Mardi 5 janvier
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22:54
Le godemichet était entré entièrement dans mes intestins, seuls restaient dehors les ersatz de couilles qui butaient contre ma raie. Je sentis une ficelle passer dans celle-ci, courir dans mon dos,
puis David me tira la tête en arrière, comme s’il était encore possible de tordre un peu plus mon cou, pour attacher la ficelle à un anneau au sommet du harnais qui me bâillonnait. Cette ficelle
était reliée directement à mes couilles et courait par dessus le gode qui habitait mes entrailles. Lorsqu’il lâcha mon crâne, celui-ci, en retombant sur le lit, tendit la corde et mes couilles à la
limite de l’arrachage. David me expliqua que si je poussais pour me débarrasser du gode alors ce seraient mes couilles qui seraient écartelées. Ils avaient de l’expérience, j’en étais désormais
certain. Ce dont j’étais désormais certain, c’étais de l’effet que cette séance sur moi, je bandais comme un âne.
David rajouta deux pinces à poids à mon prépuce alors que Stéphane me décrivait la suite. Il me montra une palette constitué de deux lamelles de cuir épais qui allaient claquer l’une sur l’autre et
amplifier la force du coup. Il la donna à David puis me montra l’appareil suivant, un boitier électronique qui fournissait des impulsions électriques d’une intensité réglable pouvant être très
fortes. Il me montra les pinces qui s’y adaptaient ainsi que la sonde à introduire dans l’urètre. Ils étaient bien équipés les bougres. Je ne m’attendais pas à ça et je commençais à avoir peur.
Mais je constatai que cette peur alimentait mon excitation et mon érection.
La palette caressa tendrement mes fesses, je savais que bientôt elle viendrait y mordre douloureusement et cette caresse n’en était que plus inquiétante. Stéphane se versa du gel bactéricide sur
ses mains et m’en induisit le gland en faisant balancer méchamment les poids accrochés aux pinces, puis il stérilisa la sonde qu’il approcha de façon angoissante de mon membre.
Un premier coup s’abattit sur mes fesses. Je réalisai alors qu’elles allaient finir rougies et qu’Alexandre ne pourrait pas ne pas le voir. Mais c’était beaucoup trop tard pour ce genre de
considérations. Je tentai de parler et constatai que rien de compréhensible ne pouvait sortir de ma bouche. J’allais bel et bien être fessé vigoureusement et je devrais assumer après. Je décidai
d’évacuer le problème, j’aurai tout le temps après pour y revenir.
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