Je compris que lorsque mes fesses poussaient la feuille de plexiglas les clous perforaient les bourses d’Hervé, mais lorsque dans un effort désespéré je me hissais à nouveau, les ressorts repoussaient la tablette cloutée pour les extraire les clous des bourses d’Hervé, ainsi à la prochaine fois que mes fesses allaient pousser la feuille les clous allaient percer une nouvelle fois les bourses renouvelant à l’infini les mêmes tortures. La seule façon d’en finir, car nos bourreaux n’interrompraient pas d’eux même, était de relâcher totalement nos muscles infligeant une atroce douleur à Hervé mais qui, au moins, serait la dernière. A contre cœur c’est ce que je fis, suivi aussitôt par Alexandre qui comprit mon raisonnement. Le cri que poussa Hervé nous horrifia ; heureusement il s’évanouit, façon pour lui de s’échapper à cet enfer.