Introduction

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Ce blog est un récit romancé. Pour le suivre, il faut entamer la lecture par l'article le plus ancien.


Sans doute, beaucoup de tous les écarts que tu vas voir peints te déplairont, on le sait, mais il s’en trouvera quelques-uns qui t’échaufferont au point de te couter du foutre, et voila tout ce qu’il nous faut. Si nous n’avions pas tout dit, tout analysé, comment voudrais-tu que nous eussions pu deviner ce qui te convient ? C’est à toi à la prendre et à laisser le reste ; un autre en fera autant ; et petit à petit tout aura trouvé sa place.

Sade

 

 

Malheur, cent fois malheur à la créature infortunée qui, dans un pareil abandon, se trouvait à la merci d’un scélérat sans loi et sans religion, que le crime amusait, et qui n’avait plus là d’autre intérêt que ses passions et d’autres mesures à garder que les lois impérieuses de ses perfides voluptés.

Sade

Lundi 2 novembre 1 02 /11 /Nov 22:49

Je passai chez Monsieur Claude pour lui payer son dû puis j'allai à la FNAC pour rêver sur les home-cinémas et faire une première évaluation en vue de choisir celui qui ornerait bientôt mon nid douillet. J’aurai certainement de quoi m’en offrir un dans une semaine, sinon dans deux.

Alexandre m’appela, ce qui m’emplit de joie. Nous convînmes de nous retrouver prés de Notre Dame. On flâna sur les quais et on se fraya un passage parmi la foule de Paris plage. Alexandre se jeta sous un brumisateur, je le suivis. Nous étions heureux et ça se voyait. J’eus envie de l’embrasser devant tout le monde et tant pis pour les grincheux qui s’en offusqueraient. Je le serrai dans mes bras au milieu de la foule et je lui donnai un baiser enflammé, cherchant sa langue à l’intérieur de sa bouche. Il me laissa faire et nous restâmes enlacés quelques minutes beaucoup trop brèves mais suffisantes pour me permettre de sentir, à travers le tissu, son émoi dans sa braguette. On bifurqua vers le jardin des Tuileries, puis la place de la Concorde. Il me demanda si j’habitais loin, je lui dis qu’il y en avait pour environ un quart d’heure de marche.

Il savait que j’habitais seul mais il ignorait dans quelles conditions. Alexandre sembla impatient puisqu’il me demanda à nouveau si c’est encore loin, et je lui dis qu’on arriverait bientôt. L’après-midi promettait d’être chaude, il ne m’avait pas paru si fougueux tout à l’heure. Je me fis la remarque que grâce à mon travail actuel j'avais appris à ne jamais manquer de préservatifs et de lubrifiant. Nous étions dans l’ascenseur quand il me dit :

- ouf enfin, je pouvais plus tenir.

Je compris alors son impatience, il y avait trop de monde dans la rue pour se mettre à uriner sur un arbre. Puis je me souvins, paniqué, que j’avais laissé un trophée dans le pot de chambre en sortant tout à l’heure. Mon seul espoir fut que mes propriétaires soient passés faire le ménage entre temps. Il fut de courte durée, à peine étions-nous à l’intérieur de la chambre que je remarquai, horrifié, que le pot de chambre n’a pas bougé de place. Il me demanda où étaient les toilettes et je dus lui avouer que je n’en avais pas. 

- T’as qu’à faire pipi dans l’évier, je regarderai pas.

- Mais c’est pas pipi que je dois faire.


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Dimanche 1 novembre 7 01 /11 /Nov 22:11

Sur le sol il prit la position du fœtus et ne bougea plus. S’il n’y avait cet halètement rauque j'aurai pensé qu’il dormait ou qu’il était mort. Je pris l’enveloppe posée à coté de sa soutane, je vérifiai le nombre de billets qu’elle contennait et je partis le laissant ainsi gisant sur le sol. Ses paroissiens se doutaient-ils de l’utilisation qui était faite de l’argent de la quête ? La récolte était bonne ce soir, Monsieur Claude allait être content, .

