A nos questions Grégory nous expliqua que tout était faux mais qu’il en avait assez de ce climat et qu’il avait envie de choquer le plus possible toute cette satanée famille « bien pensante » qu’il ne supportait plus. Il avait réussi son coup au-delà de ses espérances. Leur téléphone portable ne cessait de sonner. Tantôt c’était papa, tantôt maman, tantôt un cousin puis le père d’Alexandre. Il fut convenu qu’ils rentreraient chez eux le lendemain. L’appartement était suffisamment spacieux et nous pouvions coucher Grégory et Kévin chacun dans sa chambre.
Cette journée spéciale nous avait bien excités et je demandai à Alexandre de me rendre ce que je lui ai donné à la distribution des cadeaux. En me montrant son membre tendu et en me flattant les fesses il me dit qu’il y était tout disposé. Je me couchai sur le dos, les jambes relevées contre son torse. Il cracha dans sa main, me lubrifia le cul puis y présenta son vit qui pulsait de désir. Nous essayions d’être moins démonstratifs acoustiquement que lors de notre dernière partie de jambes en l’air. Alexandre pénétra mon cul et se saisit de ma bite raide qu’il branla délicieusement. J’étais aux anges mais j’entendis tout de même la porte de la chambre s’entrouvrir même si celui qui l’ouvrait essayait d’être le plus silencieux possible. Alexandre, tout à son plaisir, n’avait rien remarqué et je décidai de ne rien lui dire. J’évitai de regarder directement en direction de la porte pour ne pas effaroucher celui qui, témérairement et clandestinement, venait se rincer les yeux à notre spectacle, mais dans la glace qui en reflétait l’image je découvris Kévin. Je fus étonné, j’aurais pensé que ce serait plutôt Grégory qui aurait eu cette initiative. Bientôt je découvris que je ne me trompais qu’à moitié lorsqu’au dessus du visage de Kévin je vis apparaitre celui de son frère. Ils étaient venus tous les deux nous espionner en douce et apprendre de nouvelles choses.