Introduction

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Ce blog est un récit romancé. Pour le suivre, il faut entamer la lecture par l'article le plus ancien.


Sans doute, beaucoup de tous les écarts que tu vas voir peints te déplairont, on le sait, mais il s’en trouvera quelques-uns qui t’échaufferont au point de te couter du foutre, et voila tout ce qu’il nous faut. Si nous n’avions pas tout dit, tout analysé, comment voudrais-tu que nous eussions pu deviner ce qui te convient ? C’est à toi à la prendre et à laisser le reste ; un autre en fera autant ; et petit à petit tout aura trouvé sa place.

Sade

 

 

Malheur, cent fois malheur à la créature infortunée qui, dans un pareil abandon, se trouvait à la merci d’un scélérat sans loi et sans religion, que le crime amusait, et qui n’avait plus là d’autre intérêt que ses passions et d’autres mesures à garder que les lois impérieuses de ses perfides voluptés.

Sade

Samedi 5 juin 6 05 /06 /Juin 13:02

C'est à ce spectacle qu'ils souhaitaient assister. Je m’allongeai donc sur le sol et Alexandre s’accroupit au dessus de moi. Je lui demandai de pousser lentement.
- Ou plutôt essaie de ne pas pousser, laisse descendre tout seul, comme ça j’aurai le temps de manger.
Ce qu’il fit. Et que je fis après avoir échangé nos places. Il lâcha lentement la purée garnie de saucisses que j’avalai goulument, tiraillé par la faim, je ne remarquai même pas qu’elle avait pris un gout étrange, ou plutôt je fis tout pour ne pas y penser. A cette vue nos bourreaux bandaient à nouveau. Ils avaient enfin ce qu’ils voulaient depuis plusieurs jours.
Depuis ce jour nous fumes nourris ainsi.


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Vendredi 4 juin 5 04 /06 /Juin 20:36

Nous avions de grandes difficultés à garder le tout dans notre intérieur, la nature est ainsi faite que ce qui encombre nos intestins cherche à sortir tout seul. Ils manipulaient notre joystick intégré tout en ramonant notre intérieur au point qu'ils me firent lâcher la purée (pas celle que j'avais dans les tripes) au moment où ils mettaient la touche finale à notre plat.
De retour dans la cellule ils nous attachèrent à nouveau les mains dans le dos, puis, alors qu’un nous retirait les baillons, l’autre se saisit du tuyau qui leur servait à nettoyer sous pression la cellule et nos corps et se préparait à l’utiliser si nous laissions tomber la nourriture sur le sol. La seule façon de l’en empêcher était de nous nourrir mutuellement directement de l’intestin à la bouche.


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Jeudi 3 juin 4 03 /06 /Juin 21:19

Je cessai quand j’eus vidé la moitié du plat et nous échangeâmes nos positions. Être ainsi empli par cette nourriture encore tiède était étrange mais pas désagréable. J’avais la sensation inverse de celle que l'on a quand on défèque. Au lieu de me vider je me remplissais. Je savais que je n’aurai pas à garder cella très longtemps et que bientôt j’aurai à l’avaler. Malgré moi je bandais.
Notre délivrance fut retardée par nos bourreaux. L’un après l’autre ils nous replacèrent sur le sling pour limer notre cul s’enfonçant dans la purée dont nous allions devoir nous sustenter.
- Je rajoute ma sauce, plaisantaient-ils.
- Petite touche maison.
- Vous allez vous régaler mes salauds.


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Mercredi 2 juin 3 02 /06 /Juin 22:07

Devant notre air interrogatif ils nous expliquèrent que nous devions rapporter la nourriture dans la cellule.
- Bien sur vous n’avez droit qu’à un voyage, précisèrent-ils.
Une fois dans la cellule ils nous retireraient les baillons et nous pourrions manger tout ce que nous y aurions apporté. Alexandre et moi nous comprîmes alors la présence du spéculum depuis la première séance de cette nouvelle forme de torture.
Ce fut lui qui se prêta en premier à l’opération. Il s’installa sur le sling et j’approchai le spéculum de son fondement. Je le vis grimacer, malgré l’expérience, lorsque j’écartai les lames de l’appareil. Lorsque son rectum me parut suffisamment ouvert je saisis à pleine main les saucisses et la purée et les lui enfonçai dans les intestins.


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Lundi 31 mai 1 31 /05 /Mai 23:10

Mais nous étions passé experts dans l’art de ce que l’on nomme gorge profonde et si Alexandre avait régurgité la nourriture c’est parce qu’il le cherchait. Ils ne réussirent pas à nous faire vomir. Ils jouirent alors de nos corps et les maltraitèrent mais ça n’avait plus d’importance puisque nous avions l’estomac plein.
Le lendemain, le même cinéma recommença. Sur la table il y avait cette fois de la purée avec des saucisses de Strasbourg. Ils nous mirent des baillons cadenassés derrière le cou puis libérèrent les mains et les chaînes pour nous permettre d’atteindre la table chargée de nourriture que nous ne pouvions plus avaler.


