiller. Mes membres se firent lourds, mes pensées confuses, ma force disparaissait et je sombrai dans le sommeil.

Lorsque je me réveillai, Alexandre était déjà conscient. Nous étions tous les deux attachés et bâillonnés à l’arrière sans fenêtres d’une fourgonnette qui roulait vers l’inconnu. Notre ravisseur avait eu la délicatesse de retirer nos bandeaux mais nous a bâillonnés avec du tissu dans la bouche pour nous interdire toute palabre. Je rampai sur le sol pour me rapprocher d’Alexandre. Sa présence et sa chaleur me rassura un peu mais plus je réfléchissais à notre situation plus je la voyais tragique. Peut-être me faisais-je des idées.


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Vendredi 26 février 5 26 /02 /Fév 18:32
- On doit sortir de la gare, dis-je à Alexandre, prendre à droit jusqu’à la rue Pouchet. Y’aura une fourgonnette blanche garée avec la porte de derrière ouverte. On doit y rentrer et se bander les yeux une fois dedans avec les bandeaux qu’on y trouvera.

- J’aime pas ça, répondit-il.

- On risque rien, on est deux.

- Ouais mais j’aime pas ça quand même.

- Tu as parlé avec lui et il t’inspirait confiance, non ?

Alexandre admit qu’il lui inspirait confiance et qu’il n’y avait pas beaucoup de risques puisque nous étions ensemble. On suivit donc les instructions et au bout d’une centaine de mètres on repéra la fourgonnette. Ses portes arrière étaient bien ouvertes et deux rubans de tissu trainent sur le sol. Les  alentours étaient déserts, aucun signe de vie dans cette calme matinée ensoleillée de janvier. On se regarda et au bout d’un court débat on décida de suivre les instructions qui m’avaient été donnés. Chacun de nous se saisit d’un ruban et se l’appliqua sur les yeux. A peine avais-je fini que des mains, me saisirent les poignets. Je me laissai faire, inquiet et excité à la fois. Notre scénario d’enlèvement se déroulait à merveille pour l’instant et se révélait bien plus excitant que prévu. On me tira les mains dans le dos et on me posa des menottes. Je m’y attendais mais l’inquiétude qui m’habitait augmente d’un cran. Elle fit un nouveau bond quand j’entendis Alexandre protester d’une voix étouffée et que cela fut suivi du bruit d’une chute. Puis une main plaque sur ma bouche et mon nez un tampon à l’odeur bizarre.

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Jeudi 25 février 4 25 /02 /Fév 20:18

Le soir, en nous couchant, nos affaires, dans un petit sac, étaient déjà prêtes. Nous étions trop impatients pour attendre le lendemain matin, bien que nous ayons largement le temps, pour les préparer et puis nous ne voulons rien oublier.

Dans le train qui nous menait à Rouen on se faisait déjà tout un cinéma de ce qui allait se passer. Nous nous imaginions déjà dans un film d’espionnage, avec une piste mystérieuse à suivre et des méchants tapis dans tous les coins, prêts à nous attaquer, à nous capturer, à nous plonger dans une marmite bouillante pour nous manger ensuite. On rigolait beaucoup mais on était aussi terriblement excités.

Nous entrions en ville et le train ralentit puis s’arrêta. Nous étions arrivés.

« ALLER CONSIGN CASIER 48 CODE 55964 INSTR A L INTERIEUR »

Nous étions à la gare de Rouen depuis cinq minutes lorsque nous reçûmes ce texto. Nous nous rendîmes au casier en question et le code fonctionna. La situation était palpitante, bien plus que ce à quoi je m’attendais. Alexandre à mes cotés me rassurait. Dans le casier il y avait un téléphone mobile allumé. A peine était-il entre nos mains qu’il sonna. Nous étions donc observés discrètement. En répondant je scrutai les environs à la recherche de notre correspondant mais je ne réussis pas à le repérer. Il y avait bien plusieurs personnes en train de téléphoner mais elles avaient l’air d’être absorbées dans de toutes autres conversations.


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Mercredi 24 février 3 24 /02 /Fév 20:13

Après avoir joui, l’excitation s’étant évanouie, il réalisa ce qu’il venait de faire et fut à deux doigts de vomir. Ça ne pouvait être mal puisque ça venait de son amant. Il fit relever Matthias et, en le regardant fixement dans les yeux, alors que celui-ci l’implorait de recracher, il ouvrit la bouche pour lui montrait ce qu’elle contenait, puis, la refermant, il déglutit et lui montra qu’il avait avalé.

Grégory était subjugué et passablement écœuré. Ma main sur la braguette d’Alexandre me montra qu’il était autant excité que moi. Il était grand temps de les renvoyer à leur famille et de calmer notre ardeur dans des ébats qui promettaient d’être enflammés.