Je ne pus attendre d’arriver chez moi, je fis demi-tour et pénétrai de nouveau dans l’église. J’ai sorti ma bite et je me branlai furieusement. Frapper sur ce prêtre m’avait laissé dans un état d’excitation inimaginable et il fallait que je me soulage de cette tension. Mais je ne voulais pas, tel Onan, me répandre par terre alors j’avisai un livre qui se trouvait sur une table de ce bureau. C’était une Bible, je l’ouvris au hasard et je lui ai fis l’offrande de ma semence. Au moment où mon sperme jaillit je pus déchiffrer sur la page qui allait le recevoir ces mots « Tu n'adoreras pas d'autre dieu que moi. » Je retournai alors dans le cœur de l'église pour soulager ma vessie, le démon qui m'avait saisi me poussa vers une pile de missels que j'arrosai abondamment. Le prêtre était toujours recroquevillé au sol mais les yeux grands ouverts il me regarda faire sans rien dire. Sur l'autel j'aperçus un calice. Une envie jouissive me saisit alors, le comble du blasphème, je m'imaginais déféquant dans cette coupe sacrée un sacré étron.

En arrivant chez moi je me masturbai de nouveau, avant de me coucher, en repensant à la soirée que j’avais vécue. Puis pendant la nuit je me imaginai à la place du prêtre ce qui déclencha immédiatement une nouvelle érection que je dus calmer aussi tôt. Cette séance m’avait vraiment chamboulé et certainement que je n'allais pas l’oublierai de si tôt.


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Jeudi 29 octobre 4 29 /10 /Oct 20:11

« Longer par le coté droit puis passer par derrière. Il y aura une porte ouverte qu’il suffira de pousser. » Voici la porte ouverte, les indications de Monsieur Claude étaient parfaites. « Une fois dedans, barrer la porte et prendre le couloir jusqu’au bout. » Au bout je débouchai dans le chœur. Je le vis nu, allongé de tout son long sur le carrelage glacé, les bras étendus en croix de part en part, sa soutane à coté de lui. Il avait entendu mes pas alors sans même lever sa tête il implora :

- je mérite pénitence.

A coté de lui sur le sol il y avait une verge dont je me saisis et je commençai à lui flageller le dos. Il resta silencieux un moment puis me dit qu’il méritait un châtiment plus fort, alors je redoublai de force. Ses gémissements se firent entendre, des gémissement de douleur et non de plaisir, quoique ? Toute son échine frémissait et rougissait sous mes coups. En moi un sentiment de répugnance à cet acte se mêlait à une certaine délectation du fait que c’était un homme d’église à qui je l’infligeais, un homme de la secte romaine adoratrice d’un crucifié qui répandait le malheur sur Terre car c’est du malheur qu’elle s’alimentait. Si elle avait voulu le bonheur des hommes elle aurait déjà agi depuis longtemps mais c’eût été contre productif car les hommes heureux n’ont pas besoin de superstition alors que plus les gens sont malheureux plus ils se tournent vers un arrière monde fait de promesses stériles dont bénéficient ceux qui les font, à savoir les prêtres des diverses religions.

Ses gémissements se transformèrent petit à petit en cris aigus à chacun de mes coups. La croix que ses bras faisait avec son corps était désormais de plus en plus déformée, ses bras cherchant à arrêter la source de sa douleur alors que sa volonté tentait de les garder immobiles. Son dos n’était plus seulement rougi mais marqué par des stries visibles d'un rouge de sang. Ses fesses étaient restées blanches comme la neige lorsque je me dis que je devais leur donner de la couleur également. Mes coups se portèrent alors vers cette partie de son anatomie, je me sentis comme un artiste qui ne devait négliger aucune partie de sa toile pour parfaire son œuvre d’art. Il ne s’attendait pas à ce que je frappe à cet endroit et, au premier de mes coups, poussa un hurlement, vite étouffé. Ses fesses rougissaient et prenaient la même couleur que son dos. Sa volonté avait de plus en plus de mal à maîtriser ses bras qui voulaient venir le protéger des coups. Ses jambes ne restèrent pas statiques, il gigotait désormais beaucoup mais continuait à s’offrir à sa punition. Je portai ensuite mes coups sur l'arrière de ses cuisses, puis entre elles après les lui avoir écartées du pied. Il avait beaucoup de mal à les garder ouvertes. Entre ses fesses j’aperçus ses couilles, comment allait-il réagir aux coups que j'y porterai ? La frappe suivante fut dans l’axe de son corps entre ses cuisses, les filaments de la verge s’enroulèrent sur ses fesses et certains atteignirent ses couilles. Ce fut un nouveau cri qu’il poussa et ses jambes se resserrèrent aussitôt pour protéger ces parties particulièrement sensibles. De mon pied je l’obligeai à écarter ses cuisses et je repris les coups en visant ses bourses. Le quatrième coup fut accompagné chez lui d’un hurlement et de convulsions désordonnées. Son corps ne formait plus aucune figure lisible sur le sol, je compris qu’il était en train de jouir. Mon coup suivant lui fit pousser un autre hurlement et tout son corps se recroquevilla, ses mains se portèrent au devant de la verge pour faire cesser son châtiment.


