Puis ils remplirent d’eau le cylindre jusqu’à ce qu’Hervé soit obligé de se relever pour garder la tête hors de l’eau. Mais la ficelle qui lui relie les couilles à la planche du fond étant trop courte il devait rester accroupi. S’il tirait sur ses cuisses il augmentait ses souffrances. S’il les relâchait il se noyait. Le principe était effroyable. Il ne pouvait pas tenir bien longtemps. La mort allait enfin le délivrer mais qui est disposé à mourir sans se battre jusqu’au dernier souffle ?Ils me suspendirent à nouveau aux treuils et m’amènent à la verticale du cylindre et alors, enfin, ils me retirèrent le short en latex qui m’obligeait à reboire indéfiniment mon urine. Celle-ci s’écoulait désormais dans le cylindre, faisant monter, petit à petit, impitoyablement, le niveau.