En fait de bosquet c’était un petit labyrinthe de verdure, un lieu propice pour les rencontres. J’y pénétrai à mon tour tel le docteur Livingstone dans la jungle africaine, ne craignant pas les griffes d’un lion, pas plus la pine d’un violeur, l’espérant à vrai dire. Au détour d’un virage voici un jeune homme qui urine contre une haie, mais à mieux observer il était plutôt en train de se masturber, son membre turgescent, en jetant des regards de tous les côtés. Quand il m’aperçut, il me montra sa marchandise et me fait signe d'approcher. Il était plutôt bien foutu, mince, de taille moyenne, plutôt jeune. Il porta immédiatement sa main à mon paquet. Je bandais dur comme du bois. Je lui murmurai à l'oreille :
- On va chez toi ?
- J’habite trop loin, chez toi si tu veux.
Je me souvenais du trophée que j’avais laissé dans la cabine de douche alors je n’avais pas trop envie de lui faire visiter ma chambre. Je lui mentis en disant que j’habitais trop loin aussi. On se chercha un endroit plus abrité et il m’ouvrit la braguette. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire il fut à genoux pompant avec énergie mon membre qu’il branlait simultanément en cadence. Il allait me faire jouir trop vite, je jouissais toujours trop vite, je voulus l’arrêter et le faire se lever pour lui rendre la politesse mais il refusa et continua son travail sur ma bite. Il était champion en taillage de pipe, si cette catégorie existait dans le livre des records il y mériterait sa place et aux jeux Olympiques il décrocherait la médaille d'or. Il se contenta de décrocher mon orgasme et j’explosai dans sa bouche, il ne se retira pas et avala toute mon offrande. Je ne sais comment je tins debout car j’avais les jambes flageolantes et elles faillirent bien me lâcher.