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Mercredi 28 octobre 3 28 /10 /Oct 20:20

Chapitre 2

 

Il ne répondit pas tout de suite, puis acquiesça d’un signe de tête.

- Comment tu t’appelles ?

- Alexandre, me répondit-il.

Quel prénom sublime. Il me rappelait le petit garçon angélique des Amitiés particulières que j'avais lu l'année précédente. Il évoquait aussi le grand conquérant grec qui devait être infiniment plus beau que le pâle acteur qui l’avait incarné dans un film récent. Je fus séduit immédiatement par ce prénom. Je lui dis le mien et on entama ainsi la conversation. Il avait dix-sept ans à peine, bientôt dix-huit, venait de réussir son bac littéraire, n’avait pas de petite copine (et pas encore de petit copain pensais-je), habitait chez ses parents, une famille bourgeoise, dans le XVème arrondissement de Paris. Il faisait à peu près la même taille que moi. Je me noyais dans ses yeux d'un bleu clair et me rattrapais dans ses courtes boucles blondes.

On parla longuement de tout et de rien, le temps paraissait s'être arrêté. Cette conversation m’enchantait et me mettait en émoi, cela se serait remarquer si j'avais du me lever. Je lui proposai d’aller chez moi boire un verre et il me répondit que c’était trop tôt pour ça. Un coup d'œil à ma montre m'indiqua qu'il n'était pas si tôt que ça, on n'avait pas vu le temps passer. Je le pensais aussi mais j’espérais que ça ne tardera pas trop quand même.

On s’échangea nos numéros de téléphone et on promit de se revoir rapidement. Au moment de nous séparer il me tendit la main. Je la saisis et l’attirai vers moi pour l’embrasser. Il résista un peu avant de céder et nos joues se touchèrent. Je n’avais pas encore lâché sa main. Je le tirai à nouveau délicatement et d’un mouvement très rapide il vint me déposer un baiser sur mes lèvres et s’enfuit en courant.


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Mardi 27 octobre 2 27 /10 /Oct 22:26

Je profitai de la somme gagnée pour agrandir ma garde-robe en m’achetant un beau t-shirt blanc avec énorme D et un énorme G noirs sur le devant comme j'en avais vu porter dans la rue, il me semblait que c'était à la mode. Pour compléter ma panoplie, je pris une ceinture dont la boucle était formée par les mêmes lettres de tailles imposantes. Je sortis fier comme tout du grand magasin sur les Champs-Élysées en enfonçant l’avant du t-shirt dans le pantalon pour bien laisser apparaitre la boucle de la ceinture. Je paradai ainsi avec un large sourire aux lèvres jusqu’à ce que je croise un autre garçon étalant ostensiblement sa boucle de ceinture comme je le faisais et je ressentis alors pleinement le ridicule de cette situation. Le ridicule ne tue pas sinon je serais mort foudroyé en pleine rue ce jour là. Si le ridicule tuait la Terre serait beaucoup moins peuplée qu’actuellement, peut être même que l’espèce humaine aurait disparu depuis longtemps. Je retirai donc le t-shirt de mon pantalon et le laissa tomber naturellement malgré qu’il cacha ainsi cette ceinture qui m'avait couté une petite fortune et que, par conséquent, j'aurais voulu exhiber.

Je ne pus m’empêcher malgré tout d’être fier de mes achats alors je allai les montrer dans le jardin du Luxembourg. Je choisis une chaise qui faisait face à la fontaine centrale et je m’y assis. Je faisais mine de m’étirer en croisant mes mains derrière la nuque ce qui avait l’avantage de relever le t-shirt et laisser apparaître la boucle qu’il cachait. Je passai mon temps à observer les gens. Celui-là somnolait. Tel autre lisait. Un autre faisait semblant de lire mais il matait par-dessus son journal. Plus loin, deux discutaient ensemble. Là bas un garçon et une fille s’embrassaient, il me sembla voir une bosse anormale dans la braguette du garçon. Pas mal circulaient de-ci de-là, cahin-caha, certains avec des écouteurs enfoncés dans leur oreilles. Je remarquai les œillades insistantes de jeunes filles qui n’auraient aucun égard de moi.

