Le treuil n'était pas arrêté et le supplice augmentât encore, comment étais-ce possible ?, quand mes épaules décollèrent à leur tour. La tête basculée au maximum en arrière je cherchais à garder le contact avec le sol. Mais ça ne dura pas bien longtemps. Le sommet de mon crane décolla enfin dans une douleur inimaginable pour celui qui ne l’a pas connu et indescriptible avec les mots de notre langue. La nausée et l’étourdissement me vint. A la limite de l’évanouissement je vomis. J’avais toujours le scotch qui me bâillonnait, ma bouche se remplit de sucs gastriques qui ne trouvant pas d’issue s’évacuèrent par le nez. J’allais mourir étouffé par mes régurgitations. J’allais laisser Alexandre seul entre les mains de ces monstres.