Hervé, qui avait repris connaissance, fut détaché de son carcan mais son calvaire n’était pas fini. L’horreur de la situation était à son comble et j’en tremble à la décrire. Les clous avaient traversé les bourses d’Hervé de part en part et s’étaient fichés dans la planchette qui était sous ses couilles. Ils l’assirent sur une plaque de bois ronde munie de quatre anneaux sur sa circonférence et d’un autre à son centre. Une ficelle fut attachée à cet anneau puis à un des clous qui avaient percé les couilles d’Hervé, trop courte pour qu’Hervé puisse tendre ses jambes une fois debout. Ils attachèrent des chaines aux anneaux disposés sur les bords de la plaque pour l’accrocher au treuil. Ils le soulevèrent ainsi du sol, installèrent le cylindre transparent sous lui et le firent redescendre à l’intérieur.
Ils l'assirent assis... ils ont pas beaucoup d'imagination je trouve