Introduction

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Ce blog est un récit romancé. Pour le suivre, il faut entamer la lecture par l'article le plus ancien.


Sans doute, beaucoup de tous les écarts que tu vas voir peints te déplairont, on le sait, mais il s’en trouvera quelques-uns qui t’échaufferont au point de te couter du foutre, et voila tout ce qu’il nous faut. Si nous n’avions pas tout dit, tout analysé, comment voudrais-tu que nous eussions pu deviner ce qui te convient ? C’est à toi à la prendre et à laisser le reste ; un autre en fera autant ; et petit à petit tout aura trouvé sa place.

Sade

 

 

Malheur, cent fois malheur à la créature infortunée qui, dans un pareil abandon, se trouvait à la merci d’un scélérat sans loi et sans religion, que le crime amusait, et qui n’avait plus là d’autre intérêt que ses passions et d’autres mesures à garder que les lois impérieuses de ses perfides voluptés.

Sade

Vendredi 8 janvier 5 08 /01 /Jan 20:51
Pourquoi ai-je accepté… Que dis-je ? Pourquoi ai-je demandé à subir ça ? Tout le cauchemar de la séance où je faillis perde la vie se présentait à moi mais dans mes souvenirs, ceux que je tentais vainement d’oublier, la douleur n’était pas aussi insupportable. Je devais trouver un moyen pour faire cesser ce calvaire car je savais qu’eux n’arrêteraient pas, puisque je leur avais fait promettre de ne pas arrêter. Mais j’avais du perdre l’entendement alors car, même s’ils ont prirent des initiatives, dans l’ensemble ils me firent subir ce que je leur avais demandé de me faire subir. Il n’y avait aucun espoir que j’arrive à ma libérer de ces liens experts, d’autant plus qu’en tirant sur mes bras je tendais la corde qui m’arrachait les couilles. La situation était désespérée mais je bandais. Aussi incroyable que cela puisse paraître je bandais comme un damné. Une partie de moi voulait que ça s’arrête mais une autre partie voulait atteindre l’orgasme qui promettait d’être phénoménal.

Un second coup de talon tomba sur mes couilles, y apportant une douleur indescriptible qui se mêlait au plaisir pervers procuré par le membre en latex qui comprimait ma prostate. David, tout en continuant à me flageller le dos tira sur les pinces qui m’arrachaient les tétons. Il demanda à Stéphane d’intensifier les coups (je ne croyais pas que ce fut possible ni supportable) et la cadence. Alors que les coups tombaient avec une régularité diabolique, apportant à chaque fois une douleur plus extrême, et que je n’avais aucun moyen de m’y soustraire, David me retira la pince de mon téton gauche et une immense brulure me parcourut le torse me faisant gémir dans mon bâillon. Puis, quelques instants, et quelques coups sur mes couilles, plus tard, il tira sur le poids pendu à l’autre pince jusqu’à l’arracher dans une déflagration de douleur cent fois plus intense dans ma poitrine.
- Accélère, dit-il à Stéphane en se saisissant de ma bite.
C’est alors que je fus submergé par la jouissance la plus intense que j’ai jamais connu. J’eus la vue qui se brouilla et une onde de plaisir qui vint tout emporter au passage. Les coups sur mes couilles, qui n’avaient jamais été aussi forts et répétés, n’engendraient plus aucune douleur, pas plus les lanières qui zébraient mes reins. Tout fut balayé au passage de mon orgasme. J’eus l’impression que je n’y survivrai pas, que mon cœur allait exploser.


