Ils firent respirer un flacon à Hervé qui revint à lui, puis ils manipulèrent le treuil pour nous faire redescendre. Il était au comble du désespoir et fondit en larmes. Nos muscles, déjà endoloris, ne pourraient plus nous supporter longtemps. Les contractions involontaires ne tardèrent pas à réapparaitre et bientôt nos fesses poussèrent sur la feuille de plexiglas. Hervé poussa de nouveaux hurlements sans s’évanouir. Que pouvions-nous faire pour lui épargner ou pour lui écourter ce supplice ? Rien ! Alors qu’Hervé poussait un nouveau cri, un gémissement, suivi rapidement d’un autre, nous apprit l’orgasme de nos deux bourreaux qui, nous l’espérions, mettrait enfin un terme à cette horreur. Notre espoir fut déçu. Ils ne bougeaient pas d’un pouce et continuaient à contempler le spectacle atroce qu’on leur donnait. Et ce spectacle ne faisait que commencer.