Tel garçon passa pour la deuxième fois devant moi, lorsqu’il vit que j’avais vu qu’il me regardait il détourna vivement les yeux en rougissant. Un énorme sourire éclaira mon visage. J’eus envie de rire lorsque je décelai le regard furtif qu’il me lança à nouveau. Il passa devant moi en regardant du coté opposé puis s’arrêta quelques dizaines de mètres plus loin semblant réfléchir. Je ne le lâchai pas des yeux, il devait avoir à peine dix-huit ans, il était beau comme un enfant, fort comme un homme. Je ne pouvais pas manquer le regard qu’il tenta de jeter dans ma direction. Puis il repartit d’une allure vive comme affolé par ce qu’il avait osé. Je me levai et le suivis en tentant de ne pas le perdre de vue parmi la foule de promeneurs. Près de la sortie du jardin il s’assit enfin sur un banc sans se douter que je l’observais. Alors je fis un grand détour pour m’approcher par derrière sans qu’il me voie et je m’installai sur le même banc le faisant sursauter de surprise. Il ne bougea pas même si j’eus l’impression qu’il allait se mettre à courir.

J’entamai la conversation :

- Belle journée, non ?


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Dimanche 25 octobre 7 25 /10 /Oct 13:02

Je manquai m’étrangler de rire.

Me voici donc avec un bébé qui pourrait être mon père allongé sur le sol, le cul à l’air et moi qui lui rougissait les fesses sous la surveillance de Monsieur Claude. J'avisai un martinet sur la commode et m'en saisis, ça allait m'éviter de me faire mal aux mains. Le bébé fut ravi de mon initiative et il laissa échapper un soupir de satisfaction. Mes coups s'abattirent pendant plusieurs minutes jusqu'à ce que Monsieur Claude jugea que je n’y allais pas assez fort alors je redoublai de force. Au bout d’une dizaine de minutes je mis du talc sur ses fesses rougies et des couches propres. Alors que j'étais sur le point de la refermer il lâcha un nouveau jet de pipi qui mouilla le devant de la barboteuse. C’est sous les ordres de Monsieur Claude que je le punis de nouveau mais d’une façon plus méchante, en lui fessant les couilles. Là encore Monsieur Claude me dit d'y aller plus fort. L’homme banda dés les premiers coups. Il se contrôlait entre le besoin de se protéger les couilles de la douleur que je leur infligeait et l'excitation de la situation qui l'incitait à le laisser frapper. A plusieurs moments sa main s'approchait comme pour retenir mon bras puis s'éloignait de nouveau. Il jouit en peu de temps, alors que je tapais encore, avec des jets qui atteignirent sa figure et ses cheveux.

Je finis de lui poser la couche sans qu’il ne la salit encore alors il eut droit à une récompense. Un biberon spécial que j’amenais toujours avec moi, qui était toujours à la bonne température et qui se rechargeait tout seul bien qu’il faille un peu de travail pour en obtenir son lait. Il sembla à son goût puisqu’il n’en perdit pas une goutte. Je ne tardai pas à jouir dans la bouche et il avala tout puis me nettoya le gland consciencieusement.

Monsieur Claude voulut qu’on partage 50/50 entre nous le butin de la soirée et qu’en plus je lui paie les 30% conventionnels sur ma part, puisque, disait-il, il m'avait conduit et guidé. Il est vrai que sans lui je n'aurai su quoi faire mais je considérais que j'avais bien plus payé de ma personne que lui. Il m’a fallu négocier durement. On finit par tomber d’accord, on ferait moitié-moitié. J’appris que l’homme chez qui on était allé organisait ses petites sauteries dès que sa femme s’absentait. Alors que j’attendais dans la voiture, lui et Monsieur Claude avaient discuté, satisfait de ma prestation il souhaitait me revoir. La prochaine fois j'irai et en reviendrai en taxi, l’homme se chargerait des frais.


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Vendredi 23 octobre 5 23 /10 /Oct 18:54

En route vers la destination du soir, Monsieur Claude me ménageait la surprise. Nous arrivâmes devant une belle battisse entre les arbres après trois quart d’heure de route. Après avoir franchi le portail qui n'était pas fermé, nous contournâmes la maison afin de trouver une porte de service ouverte sur l’arrière. Nous entrâmes dans la cuisine. Monsieur Claude me fit revêtir une robe de nourrisse comme celles que j'avais vu quelque fois à la télé dans des téléfilms historiques se passant au XIXème siècle. C’était la deuxième fois de ma vie que je me retrouvais travesti. J'étais nu au dessous mais les amples jupons cachaient tout. Le premier était blanc, par-dessus la jupe était noire, mon bonnet noir également avec de la dentelle blanche sur les bords. Une fois équipé ainsi, Monsieur Claude me fit passer par le salon désert jusqu’à une chambre au fond d’un couloir. Et là quelle ne fut pas ma surprise. Au beau milieu de la pièce, sur un tapis, il y avait un gros bébé. Portant une barboteuse sous laquelle on devinait une énorme couche. Dans la bouche il a une tétine d’une taille impressionnante. Sur le torse un bavoir. J’avais devant les yeux ébahis un bébé poupon de cinquante ans et de cent cinquante kilos au bas mot, parfaitement équipé qui se mit tout à coup à pleurer.

