Samedi 3 juillet 6 03 /07 /Juil 12:25

Une peur panique l’envahit au moment de desserrer un peu ses sphincters, car la pression étant énorme sur eux, il sentit, au comble du désespoir, qu’il allait se vider complètement sans pouvoir stopper le flot me condamnant irrémédiablement à une mort atroce. Dans un effort surhumain il réussit à resserrer les muscles et à arrêter les cataractes qui se répandaient de ses trippes mais un rapide coup d’œil au fond de la baignoire lui révéla l’étendue des dégâts. Il avait du relâcher d’un coup plus d’un litre de liquide brun et nauséabond accompagné de gros morceaux et tout ceci se déversait dans ma bouche. De mon coté, je ne pouvais juger de la quantité et j’eus juste le temps de prendre une forte inspiration avant que d’être submergé. Sur le canapé, les tortionnaires virent le tuyau se remplir jusqu’à déborder de plusieurs centimètres au fond de la baignoire et ils se masturbaient frénétiquement.
Je ne perdis par de temps et je m’activai à avaler le plus rapidement que je pouvais. Sur l’écran on voyait ma glotte monter et descendre à un rythme effréné. J’étais proche de la panique et m’y rapprochais à mesure que le temps passait et que mon besoin d’oxygène augmentait. La baignoire se vidait et j’eus l’espoir de réussir avant de manquer d’air me soulage mais il fut de courte durée. Il y eut un morceau plus gros que les autres qui surnageait, et je constatai au comble du désespoir qu’il est trop gros pour passer par le tuyau. Effectivement, lorsque je réussis à avaler les dernières gorgées le morceau se posa délicatement sur l’ouverture et l’obstrua funestement.
Les vannes de ma panique étaient ouvertes. J’avais besoin d’air et rien n’arrivait. Je me débattis violemment mais vainement dans mes liens. Alexandre me voyait et était accablé. Il ne pouvait m’aider, suspendu à une dizaine de centimètres du fond de la baingoire. Je tirai désespérément sur les sangles qui résistaient. Je tentai enfin une dernière manœuvre en expirant vivement l’air qui me restait dans les poumons espérant ainsi dégager le tuyau. Le morceau se souleva de quelques centimètres sous l’effet du souffle, retomba à coté de l’ouverture mais, aidé par sa forme sphérique, roula impitoyablement et revint colmater le passage. Il y eut, venant du canapé à ce moment là, simultanément les soupirs puissants de deux orgasmes prodigieux.


Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

Recherche

 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés