Ils me détachèrent pour me rattacher tout de suite après, allongé sur le sol, les poignets et les chevilles reliées ensemble dans mon dos, jambes bien pliées, talons touchant les fesses. Je les laissai faire sachant que je ne pourrai que les retarder en me débattant mais qu'ils arriveraient malgré tout à leur but. Ils enfermèrent ensuite mes couilles dans une sorte de parachute en cuir fermé par une courroie et équipé de courtes chainettes, laissant mon membre hors du dispositif. Après s'être assuré de la solidité du dispositif et tirant, douloureusement pour mes couilles, dessus, je les vis avec effroi manœuvrer le treuil pour l’amener au dessus de moi et relier les chainettes au crochet.