Monsieur Claude m’indiqua le biberon dans lequel le liquide ne me parut pas être du lait, à l’odeur il me sembla plutôt que c’était … de la bière. Je le pris et je m’approchai du bébé que je fis asseoir sur les fesses, ne pouvant le prendre sur mes genoux au risque de mourir écrabouillé, et je lui tendis le biberon. Le voici qu’il buvait en tétant, je dus faire alors des efforts surhumains pour ne pas éclater de rire mais je ne pus empêcher un sourire de s'inscrire sur mon visage. Une fois fini, il se mit à pleurer de nouveau. Je ne savais pas quoi faire, le biberon était vide et je ne voyais rien d'autre à lui donner dans la pièce. J’implorai Monsieur Claude du regard.

- N’aurait-il pas sali sa couche ?

Je restai stupéfait. Heureusement, Monsieur Claude était là et il me dit quoi faire. J’ouvrai donc la barboteuse puis la couche. Effectivement elle est jaunasse et mouillée. Monsieur Claude fit les questions et les réponses.

- Que fait-on aux bébés de cet âge qui ne sont pas encore propres ? La fessée !


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Jeudi 22 octobre 4 22 /10 /Oct 22:17

Je voulus lui rendre la pareille mais il ne le voulut pas, il souhaitait continuer à draguer et sucer d’autres mecs. Il devait avoir très soif. Je le laissai donc et rentrai, exténué, dans ma chambre. Rangé devant l’évier, je retrouvai mon pot de chambre parfaitement vidé et propre, à la place de ce que j’y avais laissé je trouvai un billet de cinquante euros. Demain il faudra que j’éclaircisse ce mystère.

Le matin suivant j'étais allé trouver mes propriétaires. Ils m’ont expliqué que le billet que j’avais trouvé hier c’était pour s’excuser de ne pas pouvoir m’offrir des toilettes convenables. Ils m’avaient conseillé d’utiliser le pot de chambre qu'ils se chargeraient de le vider régulièrement. Sur le coup ça m’a un peu embarrassé mais ils m’ont rassuré que ce n’était rien pour eux. Sous l’évier, ils m’ont indiqué où trouver le couvercle pour éviter les odeurs et les mouches. Ils me firent une recommandation qui me parut un peu étrange, celle d’éviter d’y jeter quoi que ce soit d’autre, y compris le papier hygiénique, prétendant que leur système de broyage était trop fragile pour ça.

Dans l’après midi, j'allai flâner dans le bois de Boulogne. Je descendis porte Dauphine, en plein jour cette fois. C’était parfaitement charmant. Au bout de cette avenue trône l’Arc de Triomphe. De l’autre coté le bois. J'arrivai puis je longeai un magnifique lac sur lequel des amoureux se bécotaient sur les canot loués à l'heure, puis je visitai des chemins plus petits qui s’enfonçaient entre les arbres et les buissons. J’aperçus de ci de là des préservatifs usagés, certains noués d’autres non. Je m'amusai à en ramasser avec l'aide d'une brindille pour admirer la flaque de sperme dans leur fond. On ne devait pas s’ennuyer ici, pas à cette heure, certainement quand il fait plus sombre. Je m'imaginais à genoux, une bite dans la bouche, des mains derrière ma nuque pour donner la cadence et j'en bandais. Je ne devais pas me masturber, malgré l'envie, car le soir j'avais une mission.

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Mercredi 21 octobre 3 21 /10 /Oct 20:37

En fait de bosquet c’était un petit labyrinthe de verdure, un lieu propice pour les rencontres. J’y pénétrai à mon tour tel le docteur Livingstone dans la jungle africaine, ne craignant pas les griffes d’un lion, pas plus la pine d’un violeur, l’espérant à vrai dire. Au détour d’un virage voici un jeune homme qui urine contre une haie, mais à mieux observer il était plutôt en train de se masturber, son membre turgescent, en jetant des regards de tous les côtés. Quand il m’aperçut, il me montra sa marchandise et me fait signe d'approcher. Il était plutôt bien foutu, mince, de taille moyenne, plutôt jeune. Il porta immédiatement sa main à mon paquet. Je bandais dur comme du bois. Je lui murmurai à l'oreille :

- On va chez toi ?