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Jeudi 7 janvier 4 07 /01 /Jan 23:42
Les aiguilles dans ma bite se transformaient progressivement en clous acérés, au fur et à mesure que David appuyait sur les boutons de l’appareil, et la douleur intense me faisait me contorsionner comme si j’avais pu échapper à cette torture par ma propre volonté. Ces gesticulations incontrôlées et incontrôlables me faisaient tirer sur la ficelle qui m’étirait les bourses. Les lanières mordaient mes reins et mes épaules, débordant allègrement sur mes flans et allant jusqu'à frapper mes tétons douloureusement étirés par les poids qu’elles faisaient se balancer impitoyablement. Il n’y avait plus de caresse désormais sur mes fesses, la palette frappait et frappait encore avec une cadence diaboliquement soutenue, échauffant mes fesses où elle instillait une indicible brulure ne s'aventurant plus pour l’instant sur mes couilles.
Sans le bâillon mes gémissements étouffés auraient été des hurlements alors que David augmentait encore l’intensité des décharges électriques qui me brulaient l’urètre et qu’il amplifiait la force des frappes qui me lacéraient le dos.
Soudainement les coups ne tombèrent plus sur mes fesses ou sur mes cuisses, Stéphane visa exclusivement mes couilles dans une succession de frappes serrées, de plus en plus rapide, instillant une douleur insupportable qui irradiait dans mon abdomen et mes cuisses.
Tout mon corps était soumis à une torture savante. Mes trous étaient tous occupés ; le bâillon sans lequel j’aurais ameuté tout l’hôtel ; le godemichet qui me labourait le fondement, manœuvré par les mouvements de ma tête qui tiraient sur la ficelle qui parallèlement m’arrachait les couilles ; la sonde qui m’électrocutait de l’intérieur de l’urètre et qui me faisait sursauter de façon désordonnée, accentuant la tension de la ficelle reliant mon crâne a mes bourses ; les coups qui s’abattaient inexorablement sur celles-ci et auxquels je ne pouvais échapper ; les lanières qui me labouraient les cotes, le dos et les reins ; mes tétons qui se distendaient tirés par des poids que les lanières venaient exciter ; les poids qui tirent sur le prépuce de ma verge bandée à son maximum. Les tortures me submergeaient de partout en même temps à une cadence infernale me mettant le feu dans tout le corps sans un instant de répit. Je ne savais même pas laquelle est la pire ou la meilleure. Je croyais être au paroxysme de la douleur lorsque je vis Stéphane abandonner la palette de cuir et se saisir d’une chaussure par la pointe, tapant, devant mes yeux effrayés et effarés, du talon dans la paume de sa main pour m’annoncer les sévices qui allait suivre. Il disparut de ma vue en retournant entre mes jambes écartées et inutiles puis un petit coup vint écraser mes testicules contre la base du godemiché faisant exploser une douleur intolérable dans mon bas ventre et propulsant le membre de latex dans mon fondement.

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Mercredi 6 janvier 3 06 /01 /Jan 20:12
La sonde avait atteint mon gland et les doigts experts de David ouvrirent l’urètre que la sonde allait perforer. La douleur fut vive et indescriptible. Elle progressait lentement mais surement en profondeur. Stéphane ne tapait plus sur mes fesses, il laissait David s’occuper de ce délicat ouvrage. Je gémis de douleur, une souffrance que je ne connaissais pas et qui devait ressembler aux effets de la chaude-pisse. La progression de la sonde dura une éternité mais j’anticipais avec crainte quand elle serait reliée à l’appareil et que les premières impulsions électriques viendraient se déverser en moi.
La sonde en place, Stéphane reprit la fessée qu’il avait interrompue. Une caresse sur une fesse et sans prévenir un coup sec me faisant gémir. Puis une autre caresse. La durée des caresses n’était jamais la même. Parfois la palette s’écartait de mes fesses pour revenir les caresser au moment où j’attendais le coup. Ce qui faisait que je ne savais jamais quand viendrait la brulure.
Devant mon regard effrayé je vis David réaliser la connexion de la sonde à l’appareil à impulsions. Il se saisit de poids qu’il rajouta aux pinces qui tiraient mes tétons. La douleur à cet endroit était diffuse et chaude, pas désagréable, parfois intense quand il faisait balancer les poids. Puis il pressa des boutons sur l’appareil et je sentis un chatouillement à l’intérieur de ma bite. C’est à ce moment que le coup de palette, au lieu de s’abattre sur mes fesses, tomba sur mes couilles me prenant par surprise et me tirant un cri que personne n’entendit, étouffé par le bâillon.
Les doigts de David couraient sur les touches de l’appareil et le chatouillement se transforma progressivement en contractions désagréables, puis en morsures douloureuses, un peu comme si on m’enfonçait des aiguilles à l’intérieur de ma bite. Il se saisit d'un martinet à multiples lanières et l'abattit sur mon dos sans défense.
La durée des caresses entre les coups de palette se réduisait, augmentant la fréquence des coups qui pleuvaient sur mes fesses, mes cuisses et parfois sur mes couilles, les échauffant petit à petit.