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Dimanche 30 mai 7 30 /05 /Mai 18:37

Il recommença l’opération le nombre de fois qu’il fallut pour me rassasier. Ayant mangé plus que nécessaire il lui en restait suffisamment pour qu’il ne passe pas faim. Nos geôliers avait assisté à toute la scène avec une humeur de plus en plus mauvaise. Manifestement ils ne s’attendaient pas à une telle solution et nous allions payer notre ingéniosité.
Ils nous sortirent l’un après l’autre de la cellule pour nous installer sur le sling qui ornait la pièce à coté et nous pénétrèrent violement des deux cotés, s’enfonçant autant que possible dans nos gosier à la recherche du moment que nous allions rendre tout ce que nous avions avalé


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Samedi 29 mai 6 29 /05 /Mai 10:11

On ne vomit pas sur commande et il ne pouvait s’aider de ses doigts ou des miens pour aller titiller le fond de sa gorge en vue de déclencher le réflexe voulu. Il eut alors l’idée d’utiliser quelque chose d’autre qui était bien plus long et savoureux qu’un doigt. Il se laissa choir à genoux devant moi et avala mon membre jusqu’à la garde. Il ne mit pas longtemps à grandir et lors des premiers haut le cœur, Alexandre ne les combattit pas, il se contenta de reculer et fermer les lèvres pour protéger la précieuse pitance qui devait me nourrir. Aussitôt il se leva, colla sa bouche à la mienne et me donna ce qui m’avait été interdit si longtemps.


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Vendredi 28 mai 5 28 /05 /Mai 16:49

Une fois bien rassasié, et même au-delà du possible, il se remplit un maximum la bouche de nourriture et tournant le dos à la table en prit deux grandes poignées dans ses mains, puis il revint vers la cellule. Il me donna le contenu de sa bouche et de ses mains à avaler mais c’était bien peu par rapport à mes besoins et à ma faim. Mais il avait imaginé tout seul un stratagème ingénieux et qui fâcha fort nos bourreaux. Il avait calculé de régurgiter une partie de ce qu’il avait avalé comme le font certains oiseaux pour nourrir leur progéniture qui ne peut quitter le nid douillet. Notre nit n’était pas douillet et sa solution n’était pas facile à mettre en œuvre.


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Jeudi 27 mai 4 27 /05 /Mai 10:27

Le lendemain ils préparèrent une table comme la veille à l’exception de tout l’apparat qu’ils n’installèrent pas. Pas de nappe blanche, pas de verre de vin, pas d’assiettes de porcelaine, mais le plat plein de coquillettes dans une sauce du genre bolonaise, avec un bol de fromage râpé à coté et toujours le saugrenu spéculum. Ils donnèrent du mou à la chaine d’Alexandre qui put s’approcher de la table. Ma chaine fut maintenue tendue et je restai dans la cellule. Sachant qu’il ne pouvait faire qu’un aller retour jusqu’à la nourriture, Alexandre plongea sa tête dans le plat et ingurgita tant qu’il put de nourriture. Il se redressa à plusieurs reprises pour faire descendre avant de reprendre son gavage.


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Mercredi 26 mai 3 26 /05 /Mai 10:52

Après quelques minutes de volupté, nos peaux collées l’une à l’autre, notre désir ressurgit comme s’il fallait rattraper le temps passé loin de l’autre. Cette fois-ci notre amour dura plus longtemps, fût précédé de préliminaires pendant lesquels on fit notre toilette respective, avec le seul instrument dont nous disposions, à savoir, notre langue. Nous ne fûmes, ni l’un, ni l’autre dégoutés de notre crasse accumulée depuis plus d’une semaine sans bain. N’ayant pu que très peu manger je me restaurai de la sueur qui avait séché sous ses aisselles, de ce que je trouvai sous son prépuce, mélange de fromage, de foutre et d’excréments que mon cul avait laissé. Je nettoyai ainsi consciencieusement toutes les parties de son corps et il fit de même avec moi. Nous terminâmes par le nettoyage simultané de nos membres dans une position que chacun connait et nous nous bûmes mutuellement.


