Jeudi 7 janvier
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Les aiguilles dans ma bite se transformaient progressivement en clous acérés, au fur et à mesure que David appuyait sur les boutons de l’appareil, et la douleur intense me faisait me contorsionner
comme si j’avais pu échapper à cette torture par ma propre volonté. Ces gesticulations incontrôlées et incontrôlables me faisaient tirer sur la ficelle qui m’étirait les bourses. Les lanières
mordaient mes reins et mes épaules, débordant allègrement sur mes flans et allant jusqu'à frapper mes tétons douloureusement étirés par les poids qu’elles faisaient se balancer impitoyablement. Il
n’y avait plus de caresse désormais sur mes fesses, la palette frappait et frappait encore avec une cadence diaboliquement soutenue, échauffant mes fesses où elle instillait une indicible brulure
ne s'aventurant plus pour l’instant sur mes couilles.
Sans le bâillon mes gémissements étouffés auraient été des hurlements alors que David augmentait encore l’intensité des décharges électriques qui me brulaient l’urètre et qu’il amplifiait la force
des frappes qui me lacéraient le dos.
Soudainement les coups ne tombèrent plus sur mes fesses ou sur mes cuisses, Stéphane visa exclusivement mes couilles dans une succession de frappes serrées, de plus en plus rapide, instillant une
douleur insupportable qui irradiait dans mon abdomen et mes cuisses.
Tout mon corps était soumis à une torture savante. Mes trous étaient tous occupés ; le bâillon sans lequel j’aurais ameuté tout l’hôtel ; le godemichet qui me labourait le fondement, manœuvré par
les mouvements de ma tête qui tiraient sur la ficelle qui parallèlement m’arrachait les couilles ; la sonde qui m’électrocutait de l’intérieur de l’urètre et qui me faisait sursauter de façon
désordonnée, accentuant la tension de la ficelle reliant mon crâne a mes bourses ; les coups qui s’abattaient inexorablement sur celles-ci et auxquels je ne pouvais échapper ; les lanières qui me
labouraient les cotes, le dos et les reins ; mes tétons qui se distendaient tirés par des poids que les lanières venaient exciter ; les poids qui tirent sur le prépuce de ma verge bandée à son
maximum. Les tortures me submergeaient de partout en même temps à une cadence infernale me mettant le feu dans tout le corps sans un instant de répit. Je ne savais même pas laquelle est la pire ou
la meilleure. Je croyais être au paroxysme de la douleur lorsque je vis Stéphane abandonner la palette de cuir et se saisir d’une chaussure par la pointe, tapant, devant mes yeux effrayés et
effarés, du talon dans la paume de sa main pour m’annoncer les sévices qui allait suivre. Il disparut de ma vue en retournant entre mes jambes écartées et inutiles puis un petit coup vint écraser
mes testicules contre la base du godemiché faisant exploser une douleur intolérable dans mon bas ventre et propulsant le membre de latex dans mon fondement.
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