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Mardi 5 janvier 2 05 /01 /Jan 22:54
Le godemichet était entré entièrement dans mes intestins, seuls restaient dehors les ersatz de couilles qui butaient contre ma raie. Je sentis une ficelle passer dans celle-ci, courir dans mon dos, puis David me tira la tête en arrière, comme s’il était encore possible de tordre un peu plus mon cou, pour attacher la ficelle à un anneau au sommet du harnais qui me bâillonnait. Cette ficelle était reliée directement à mes couilles et courait par dessus le gode qui habitait mes entrailles. Lorsqu’il lâcha mon crâne, celui-ci, en retombant sur le lit, tendit la corde et mes couilles à la limite de l’arrachage. David me expliqua que si je poussais pour me débarrasser du gode alors ce seraient mes couilles qui seraient écartelées. Ils avaient de l’expérience, j’en étais désormais certain. Ce dont j’étais désormais certain, c’étais de l’effet que cette séance sur moi, je bandais comme un âne.
David rajouta deux pinces à poids à mon prépuce alors que Stéphane me décrivait la suite. Il me montra une palette constitué de deux lamelles de cuir épais qui allaient claquer l’une sur l’autre et amplifier la force du coup. Il la donna à David puis me montra l’appareil suivant, un boitier électronique qui fournissait des impulsions électriques d’une intensité réglable pouvant être très fortes. Il me montra les pinces qui s’y adaptaient ainsi que la sonde à introduire dans l’urètre. Ils étaient bien équipés les bougres. Je ne m’attendais pas à ça et je commençais à avoir peur. Mais je constatai que cette peur alimentait mon excitation et mon érection.
La palette caressa tendrement mes fesses, je savais que bientôt elle viendrait y mordre douloureusement et cette caresse n’en était que plus inquiétante. Stéphane se versa du gel bactéricide sur ses mains et m’en induisit le gland en faisant balancer méchamment les poids accrochés aux pinces, puis il stérilisa la sonde qu’il approcha de façon angoissante de mon membre.
Un premier coup s’abattit sur mes fesses. Je réalisai alors qu’elles allaient finir rougies et qu’Alexandre ne pourrait pas ne pas le voir. Mais c’était beaucoup trop tard pour ce genre de considérations. Je tentai de parler et constatai que rien de compréhensible ne pouvait sortir de ma bouche. J’allais bel et bien être fessé vigoureusement et je devrais assumer après. Je décidai d’évacuer le problème, j’aurai tout le temps après pour y revenir.

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Lundi 4 janvier 1 04 /01 /Jan 20:16
Ils étaient été surpris par ma demande, me demandèrent des précisions sur mes désirs, mes limites, mon expérience et mes motivations. Je mentis pas mal, m’inventant des expériences ayant peur qu’ils soient réticents à passer à l’acte s’ils découvraient que j’étais un novice. Je ne leur révélai pas ma véritable motivation, leur disant simplement que ça m’excitait terriblement et que ça me faisait jouir, chose que la séance était censé m’apprendre. Je ne sais pas s’ils me crurent mais le fait est que peu de temps après j’étais attaché comme une dinde attendant d’être enfournée, mon poignet gauche ficelé à ma cheville gauche, mon poignet droit à la droite, mes coudes aux genoux avec les avant-bras le long des jambes, mes pieds, mes jambes, mes épaules et ma tête reposant sur le matelas, mon cul pointant vers le plafond ; il ne manquait que la farce. Ils rajoutèrent une corde pour relier mes chevilles aux pieds du lit les maintenant dans une position écartée très inconfortable. Un harnais de tête équipé d’un bâillon boule m’interdisait la parole. Et je bandais.
Ils étaient derrière moi et je les sentis m’induire les fesses et la raie d’un produit froid, certainement du lubrifiant, puis David me présenta un godemiché d’une taille respectable et il le dirigea vers mon anus ; ce n’était pas de marrons qu’ils allaient me farcir. A l’arrière de ma tête Stéphane jouait avec mes seins, il tritura, pinça, tordit mon téton gauche pendant un long moment puis je sentis une morsure vive lorsqu’il y plaça une pince. Ses doigts se déplacèrent sur mon téton droit. Je pouvais alors voir dans le miroir de la chambre ses doigts travailler à me martyriser le téton, puis je vis une pince munie d’un poids s’approcher et mordre ma chair comme tout à l’heure une autre pince similaire avait mordu mon téton gauche. Les poids se balançant sous moi instillaient une chaude douleur dans mes seins.
Pendant ce temps, la tête du gode n’avait pas cessé de me caresser la raie et elle me perfora au moment précis où la pince se referma sur mon téton droit m’arrachant un gémissement de surprise, étouffé par la boule qui occupait ma bouche. Le membre en latex poursuivit sa progression impitoyable dans mon fondement, puis, au bout de plusieurs centimètres, repartit en marche arrière jusqu’à être presque totalement ressorti avant de reprendre sa progression en avant, pénétrant de quelques centimètres supplémentaires. Ces va et vient continuèrent un bon moment. L’autre tortionnaire, Stéphane, ne restait pas inactif, il se saisit de mes bourses et entreprit de les ligoter serrées. Avec une ficelle il tourna, retourna et retourna encore autour de mon scrotum, emprisonnant les testicules dans un sac de plus en plus petit et serré.