- J’habite trop loin, chez toi si tu veux.

Je me souvenais du trophée que j’avais laissé dans la cabine de douche alors je n’avais pas trop envie de lui faire visiter ma chambre. Je lui mentis en disant que j’habitais trop loin aussi. On se chercha un endroit plus abrité et il m’ouvrit la braguette. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire il fut à genoux pompant avec énergie mon membre qu’il branlait simultanément en cadence. Il allait me faire jouir trop vite, je jouissais toujours trop vite, je voulus l’arrêter et le faire se lever pour lui rendre la politesse mais il refusa et continua son travail sur ma bite. Il était champion en taillage de pipe, si cette catégorie existait dans le livre des records il y mériterait sa place et aux jeux Olympiques il décrocherait la médaille d'or. Il se contenta de décrocher mon orgasme et j’explosai dans sa bouche, il ne se retira pas et avala toute mon offrande. Je ne sais comment je tins debout car j’avais les jambes flageolantes et elles faillirent bien me lâcher.


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Mardi 20 octobre 2 20 /10 /Oct 22:35
Au moment d’aller rejoindre Monsieur Claude, le stress de ce qui m’attendait me joua un tour au niveau de mes intestins et j’eus besoin de me soulager. C’est alors que je remarquai qu’il n’y a pas de quoi faire mes besoins dans la chambre. Je sortis dans le couloir et j’essayai les portes. Elles étaient toutes fermées, point de secours là non plus. Si mon besoin n’avait été que d’uriner je l’aurai fait dans l’évier mais c’était autre chose que je devais faire. Je trouvai dans la cabine de douche un pot de chambre, ça faisait au moins 15 ans que je n’avais pas utilisé ce genre d’ustensile mais nécessité fasant foi, je m’y remis. Je reportais au lendemain de demander à mes proprios où je pouvais le vider, pour ce soir je n’avais pas le temps. J’avais oublié d’acheter du papier hygiénique, décidément j’avais pas l’habitude des courses, heureusement j’avais un paquet de kleenex dans la poche du pantalon. J’enfermai le pot dans la cabine de douche pour éviter les odeurs et je filai.

Monsieur Claude m’apprit que le rendez-vous de ce soir était reporté au lendemain, la personne chez qui on devait se rendre avait un empêchement. J’avais donc la soirée de libre. J'allai flâner sur les quais de Seine où Paris-plage venait d’ouvrir ses portes. Il y avait énormément de monde, on pouvait à peine avancer. Et aucun endroit où s’asseoir pour se reposer, tout était pris d’assaut. Je n'insistai et je partis vers des cieux plus cléments. Je quittai les quais et entrai dans les jardins des Tuileries. C'était infiniment plus calme ici. Un banc me tendais ses bras, je n'allais pas le snober. Je m’amusais des allées venues d’hommes d’âge divers. Il me semblait me souvenir qu’on draguait aussi par ici. Je remarquai un peu plus loin un bosquet dans lequel s’enfoncait un chemin et je vis pas mal d’individus y entrer et en sortir. Tout ceci émoustillait ma curiosité et je me décidai à aller y faire un tour.


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Lundi 19 octobre 1 19 /10 /Oct 19:23

Aujourd’hui je quittai mon hôtel et j’aménageai dans une chambre de bonne meublée qui ne me coûta que deux heures de ménage par semaine. Un ménage bien particulier par rapport à ce que j’avais astiquer. Mon déménagement fut rapide vu que je n’avais qu’un sac. La chambre comportait un lit une place, une cabine de douche minuscule, un évier dans un coin avec un petit réchaud électrique à coté, un mini réfrigérateur, une commode, une petite table avec deux chaises et une lampe. En cette belle journée, une fenêtre sur le toit laissait entrer le soleil. Sur les murs deux magnifiques reproduction des nénuphars de Monet sous vitre. Les poutres étaient apparentes et disposaient de plusieurs anneaux sur lesquels je pourrai suspendre ce que je voudrai. Dans un coin un portique pour accrocher les vêtements. Les murs étaient de couleur crème unie. C’était désormais mon chez moi, le confort était spartiate mais j’en était fier et heureux.

