J’expliquai à Alexandre que ses parents allaient s’apercevoir de notre disparition et qu’ils lanceraient la police à notre recherche, qu’elle allait nous retrouver et nous libérer et que les assassins d’Hervé allaient payer pour leur crime, mais je ne croyais pas à ce que je lui disais.
Pendant quelques jours nos tourments vont cessèrent même s’ils vinrent se satisfaire dans le fondement de l’un ou de l’autre. Les assassins nous traitèrent même assez bien. Ils nous nourrissaient régulièrement avec de délicieux plats de viande cuisinée avec art que nous engloutîmes avidement. Horreur absolue, au bout d’une semaine ils nous apprirent que nous avions mangé Hervé.