C’est demain que nous allions rencontrer RV84 pour la première fois. Nous étions terriblement excités tous les deux bien qu’Alexandre ait quelques craintes. Je le rassurai qu’en étant deux on ne risquait pas grand-chose puisqu’on pouvait mutuellement se protéger. Et en cas de lapin on en profiterait pour visiter la ville de Rouen, lieu de notre rendez-vous, et nous rentrerions ensuite. Mais je ne croyais pas qu’il allait nous poser un lapin.


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Mardi 23 février 2 23 /02 /Fév 22:42

Kévin était de plus en plus libéré mais il lui restait encore un peu de pudeur. Alexandre, persuadé que ça ne s’était pas passé comme il l’avait raconté, le tarabiscota tant qu’à la fin il céda et compléta son récit.

En fait, ils n’avaient pas joui ainsi. Matthias appréciait beaucoup ces caresses délicieuses sur son anus et son sexe et, poussé par l’excitation, lui aussi brisa les digues de ses tabous, il plongea l’index dans le monticule de merde puis le présenta, maculé, à Kévin qui s’y jeta dessus goulument. Il recommença l’opération à trois ou quatre reprises puis, se retournant, le membre turgescent dressé fièrement devant lui, il s’agenouilla et se pencha jusqu’à tremper son gland dans ses excréments, puis se relevant, il le présenta à Kévin qui était aux anges. Lui avait ouvert sa braguette et sorti son membre en totale érection. Il prit le gland encrassé dans la bouche et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire il le rendit propre comme un sou neuf à son propriétaire. Celui-ci voyant à quel point cela plaisait à son ami renouvela l’opération en se barbouillant plus méthodiquement. Kévin, heureux et gourmant, n’en fit qu’une bouchée. Il engloutit le membre souillé et le nettoya en lui prodiguant des caresses savoureuses. C’est au cours de la troisième opération que Matthias, ne pouvant plus contenir le flot de sève qui montait, s’épancha dans la bouche de Kévin qui dégusta ce nectar digne de Dieu. Kévin se releva pour que Matthias lui rende la pareille. Il allait tremper son membre dans le tas d’excréments quand Matthias le supplia de ne pas le faire. Alors, son excitation frisant la démence, il en prit une pleine poignée et s’en remplit la bouche pendant que Matthias lui prodiguait une mémorable fellation.


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Lundi 22 février 1 22 /02 /Fév 20:39

- Non !

- Ben, on est pas dans la merde, dit-il en s’esclaffant.

Kévin était au comble de l’excitation et ceci lui permit de briser les chaines des tabous qui l’inhibaient et il osa ce qui lui aurait paru impensable à un quelque autre moment.

- Je vais te les nettoyer, dit-il. Penche-toi en avant.

Matthias s’y prêta et dégagea par là son cul. Kévin s’approcha, sortit sa langue et lapa une fois la rondelle maculée de son amant.

- T’aimes ça ?

- On peut pas dire qua ça a bon gout mais venant de toi ça peut pas être mauvais. Et puis c’est hyper excitant, ajouta-t-il après un instant.

Il ressortit la langue et lapa une seconde fois, puis une troisième. Il aimait a lécher le cul de son ami mais le fait qu’il soit souillé l’excitait cent fois plus. Ils bandaient tous les deux, et, ainsi à l’abri des regards, ils s’en donnaient à cœur-joie. Kévin passa la main entre les cuisses de Matthias et lui flatta les bourses et le vit. Ils jouirent ainsi avec une force inconnue jusque là.

- Et ? Demanda Alexandre.

- Et quoi ?

- Vous avez rien fait de plus ?

- Ben non !

- Je te crois pas.


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Dimanche 21 février 7 21 /02 /Fév 20:52

Notamment cette journée à Étretat. Ils étaient partis, les parents, les deux frères et l’amant du plus jeune, passer une journée dans cette station Balnéaire réputée pour ses falaises. Comme à leur habitude, les deux amants avaient poussé le frère hétéro à draguer les filles et s’étaient éclipsés, une fois le poisson mordant l’hameçon. Ils prirent le chemin qui longe les falaises par leur sommet et s’étaient éloignés de la ville. Plus ils s’avançaient, plus les estivants se faisaient rares, ce qui les poussait à s’éloigner encore. C’est alors que Matthias fut pris d’un besoin pressant. Ils marchaient depuis presque trois quarts d’heure et Matthias ne pourrait pas se retenir jusqu’à leur retour il leur fallait donc trouver un endroit isolé, ce qui n’était guère facile par là, où il put se soulager. Après avoir dépassé le golf ils quittèrent le sentier pour se mettre à l’abri des regards. Quelques valons et buissons plus loin, Matthias décréta que l’endroit était suffisamment bon pour qu’il déposât son offrande à la Terre. Il se déculotta donc et Kévin lui demanda :

- Je peux regarder ?