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Mardi 25 mai 2 25 /05 /Mai 17:07

Nous choisîmes de les ignorer. Nos bouches reprirent le baiser si vite suspendu. Nos sexes se gonflèrent encore et même si nous ne pouvions pas nous toucher, mains attachés dans le dos comme nous les avions, nos torses, notre abdomen et nos pubis se frottaient voluptueusement. Nous jouîmes une première fois comme des puceaux tant notre désir et notre bonheur d’être à nouveau ensembles était grand alors qu’ils n’avaient toujours pas fini le premier plat.
Après leur départ nos joutes reprirent avant toujours autant d’ardeur. Je lui présentai mon cul. Mais mains pouvaient ainsi lui caresser le sexe et séparer mes fesses entre lesquelles Alexandre s’enfonça et dans lesquelles je l’accueillis avec joie. Après m’avoir fécondé nous fîmes tous les deux demi tour et je m’enfonçai dans les siennes où je déposai ma semence.


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Lundi 24 mai 1 24 /05 /Mai 11:21

Ils refermèrent la porte sur nous, nous expliquant leurs règles et nous conseillant de nous y prendre autrement le lendemain. Entretemps, Alexandre, sans se douter qu’il allait rester à jeun une journée de plus, avait fait passer sa bouchée dans mon gosier et je l’avais prestement avalée. C’était peut être pire que de rester à jeun. En arrivant dans mon estomac elle réveilla une faim atroce accompagnée par une nausée qui faillit me la faire rendre tant mon corps s’était déshabitué à la nourriture. Mais le bonheur de nous retrouvait nous fit supporter cette famine. Je bandais depuis que j’avais reconnu Alexandre descendant les escaliers, et celui-ci était dans le même état depuis qu’il m’avait aperçu dans la cellule. Lui aussi s’était figuré que j’avais été assassiné, coupé en morceaux et cuisiné. Ce fut la faim qui dessouda nos lèvres, Alexandre souhaitant retourner au plus vite vers la pitance avant de s’apercevoir qu’il ne pouvait plus l’atteindre. Les monstres s’étaient attablés et ripaillaient bruyamment et ostensiblement devant nous comme pour mieux nous rabaisser et nous signifier notre misère.


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Dimanche 23 mai 7 23 /05 /Mai 22:03

- T'aurais pu manger, me dirent-ils. Tu t'es privé pour rien.
En tirant sur sa chaîne qui était restée vide depuis des journées interminables pour moi et lui avoir remis le collier en fer autour de cou, ils l'assirent devant la table et lui apprirent que, tout comme lui, faisait un paquet de jours que je ne touchais plus à la nourriture mais, qu’après s’être rassasié, il allait pouvoir me nourrir. Devant l'air interdit d'Alexandre qui se demandait comment faire, ils lui signifièrent qu'il n'aurait qu'à se débrouiller et ne lui délièrent pas les mains du dos. Pensant à moi et à ma faim avant de penser à lui et à la sienne, il prit une bouchée en plongeant directement sa gueule ouverte dans le plat et vint me l'apporter. Ce fut une erreur. Ce que nos bourreaux ne lui avaient pas dit c’est qu’il n’avait droit qu’à un seul passage de la table à la cellule. Alors qu’en toute innocence il s’approchait, bouche pleine, de moi pour me donner la becquée, ils tendirent la chaine l’empêchant de retourner à la nourriture qui ne lui tendait plus les bras.


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Jeudi 20 mai 4 20 /05 /Mai 21:42

Quelle ne fut pas ma surprise, qui me laissa sans voix et m'ôta le peu de forces qui me restaient au point que je m'écroulai derrière les barreaux de ma cellule. De l'escalier qui descendait à la cave je vis apparaitre, entre les jambes habillées de kaki de mes geôliers, deux jambes nues que je n'arrivais pas à admettre que je ne reverrai plus. Je les reconnues instantanément. Étais-je en train de rêver ou de délirer ? Marche après marche le reste du corps apparut. Son sexe recroquevillé par l'appréhension me parut magnifique et m'émut jusqu'aux larmes. Ses bras attachés dans son dos. Son petit ventre portait encore les marques rouges des coups de fouet qu'il avait reçu. Enfin je vis son visage et mon torrent de larmes reprit, non plus de douleur mais de soulagement et de bonheur.


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Mardi 18 mai 2 18 /05 /Mai 22:26

Le neuvième jour de ma grève de la faim, ils apportèrent une table et trois chaises dans la salle attenante à ma cellule. Sur la table ils mirent une nappe blanche brodée, une grande assiette de porcelaine et une plus petite à l'intérieur, blanches toutes les deux, mais pas de fourchette ni de couteau. Un verre à pied en cristal taillé et, instrument grotesque et déplacé sur une table dressée pour un repas, un speculum. Puis ils ouvrirent une bouteille de vin rouge dont ils remplirent le verre et apportèrent un plat de spaghettis avec au centre la viande cuisinée que je n'avais pas voulu. Je compris leur manège. Pour me torturer plus encore ils allaient manger Alexandre devant moi.


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