Un second coup de talon tomba sur mes couilles, y apportant une douleur indescriptible qui se mêlait au plaisir pervers procuré par le membre en latex qui comprimait ma prostate. David, tout en
continuant à me flageller le dos tira sur les pinces qui m’arrachaient les tétons. Il demanda à Stéphane d’intensifier les coups (je ne croyais pas que ce fut possible ni supportable) et la
cadence. Alors que les coups tombaient avec une régularité diabolique, apportant à chaque fois une douleur plus extrême, et que je n’avais aucun moyen de m’y soustraire, David me retira la pince
de mon téton gauche et une immense brulure me parcourut le torse me faisant gémir dans mon bâillon. Puis, quelques instants, et quelques coups sur mes couilles, plus tard, il tira sur le poids
pendu à l’autre pince jusqu’à l’arracher dans une déflagration de douleur cent fois plus intense dans ma poitrine.
- Accélère, dit-il à Stéphane en se saisissant de ma bite.
C’est alors que je fus submergé par la jouissance la plus intense que j’ai jamais connu. J’eus la vue qui se brouilla et une onde de plaisir qui vint tout emporter au passage. Les coups sur mes
couilles, qui n’avaient jamais été aussi forts et répétés, n’engendraient plus aucune douleur, pas plus les lanières qui zébraient mes reins. Tout fut balayé au passage de mon orgasme. J’eus
l’impression que je n’y survivrai pas, que mon cœur allait exploser.
ĵe pense que c'est "sur".
Merci pour ce texte, j'attend avec impatience et avec le flux rss de lire la suite