Lundi 28 décembre
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20:10
Il n’y avait pas de quoi fouetter un chat, qu’est ce que ça aurait été s’il avait tiré celle où il devait se faire enculer par tous ? Alexandre ouvrit le bal, il se colla à Julien et lui prit les
lèvres. Celui-ci les serra pour éviter à la langue d’Alexandre de pénétrer dans sa bouche mais lentement elle y parvint. Au bout de la minute ils se séparèrent, Alexandre était dans une érection
totale et même Julien n’était pas resté insensible. J’étais le suivant sur la liste. Je me collai à lui et lui pris les lèvres. J’introduisis ma langue entre ses lèvres et butai sur les dents
serrées. Je sentis son membre pulser contre mon pubis. Il écarta tout à coup les dents et ma langue s’enfonça dans sa bouche et rencontra la sienne. J’avais des picotements dans mon bas ventre et
j’espérai bander enfin mais au terme de la minute, lorsqu’on s’écarta, ma bite était toujours aussi molle. Celle de Julien, en pleine forme, me donna des complexes. Suivirent Hervé et Roland qui
s’engouffrèrent dans la brèche qu’avec Alexandre nous avions ouvert.
On reprit la partie. Julien était habitué à perdre trois fois d’affilée, est-ce que ça allait se vérifier cette fois encore ? Il perdit une seconde fois. Il était plus détendu en tirant le gage
mais il blêmit en lisant la carte qu’il nous tendit à nouveau. Roland la lut :
- Faire une feuille de rose pendant une minute à tous les participants.
Une feuille de rose, euphémisme pour bouffer le cul. Décidément il n’avait pas eu de chance. Apres un coup d’œil circulaire Roland proposa de le dispenser de ce gage et nous acquiesçâmes. Ce
gage allait incomber au perdant de la prochaine partie. Julien n’avait perdu que deux fois dans cette série, et jamais deux sans trois. S’il perdait encore il devrait s’y soumettre. On distribua on
échangea. On demanda à Julien d’abattre, il avait une paire de huit. Roland abattit un brelan, Alexandre une paire de dames, Hervé un brelan aussi. J’étais le dernier à abattre mais Julien était
déjà abattu alors que je faisais durer le suspense. Il se détendit enfin lorsque je montrai ma main qui ne contenait rien, mais j’avais triché, j’avais donné ma paire d’as à échanger.
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