Vendredi 8 janvier 5 08 /01 /Jan 20:51
Pourquoi ai-je accepté… Que dis-je ? Pourquoi ai-je demandé à subir ça ? Tout le cauchemar de la séance où je faillis perde la vie se présentait à moi mais dans mes souvenirs, ceux que je tentais vainement d’oublier, la douleur n’était pas aussi insupportable. Je devais trouver un moyen pour faire cesser ce calvaire car je savais qu’eux n’arrêteraient pas, puisque je leur avais fait promettre de ne pas arrêter. Mais j’avais du perdre l’entendement alors car, même s’ils ont prirent des initiatives, dans l’ensemble ils me firent subir ce que je leur avais demandé de me faire subir. Il n’y avait aucun espoir que j’arrive à ma libérer de ces liens experts, d’autant plus qu’en tirant sur mes bras je tendais la corde qui m’arrachait les couilles. La situation était désespérée mais je bandais. Aussi incroyable que cela puisse paraître je bandais comme un damné. Une partie de moi voulait que ça s’arrête mais une autre partie voulait atteindre l’orgasme qui promettait d’être phénoménal.

Un second coup de talon tomba sur mes couilles, y apportant une douleur indescriptible qui se mêlait au plaisir pervers procuré par le membre en latex qui comprimait ma prostate. David, tout en continuant à me flageller le dos tira sur les pinces qui m’arrachaient les tétons. Il demanda à Stéphane d’intensifier les coups (je ne croyais pas que ce fut possible ni supportable) et la cadence. Alors que les coups tombaient avec une régularité diabolique, apportant à chaque fois une douleur plus extrême, et que je n’avais aucun moyen de m’y soustraire, David me retira la pince de mon téton gauche et une immense brulure me parcourut le torse me faisant gémir dans mon bâillon. Puis, quelques instants, et quelques coups sur mes couilles, plus tard, il tira sur le poids pendu à l’autre pince jusqu’à l’arracher dans une déflagration de douleur cent fois plus intense dans ma poitrine.
- Accélère, dit-il à Stéphane en se saisissant de ma bite.
C’est alors que je fus submergé par la jouissance la plus intense que j’ai jamais connu. J’eus la vue qui se brouilla et une onde de plaisir qui vint tout emporter au passage. Les coups sur mes couilles, qui n’avaient jamais été aussi forts et répétés, n’engendraient plus aucune douleur, pas plus les lanières qui zébraient mes reins. Tout fut balayé au passage de mon orgasme. J’eus l’impression que je n’y survivrai pas, que mon cœur allait exploser.


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