La fois suivante pouvait lui être fatale mais au moins allait-il être délivré de ces bourreaux.Il prit une forte inspiration et se posa au fond de la cuve pour se reposer un peu. Malgré des efforts surhumains je ne réussis pas à retenir ma vessie et quand il revint à la surface, le niveau ayant monté et il échoua à sortir son nez du liquide. Lorsque celui-ci pénétra ses poumons la douleur fut telle et il se débattit tant qu'il en arracha les clous qui reliaient les deux planchettes emprisonnant ses couilles, pouvant ainsi se redresser et s'extraire jusqu'aux épaules de l'eau meurtrière qui se colorait en rouge, et reprendre souffle au milieu d'une cascade de toussotements et de crachats, recrachant ce qu’il avait respiré. Il était sauvé. Pour un temps limité du moins.