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Dimanche 3 janvier 7 03 /01 /Jan 16:52
Eux souriaient. Stéphane se tourna vers David :
- Hé bien, tu vas enfin avoir une lope à tes ordres.
- M’a plutôt l’air légère la lope. Ça doit pas être bien solide. Et puis ça doit être douillet.
- Et il veut des tortures, rajouta David.
- Ben on a pas de plume.
- Peut être avec les coussins.
- On va l’abimer avec les coussins, faudrait quelque chose qui fasse moins mal. Tiens, à coup de chaussette. Je me sentais humilié par leur arrogance et leurs moqueries, et il s’en fallut de peu que je tourne casaque et que je les plante là pour ne plus jamais les revoir mais je étais venu dans un but précis que je n’avais pas oublié ; j’avais réussi à écarter Alexandre pour avoir le champ libre et je ne pourrai pas réitérer cet exploit facilement, alors je mis de coté mon amour propre :
- Vos gueules ! Je sais ce que je veux alors arrêtez de vous foutre de ma gueule.
Leurs rires s’arrêtèrent et ils me dévisagèrent avec surprise pendant quelques instants puis ils m’invitèrent à m’assoir sur le lit. Stéphane remonta son coussin et s’installa plus confortablement, abandonnant la position allongée, afin d’être attentif. David s’assit en croisant les jambes, puis il dit :
- Bon alors, tu veux être attaché et torturé comment ?

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Samedi 2 janvier 6 02 /01 /Jan 20:22
Et je vis son sexe prendre du volume. C’est à ce moment là que Stéphane, tout aussi nu, le rejoignit pour me saluer et se plaça à sa droite, sa main gauche flattant les fesses de David,  exposant toute son anatomie que David s’empressa de soupeser. Je sentis la chaleur envahir mon visage et j’imaginai que je devais être rouge cramoisi en entendant les vieux se croiser derrière moi dans un silence religieux entrecoupé de « oh ! » et de « mon dieu ! » C’est alors que Stéphane et David s’écartèrent et d’un geste ample de la main m’invitèrent à entrer dans la chambre. Je passai entre eux. J’avais les mains moites et le feu sur le visage. David claqua la porte sur les exclamations outrées des petits vieux dans le couloir et il nous suivit dans la chambre. Stéphane et David partirent d’un énorme éclat de rire en commentant les « gueules » qu’avaient fait les petits vieux - Viens, dit Stéphane en s’allongeant sur le lit, approche. Qu’est ce qui t’amène ?
Maintenant que je devais leur dire pourquoi j’étais là, j’étais intimidé et je n’osai parler. Je tergiversais, parlant du soleil, de la chaleur et de la mer.
- T’es quand même pas venu pour nous faire un cours de météo ?
Non, ce n’était pas du beau temps que j’étais venu parler. Je rassemblai tout mon courage et je me lançai.
- Je voudrais être soumis par vous.
Comme toujours, le plus dur fut le premier pas. Je me sentais soulagé d’avoir osé le faire. Quand aux modalités de ma soumission, on allait les discuter ensemble mais ma timidité avait totalement disparu.
- Tu veux quoi ?
- Être attaché !
- Et torturé, rajoutai-je après une courte pause.

