Quelques jours après ils vinrent nous chercher pour nous conduire dans la salle de tortures. Dans le couloir que nous primes je remarquai la vitrine, que j’avais déjà remarqué lors de la séance fatale pour Hervé. Elle contenait alors deux étagères remplies de quatre crânes chacune. Cette fois-ci un nouveau crâne était posé sur la troisième étagère.
Dans la salle ils me couchèrent de dos sur une plateforme, les mains attachés le long du corps, les jambes repliées écartées sur mes flans, la tête dépassant de la plateforme renversée en arrière, le bassin dépassant de l’autre coté, mon cul et ma bouche disponibles pour tous les assauts sexuels. Ils revinrent avec Alexandre qu’ils installèrent tête bêche au dessus de moi, ses fesses proches de ma bouche et sa tête au dessus de mes fesses. Un des bourreaux me donna sa bite à sucer me recommandant de bien la lubrifier, puis, sortant de ma bouche dans laquelle il plaça le sexe flaccide d’Alexandre, il s’enfonça sans ménagements dans son fondement tout proche.