Leurs bites se tendaient. Nos angoisses et nos souffrances les excitaient au plus haut point. Ils n’allaient avoir aucune pitié. Notre sort était tragiquement désespéré.
Ils le prirent par devant et par derrière sans ménagement. Ils avaient jute craché un peu sur sa rondelle avant de lui défoncer le cul sauvagement. Sa plainte fut étouffée par la bite qui s’enfonçait dans sa gorge à travers d’anneau lui soulevant l’estomac et risquant à tout moment de le faire vomir. Régulièrement ils changeaient de place, celui qui le pénétrait par derrière venait devant, sans même s’essuyer la bite, et l’autre allait à l’arrière.