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Vendredi 1 janvier 5 01 /01 /Jan 10:04
Je cherchai des yeux Stéphane et David dans la salle du petit-déjeuner et autour de la piscine ; ne les ayant pas trouvé, je me résolus à frapper à leur porte. Une voix me répondit. Je leur dis qui j’étais et leur demandai si je pouvais entrer. C’est David qui m’ouvrit. Il était nu, mal rasé et j’imaginai que ses cheveux auraient été en bataille s’ils n’avaient pas été coupés si courts. J’admirai son torse musclé, glabre et bronzé et le tatouage en forme de lézard qui ornait son sein gauche. Son sexe était magnifique, posé sur ses bourses généreuses, émergeant d’une toison soigneusement taillée en brosse qui invitait à y passer la main pour en ressentir le picotement des poils drus. Son gland était intégralement caché par un prépuce abondant. Je le contemplai dans sa splendeur, lui impudiquement offert dans l’embrasure de la porte grande ouverte, se moquant de qui pourrait le voir ainsi.
- Tu veux quoi ? me demande-t-il sèchement sans bouger.

J’étais inquiet qu’on puisse nous voir du couloir alors qu’un couple de petits vieux venait de sortir de leur chambre un peu plus loin et n’allait pas tarder à passer inévitablement devant nous.

- Je peux entrer ?

- Pourquoi faire ?

Il ne bougeait toujours pas, me barrant le passage. Le couple venait de claquer la porte de leur chambre et un groupe de cinq vieux faisait son apparition à l’autre bout du couloir venant bruyamment et rapidement dans notre direction.

- On serait pas mieux à l’intérieur pour parler ?

Je vis un sourire s’inscrire puis grandir sur le visage de David alors qu’il n’avais pas encore fait le moindre mouvement pour libérer le passage puis ce fut avec une bonne humeur à la limite du rire, alors que le couple était tout prêt et que le groupe n’était pas beaucoup plus loin, qu’il me répondit :

- Pourquoi ? T’as peur de quelque chose ?


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Jeudi 31 décembre 4 31 /12 /Déc 16:34
Depuis je ne cessais d’y repenser. Faudra-t-il que je passe par des plans qui me rappellent ce que j’avais subi pour bander ou allais-je pouvoir avoir une vie sexuelle normale avec Alexandre. Mon essai de matin suivant se solda par un échec. Je le suçai, il me pénétra et mon sexe resta aussi mou qu’une limace. Pourtant j’aimais Alexandre plus que tout, et un peu plus chaque jour. Alors que je me disais jour après jour que je ne pourrai aimer personne aussi fort, que j’avais atteint le sommet en terme d’amour, le lendemain je l’aimais encore plus. Mais malgré mon amour, mon sexe restait flasque lors de nos rapports charnels.
Je devais en avoir le cœur net mais j’avais honte de mes sentiments et de mes réflexions, je n’en parlais donc pas à Alexandre. J’abordai le couple qui avait scandalisé tant de touristes lors de leur arrivée à l’hôtel par un baiser profond et fougueux. Au cours de la conversation, petit à petit, l’air de rien, je déviai sur leurs gouts sexuels et j’appris qu’ils se livraient régulièrement à des petits jeux sado-maso. C’est exactement ce que je voulais savoir, je le pressentais à leur allure et voici mon pressentiment était confirmé. Un des deux, Stéphane, était exclusivement sado, l’autre, David, aurait aimé être parfois sado mais il devait se contenter d’être maso ce qui le frustrait quelque part mais il se soumettait pour l’amour, et aussi par désir, de son Stéphane. Ils se déplaçaient toujours avec un minimum de matériel, cordes, gode monumental, cagoule, et je fus invité à y tâter. J’étais très excité par cette proposition mais je devais être prudent, même si Alexandre n’était pas jaloux, et il me l’avait prouvé à maintes reprises, je ne souhaitais pas qu’il apprenne que j’avais fait une escapade dont le but principal était de découvrir si je bandais ou pas.
Un matin je pris prétexte d’une fatigue pour ne pas suivre Alexandre alors que nous étions invités sur le catamaran de Roland pour la journée. Alexandre ne voulait pas me laisser seul. Lorsque je lui pronostiquai une journée à mourir d’ennui il me rétorqua que mourir de quoi que ce soit, même d’ennui, avec moi serait un pur bonheur pour lui. Il fallut que je lui dise que ce serait moi qui serais malheureux s’il s’ennuyait à cause de moi. Même avec cet argument je dus batailler fermement pour qu’il accepte de me laisser seul. Il prétendait qu’il ne s’ennuierait jamais avec moi, et j’étais certain qu’il disait vrai puisque moi-même je ne pensais pas pouvoir m’ennuyer un jour avec Alexandre, mais si je souhaitais rester seul c’était pour des raisons que je ne lui avouerai que lorsque mes hypothèses seraient confirmées ou infirmées, ce que j’espérais.