- Oui si tu veux !

Kévin s’allongea sur le sol et Matthias s’accroupit devant lui. Mais, gêné par le short à ses talons il se releva pour le retirer et reprit la position. Kévin caressa alors tendrement les fesses de son amant jusqu’à lui masser la rondelle. Mais ça ne dura pas, celui-ci le prévint que ça allait sortir. Kévin retira sa main, il contempla l’anus de son amant s’ouvrir et un torrent d’excrément odorants en sortir avec force et faire beau cône sur le sol, tel une glace italienne au chocolat, bien que l’odeur n’en soit pas la même.

- T’as des kleenex ? Demanda Matthias.


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Samedi 20 février 6 20 /02 /Fév 18:08

Ils éclatèrent de rire tous les deux. Matthias envoya quelques jets restant d’urine directement sur la braguette de Kévin améliorant la transparence du tissu détrempé.

- Tu vas aller te baigner tout habillé, sinon je sais pas comment on va pouvoir rentrer.

Mais pour aller se baigner ils devaient sortir des toilettes et marcher presque un kilomètre en centre ville avant de rejoindre la plage. Ils ouvrirent la cabine. Matthias s’écarta un peu pour admirer son œuvre et s’exclama.

- On voit ta bite comme si elle était dehors.

Ce qui les fit beaucoup rire. Ils allaient ainsi traverser presque tout Deauville attirant tous les regards, le plus souvent outrés, sur eux. Ils avaient même choisi de longer la plage et de ne pas se baigner tout de suite afin de choquer les honnêtes gens plus longtemps. Lorsqu’au bout de quelques temps le tissu, en séchant, redevint opaque, Kévin demanda à Matthias s’il n’avait pas à nouveau envie de pisser un peu. Celui-ci s’exécuta, dans un angle de rue, sans même rentrer dans une cabine, directement sur les points les plus stratégiques, à savoir, la braguette et ses alentours. Kévin, pour faire bonne mesure, rajouta la sienne depuis l’intérieur de son bermuda redonnant à celui-ci la transparence désirée, si délicieusement choquante.

Grégory était estomaqué. Il tenait son petit frère pour un ange et il s’apercevait qu’il était un petit démon. Kévin, par contre, était ravi de son effet ce qui l’entraina vers d’autres confidences. Comme celle concernant la cachette pour le livre qu’ils avaient ramené du Havre. Matthias avait découpé les pages intérieures d’une bible pour y ranger le livre tabou.

- Aussi, je trouvais bizarre, dit Grégory, le soudain mysticisme de Matthias à laisser trainer sa Bible en permanence sur la table de chevet.

- Ben c'est-à-dire qu’on la feuilletait fréquemment, répondit Kévin dans un éclat de rire contagieux.

- Vous êtes bien hard, s’exclama Alexandre.

- Et encore, ça c’est rien, laissa malencontreusement échapper Kévin, car désormais on n’allait plus le lâcher pour qu’il nous racontât la suite.


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Jeudi 18 février 4 18 /02 /Fév 23:11

Kévin rougit. Il se trahit. Il voulait certainement ne pas entrer dans trop de détails mais maintenant c’était trop tard, on allait lui tirer les vers du nez et il finit par nous dire qu’il aimait beaucoup ça, prendre la bite au repos de Matthias dans la bouche et qu’il s’y vidât la vessie. Il nous raconta notamment une aventure de ce type dans des toilettes publiques du centre de Deauville. Ils s’étaient enfermés tous les deux dans la même cabine. Matthias avait fait accroupir Kévin devant lui et lui avait présenté son membre. Kévin n’était pas du genre à se faire prier pour prodiguer ce genre de services à son amoureux. Il avait donc prit le sexe de Matthias en bouche s’apprêtant à lui donner une fellation dans les règles de l’art. Matthias lui retint la tête l’empêchant de mettre en œuvre ses talents et le prévenant qu’il allait uriner. Kévin, qui était habillé d’un bermuda blanc léger sans rien dessous et d’un t-shirt tout aussi blanc ne mit pas longtemps à comprendre les intentions de son ami. Il devait boire afin de ne pas mouiller ses vêtements. L’urine de Matthias arriva d’abord par petits à-coups dans la bouche de Kévin qui se dépêchait d’avaler. Son excitation était a son comble, la preuve en était la tente dans son entre jambe dont le mat était formé par sa superbe érection. Petit à petit le débit de Matthias augmenta, comme s’il voulait que Kévin ne puisse pas tout avaler. Et c’est ce qui arriva. Kévin se recula espérant que Matthias stopperait son jet mais celui-ci n’en fit rien. Il continua à pisser sur le visage, les cheveux et les vêtements de Kévin, visant l’entrejambe de son bermuda. Kévin voyant la catastrophe jaune qui s’abattait sur ses habits blancs reprit le sexe de Matthias dans la bouche mais celui-ci augmenta encore la pression de son jet. Kévin ne pouvait avaler et beaucoup de liquide jaune s’écoulait de sa bouche sur ses habits. Le flot de Matthias était intarissable. Kévin s’écarta à nouveau et Matthias lui arrosa copieusement le visage, le t-shirt et le bermuda. Kévin qui était de plus en plus excité se pencha en arrière donnant toute latitude à Matthias pour arroser la partie qui lui donnait envie. Lorsque le flot se tarit enfin Kévin était détrempé. Son t-shirt dont l’avant était jaune lui collait à la peau laissant voir ses tétons qui pointaient. Son bermuda léger était devenu presque transparent.