C’était Monsieur Claude qui m’avait obtenu cette faveur. Aucun bail n’avait été signé, je n’avais donc légalement aucun droit et si je ne payais pas mes deux heures par semaines je savais que je serai jeté manu militari à la rue. Je connaissais déjà les propriétaires puisque c’était le couple pour lesquels je m'étais occupé du ménage quelques jours de plus tôt. J’avais confiance en eux, ils n’avaient pas cherché à me toucher la première fois, il n’y avait pas de raison pour que ça change. Seul l’avenir me le dirait. Je ne pensais donc pas avoir de difficultés à payer mon loyer.

J’en profitai également pour ouvrir un compte en banque et, même si je ne disposais pas encore d’une carte bleu, j’aurai bientôt un chéquier. La somme dont je disposais étant assez maigre pour l’instant je n'allais pas faire de folies. J’avais tout de même acheté des pâtes, du beurre, de l’huile, du lait et quelques autres produits de première nécessité. Je m'aperçus assez vite que sans sel les pâtes n'étaient vraiment pas bonnes mais j’allais apprendre petit à petit. J’achetai donc le sel et le sucre que j’avais oublié également, le yoghourt me l'ayant rappelé, et aussi un peu de sauce tomate et du fromage râpé. Mon repas du soir fut un vrai régal. Monsieur Claude m'avait conseillé de prendre des forces car il m’envoyait vers une mission un peu spéciale. Il espèrait que je serais à la hauteur. Il allait me donner tous les détails en me conduisant personnellement à mon futur employeur.


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Vendredi 16 octobre 5 16 /10 /Oct 18:33
Je pose le verre dans lequel mon sperme fait une flaque sur la table basse et je remonte mon boxer. Ils me promettent un pourboire supplémentaire si je fais pipi dans le verre. Je tente vainement de le faire devant eux, mais je ne peux, stressé par leurs regards, je n’ai jamais fait pipi comme ça devant quatre yeux qui essaient de ne pas en perdre une miette, plutôt une goutte. Ils comprennent mon embarras et me laissent me retourner, je réussis ainsi à remplir le verre. Au bruit de mon jet ils s'extasient. Je remarque alors la grande glace devant moi qui leur dévoile tout ce que je fais mais peu importe, une fois que la source s'est mise à couler elle continue jusqu'au bout. Ils se  saisissent du verre, touillent le mélange avec une petite cuillère puis se font passer le verre de l’un à l’autre pour le vider. Satisfaits de leur boisson tiède rafraîchissante, ils se montrent généreux avec moi et me congédient. Ils ont déjà une femme de ménage portugaise qui vient 3 fois par semaine et qui fait déjà le nécessaire sauf que, malgré sa moustache, elle n’a pas droit au pourboire spécial.

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Jeudi 15 octobre 4 15 /10 /Oct 20:05

Je suis maintenant en train de nettoyer les assiettes malgré le lave-vaisselle. Ils en profitent pour venir se faire un café et se peloter pendant qu’il refroidit. En peu de temps ils s’embrassent goulûment devant moi. Le plus jeune ouvre le peignoir de l’autre, s’accroupit et prend son sexe en bouche. Il s'active dessus dans un bruit de succion exagéré. Ils ne se privent pas de me provoquer par leur gémissement mais, imperturbable, je continue le rinçage de la vaisselle.

Je retourne au salon passer l’aspirateur. Ils me suivent et se débarrassent définitivement de leurs vêtements. Un s’allonge dos sur le canapé, l’autre lui relève les jambes et enfoui sa tête à la recherche de la rondelle qu'il lèche voluptueusement. Il crache dans la main, mouille son membre, puis le présente, palpitant, luisant de salive à l’entrée du cul impatient, de son ami. Je fais comme si de rien n’était et je continue mon travail pendant qu’ils s’enculent. Ils auront tout tenté pour me dérider mais ils ne me plaisent pas suffisamment pour que je succombe alors que ma bite qui n’est pas restée insensible tente de s’extraire de mon boxer et forme une auréole mouillée sur le devant. Eux ont l’air d’apprécier de se donner ainsi en spectacle.

Ils osent enfin m’appeler à les rejoindre, mais je ne le veux pas, alors ils me proposent de me branler en les matant et j’aurai ainsi un pourboire. Je sors ma bite et je m’astique devant eux. Ils ne la lâchent pas des yeux tout en continuant à s’enfiler allègrement. Ils me demandent de prendre un verre à whisky sur le bar et de jouir dedans sans en perdre une goutte. Je ne vais pas tarder à jouir et je les préviens, ils me font approcher pour mieux voir. Mon éjaculation provoquera l’orgasme simultané des deux, un sur son propre ventre et l’autre dans le cul du premier.