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Mercredi 30 décembre 3 30 /12 /Déc 18:56
Je ne pus m’empêcher de lâcher un « non » de déception et de surprise puis pour ne pas montrer quelle était ma réelle motivation je rajoutai, après une hésitation, qu’on avait déjà perdu assez de temps en palabres et qu’il fallait qu’il s’exécutât. Entre temps l’érection qui avait pointé le bout de son nez, et que personne n’avait remarquée, était repartie et mon sexe était à nouveau flasque comme une nouille trop cuite. Julien batailla encore un instant avant de céder et de me présenter enfin ses fesses. Alors qu’il les approchait de mon visage je compris ses réticences, il n’avait pas du utiliser beaucoup de papier pour s’essuyer, peut être qu’il n’en avait pas utilisé du tout. Avant qu’il se posât sur mon visage je vis les traces marron et les petits bouts collés aux poils que ma langue allât chercher. C’est Alexandre qui s’exclama :

- Il bande !

Et en effet je bandais.

Cette découverte m’a fit beaucoup réfléchir. Moi qui croyais que mon impuissance venait du traumatisme que j’avais subi lors de cette séance qui avait failli être fatale et qui faisais tout mon possible pour l’oublier ; je savais que l’oublier était impossible alors je tentais d’y penser le moins possible ; et voila que par la magie d’un seul mot ce souvenir que j’essayais de tenir à distance me submergeait et, au lieu du résultat attendu, mon sexe durcit et je me retrouvai avec une érection diabolique lorsque les fesses de Julien se posèrent sur mes lèvres. Au bout de la minute impartie, alors que Roland demandait à Julien de céder la place, je le retins par ses cuisses et continuai à lécher son fondement tout en m’astiquant avec fougue jusqu’à l’éjaculation que j’eus après un mois d’impuissance.

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Mardi 29 décembre 2 29 /12 /Déc 23:20
C’est Roland qui organisa. Il m’allongea sur le dos et fit accroupir successivement chacun des participants au dessus de mon visage et je m’exécutai avec gourmandise. Le premier à passer fut Alexandre. Je connaissais déjà sa rondelle par cœur et je m’en délectai amoureusement lui soutirant des gémissements d’extase. Mes mains ne restaient pas inactives, elles caressaient ses bourses et son membre. Il n’y était pas insensible et je sentais son sexe prendre de l’ampleur dans ma paume. C’est à contre cœur qu’il céda la place à Hervé lorsque Roland lui signifia que son temps de plaisir imparti était terminé. Ce fut d’une chair inconnue que ma bouche partit à la découverte et je dégustai ses plis charnus et délicieux. Au terme de la minute il se releva lui aussi en parfaite érection. Roland fit signe alors à Julien qui ne voulut pas. De l’avis de tous il devait s’y soumettre, il verrait ainsi comme cette caresse est merveilleuse et comme j’en étais un expert. Mais il rechigna pendant un long moment avant de finir par expliquer son refus :

- Je suis sale, j’ai fait caca juste avant de venir.

Au mot « caca » je sentis mon sexe, qui était flasque et mort depuis des semaines, frétiller d’excitation et se préparer à recevoir le sang qui le ferait enfin gonfler. Comme cela était étrange, le souvenir pénible de la séance pendant laquelle j’avais failli mourir m’assailli tout à coup et, au lieu de me terrifier, ce souvenir m’excita terriblement. J’aurai à analyser ceci à tête reposée dès que j’en aurai l’occasion. Pour l’instant Roland s’apprêtait à laisser Julien tranquille alors j’émergeai de mes pensées et lui signifiai qu’un gage est un gage et qu’il devait s’y soumettre, qu’on avait tous donné notre parole au début du jeu et que c’était trop facile de la renier pour une raison ou une autre. Moi j’étais prêt à aller au bout du gage, c’est du moins ce que je leur dis, comme si c’était à contre cœur que je m’y soumettais alors qu’en réalité je voulais gouter sa rondelle comme si c’était la chose la plus délicieuse au monde, et ceci uniquement parce qu’il avait dit qu’il avait fait « caca » juste avant.
- Je vais aller me nettoyer dans la salle de bains, dit-il.