- Qu’est qu’on fait maintenant ? Demanda Kévin qui se releva enfin.


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Mercredi 17 février 3 17 /02 /Fév 21:35

La franchise de cette déclaration dérida Grégory qui s’esclaffa avec nous.

- Et dire que je le croyais encore puceau. Il m’a dépassé.

Nous pressions Kévin pour qu’il nous livre des détails croustillants. Il s’y prêta avec de plus en plus de facilité après avoir rechigné un bon moment. On apprit ainsi leurs aventures à Deauville. Comment Kévin avait manœuvré pour qu’on donnât à Matthias la chambre attenante à la sienne et qui partagea sa salle de bain, ainsi ils pouvaient se rejoindre pendant la nuit sans que personne n’en sache rien. Pourquoi ils encourageaient autant Grégory à draguer, afin qu’il les lâchât un peu et qu’ils soient plus libres de faire ce qu’ils voulaient. Leur virée au Havre avec la modeste voiture de Matthias, pendant laquelle ils avaient voulu visiter un sex-shop. Kévin avait été refoulé à l’entrée mais Matthias avait pu acheter le livre pour lequel ils s’étaient déplacés. Une sorte de Kamasoutra gay. Alexandre fila dans notre chambre et en revint avec un livre qu’il montra à Kévin :

- C’est ça ?

- Oui ! répondit Kévin visiblement embarrassé.

- vous vous emmerdez pas. Vous avez tout essayé ?

- Ben non, y’a des trucs vraiment hard.

- Vous êtes allés jusqu’où, demanda Alexandre en l’ouvrant à la table des matières ?

- On a pas suivi l’ordre, et on mettait pas souvent en pratique.

- Le fist ?

- Ça va pas non ?

- Le bondage ?

- C’est quoi ?

- Attacher et se faire attacher.

- Non, j’aime pas ça.

- L’uro ?


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Mardi 16 février 2 16 /02 /Fév 22:38

On éclata tous les trois de rire et on taquina Kévin pour qu’il nous racontât.

- Au moins le nom de la fille demanda Grégory.

Kévin faisait de la résistance. Ça ne nous regardait pas, c’était sa vie privée mais on le pressa tant qu’il finit par céder.

- Matthias !

- Matthias ? Questionna Grégory tout étonné.

- Oui !

- Qui c’est, demanda Alexandre.

- Mon meilleur ami, dit Grégory. Oh le salaud, il m’a rien dit.

L’hilarité se fit générale, même Kévin y participait. Puis, quand on réussit à se calmer Grégory demanda :

- C’était quand ?

- Ben, l’embarras de Kévin était irrésistiblement comique, à chaque fois qu’il vient à la maison.

- Quoi ?

- Ben oui, continua-t-il, aussi rouge qu’un coquelicot. A chaque fois il se débrouille pour venir me voir.

- Ben je sais, mais…

- Tu pensais que c’était pour quoi faire.

Grégory était estomaqué.

- Depuis quand ça dure ?

- Oh… Plus d’un an, répondit Kévin avec de plus en plus d’assurance.

- Mais… Et cet été ?

- Ben j’étais super content quand il est venu passer un mois avec nous à Deauville.

- Ben je comprends mon salaud, dit Alexandre.

Les rires fusaient et c’était au tour de Grégory de rire jaune. Il restait sidéré par ces révélations.

- J’ai pas beaucoup d’expérience, continua Kévin, mais je peux quand même dire que c’est un super bon coup.


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