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Mercredi 14 octobre 3 14 /10 /Oct 19:42

J’avais le choix, slip, boxer en ce qui me concerne, ou tout nu. Le tarif n’est évidement pas le même. J’ai réservé mon choix jusqu’au moment de rencontrer mon « employeur ». Je m’attendais à un vieux monsieur pervers et décrépi, j’ai eu plusieurs surprises. Tout d’abord ce n’est pas un mais deux messieurs. Ensuite ils sont moins décrépis que ce à quoi je m’attendais, ce sont des quinquagénaires qui s’entretiennent mais, même s’ils ne sont pas laids, ils sont loin d’être beaux. J’ai donc préféré garder mon boxer.

J’ai commencé par la poussière avec un plumeau très « cage aux folles ». Le nombre de bibelots qui trônent sur les meubles et consoles est impressionnant. Il ne faut pas les casser. Eux sont en peignoirs de soie avec motifs floraux, rouge rosé pour le plus jeune, vert pour l'autre. Ils sont restés dans le salon faisant semblant de lire une revue dont les pages ne tournent jamais pendant que je m’active devant eux. Peut être que leur revue est écrite tellement petit qu’il faut des heures pour en finir une page. En regardant bien, le plus jeune tient sa revue à l'envers. Je m'abstiens de lui faire remarquer.

La poussière du salon finie ils me disent d’aller nettoyer la salle de bains. Je commence par l’immense baignoire. Gants de caoutchouc aux mains, je suis accroupi dedans pour la récurer lorsqu’un des messieurs fait son entrée. Il a choisi ce moment pour se laver les dents. Durant tout le brossage il ne lâche pas du regard mon reflet dans le miroir. Pendant ce temps l'autre arrive et s’approche de la cuvette des toilettes qui voisine la baignoire, soulève la lunette, défait la ceinture de son peignoir, en écarte bien les pans, prend sa bite flaccide en main et entreprend de pisser en me montrant ostensiblement tout son équipement. Il manque à plusieurs reprises sa cible car ce n’est pas la cuvette qu’il surveille mais moi dont le visage se trouve à peine à quelques centimètres. J’ai tout loisir pour observer un sexe décalotté de belle taille qui me semble augmenter de volume petit à petit. Pour s’égoutter, il secoue sa bite de droite à gauche, cherchant à m’atteindre au visage de ses dernières gouttes, il y réussit. Son ami ayant fini de se rincer la bouche se penche et lui lèche la dernière goutte, puis il tire la chasse et sort en m’ordonnant d’aller m’occuper de la cuisine alors que je n'ai même pas fini la baignoire.


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Dimanche 11 octobre 7 11 /10 /Oct 13:22

Voila maintenant un bon moment que patiente mais plus personne ne vient vers moi. Toutes les voitures passent au loin. Je change de place, peut être aurais-je plus de chance. En effet, une voiture s’arrête à mon niveau et l’homme me dit :

- 50 euros pour que je te suce mais je veux que tu jouisses dans ma bouche.

Je suis à nouveau déconcerté, je croyais que j’allais faire alors qu’on va me faire. Après une courte hésitation, j’accepte mais lorsque je vois le visage décharné de l’homme qui a certainement assisté à la Révolution Française si ce n’est au couronnement de Ramsès II, j’ai un mouvement de recul. Je ne peux mettre ma bite dans cette bouche même si j’imagine qu'il ne me blessera avec ses dents, il n'en a plus. Je décline donc son offre en essayant d’être le plus correct possible. Il repart résigné, il ne s'arrête pas à un autre garçon.

Voila là-bas une autre voiture qui s’avance. Le gars qui était à ma droite à soudain disparu, j’en vois un autre qui détale, je prend peur et je file moi aussi me cacher derrière un buisson. Tout à coup la voiture accélère et pile dans un crissement de pneus affreux devant un garçon sur le trottoir face au mien. Trois hommes en surgissent et poursuivent le garçon qui s’est mis à courir en direction du bois.

- Barre-toi c’est les flics !

Cet avertissement m’est lancé par quelqu’un qui s’échappe passant près de moi. Je ne reste pas pour assister à la suite des évènements, je prends mes jambes à mon cou et je m’engouffre dans le métro. Je ne crois pas que je reviendrai ici de si tôt. Second échec de la soirée, c’est un jour sans.


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