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Lundi 28 décembre 1 28 /12 /Déc 20:10
Il n’y avait pas de quoi fouetter un chat, qu’est ce que ça aurait été s’il avait tiré celle où il devait se faire enculer par tous ? Alexandre ouvrit le bal, il se colla à Julien et lui prit les lèvres. Celui-ci les serra pour éviter à la langue d’Alexandre de pénétrer dans sa bouche mais lentement elle y parvint. Au bout de la minute ils se séparèrent, Alexandre était dans une érection totale et même Julien n’était pas resté insensible. J’étais le suivant sur la liste. Je me collai à lui et lui pris les lèvres. J’introduisis ma langue entre ses lèvres et butai sur les dents serrées. Je sentis son membre pulser contre mon pubis. Il écarta tout à coup les dents et ma langue s’enfonça dans sa bouche et rencontra la sienne. J’avais des picotements dans mon bas ventre et j’espérai bander enfin mais au terme de la minute, lorsqu’on s’écarta, ma bite était toujours aussi molle. Celle de Julien, en pleine forme, me donna des complexes. Suivirent Hervé et Roland qui s’engouffrèrent dans la brèche qu’avec Alexandre nous avions ouvert.
On reprit la partie. Julien était habitué à perdre trois fois d’affilée, est-ce que ça allait se vérifier cette fois encore ? Il perdit une seconde fois. Il était plus détendu en tirant le gage mais il blêmit en lisant la carte qu’il nous tendit à nouveau. Roland la lut :

- Faire une feuille de rose pendant une minute à tous les participants.

Une feuille de rose, euphémisme pour bouffer le cul. Décidément il n’avait pas eu de chance. Apres un coup d’œil circulaire Roland proposa de le dispenser de ce gage et nous acquiesçâmes. Ce gage allait incomber au perdant de la prochaine partie. Julien n’avait perdu que deux fois dans cette série, et jamais deux sans trois. S’il perdait encore il devrait s’y soumettre. On distribua on échangea. On demanda à Julien d’abattre, il avait une paire de huit. Roland abattit un brelan, Alexandre une paire de dames, Hervé un brelan aussi. J’étais le dernier à abattre mais Julien était déjà abattu alors que je faisais durer le suspense. Il se détendit enfin lorsque je montrai ma main qui ne contenait rien, mais j’avais triché, j’avais donné ma paire d’as à échanger.

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Dimanche 27 décembre 7 27 /12 /Déc 13:16
Je perdis une nouvelle fois. Roland prit le paquet de cartes où étaient inscrits les gages et me le tendit en éventail, j’en tirai une que je lis à haute voix. Il fallut que j’exécutasse une danse du ventre pendant deux minutes. Mes déhanchements ressemblaient à tout sauf à une danse du ventre mais le gage fut accepté sous les applaudissements et les rires. Julien perdit trois fois d’affilée, il semblait abonné aux séries, il retira successivement son short et son slip puis dut tirer une carte. Il était stressé, hésita longuement devant l’éventail que lui tendait Roland puis se décida.
Il lut la carte silencieusement et un grand soulagement apparut sur son visage, il dut faire le tour de la pièce à quatre pates et il s’exécuta avec bonne humeur. Entre nos cuisses les sexes commençaient à prendre du volume, même celui de Julien, il n’y avait que le mien que restait désespérément flasque mou malgré l’excitation qui me gagnait. Chacun y alla de sa claque sur les fesses de Julien lorsque celui-ci passait à sa hauteur. Il regagna le cercle et on distribua à nouveau. Roland perdit. Son gage fut d’aller appeler l’ascenseur, d’attendre son arrivée puis de revenir dans la chambre. Son exhibitionnisme fut à l’honneur et il obtempéra sans attendre. Son sexe prit un peu plus de volume lorsqu’il sortit dans le couloir. Nous restâmes derrière la porte pour l’observer aller jusqu’au bout du couloir et presser sur le bouton de l’ascenseur. Le couloir était désert et l’ascenseur tarda à venir. Il était vide lui aussi. Roland revint calmement en totale érection, il était déçu de n’avoir pas eu de spectateur accidentel.
Alexandre eut ensuite un gage plus sexuel, il dut sucer celui qui avait eu la meilleure main. C’est Hervé qui fut à la fête et qui apprécia le savoir faire et la bonne volonté d’Alexandre, mais la gâterie ne dura pas assez pour l’amener à terme.
Julien perdit à nouveau. Il était nerveux en tirant son gage, le précédent lui ayant appris qu’il y avait des épreuves moins innocentes. Son visage vira à l’abattement en lisant silencieusement la carte. Il nous la tendit car il n’arrivait pas à articuler. Roland s’en saisit et lu :

- Embrasser sur la bouche pendant une minute chaque participant.

Je m’empressai d’ajouter :

- Avec la langue.


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Samedi 26 décembre 6 26 /12 /Déc 14:07
C’est Alexandre qui ouvrit la porte.

- On joue au strip-poker.

- Mais… y’a pas de filles, dit Julien en jetant un regard circulaire.

On éclata tous de rire puis Roland lui dit :

- T’as pas encore remarqué qu’on a pas besoin de filles entre nous ?

Julien était vraiment naïf.

- Je croyais que vous déconniez pour faire chier ma mère.

- Bon, tu veux jouer ou pas ?

- Mais… heu… c’est que…

- Décide toi, tu joues ou pas ?

- On peut pas jouer à autre chose ?

- Non, on a déjà sorti les cartes de poker et les cartes des gages et on était en train de distribuer.

- Des gages en plus ?

- Oui, des gages en plus.

- Mais… heu…, pas des gages.

- Oui des gages.
Julien finit par se décider et il entra.

- T’es pas obligé de jouer mais si tu joues il faut jouer le jeu à fond.

- Ok, dit-il.

Il était visiblement nerveux sachant qu’il s’engageait sur une pente savonneuse. Je pris les cartes et je les distribuai une par une. Alexandre voulut en changer trois et je lui en donnai donc des nouvelles, Hervé en voulut deux, Julien quatre, ça augurait mal pour lui, Roland deux et moi trois. Puis on abattit nos mains. Je n’avais même pas une paire, hormis celle que j’avais dans mon slip mais qui ne servait par au poker, c’était la main la plus mauvaise, je retirai une tong. Puis Julien perdit à trois reprises et il se retrouva torse nu, en short. Ensuite le jeu s’équilibra, on perdait chacun notre tour, les vêtements étaient retirés dans la bonne humeur et dans les franches rigolades. Je fus le premier à me retrouver nu mais les autres n’avaient plus que le slip à l’exception de Julien qui n’avait plus perdu et qui était toujours en short.

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Vendredi 25 décembre 5 25 /12 /Déc 20:14
Je me demandai, de retour à l’hôtel, s’il ne fallait pas faire rapatrier de toute urgence la mère de Julien pour l’interner dans un hôpital psychiatrique le temps qu’elle se calme, ou s’il ne serait pas mieux de lui offrir une inscription aux Alcooliques Anonymes, elle avait descendu une bouteille et demi de whisky dans la journée. En tout cas elle déblatérait des inepties plus énormes les unes que les autres. En approchant du port, Hervé et Roland, pour enfoncer le clou, se roulèrent une pelle mémorable juste devant ses yeux. Ils nous donnèrent ensuite discrètement rendez-vous pour la soirée mais ils ne réussirent pas à tromper pas la vigilance de Kevin qui voulut savoir pourquoi lui et son frère n’étaient pas invités.

- C’est pour les grandes personnes, lui dit-on, et il fit la remarque que Julien était au moins aussi « grand » que nous.

- Hé bien, si Julien veut venir, il peut, mais pas toi, tu es trop jeune encore.
On se sépara, on regagna notre chambre pour nous débarrasser du sel sous une douche fraiche que nous prîmes ensemble. Je m’occupai du dos d’Alexandre tandis qu’il s’occupait du mien. Le sexe d’Alexandre était tendu comme un arc, je m’apprêtai à lui donner du plaisir mais il souhaita se préserver pour le soir. Le mien restait désespérément flasque. On rejoignit ensuite la salle à manger pour nous régaler au buffet, toujours aussi savoureux, copieux et garni.
Le dessert descendu on retourna à notre chambre car Hervé et Roland n’allaient pas tarder. Ils furent ponctuels et sonnèrent à l’heure convenue. On ouvrit, ils étaient là en chemisette et bermuda décontracté, aussi craquants que le matin en tenue de travail. Roland avait prévu le programme de la soirée : un poker déshabilleur. Celui qui avait la plus petite main devait retirer une pièce de vêtement. Si le perdant était déjà nu, vu le nombre de vêtement que nous portions ça irait vite, il devrait exécuter un gage. On s’installa en cercle par terre au milieu de la chambre. Je distribuai les cartes. C’est alors qu’on tapa à la porte et que la voix de Julien dit :

- C’est moi !


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