Je manquai m’étrangler de rire.
Me voici donc avec un bébé qui pourrait être mon père allongé sur le sol, le cul à l’air et moi qui lui rougissait les fesses sous la surveillance de Monsieur Claude. J'avisai un martinet sur la commode et m'en saisis, ça allait m'éviter de me faire mal aux mains. Le bébé fut ravi de mon initiative et il laissa échapper un soupir de satisfaction. Mes coups s'abattirent pendant plusieurs minutes jusqu'à ce que Monsieur Claude jugea que je n’y allais pas assez fort alors je redoublai de force. Au bout d’une dizaine de minutes je mis du talc sur ses fesses rougies et des couches propres. Alors que j'étais sur le point de la refermer il lâcha un nouveau jet de pipi qui mouilla le devant de la barboteuse. C’est sous les ordres de Monsieur Claude que je le punis de nouveau mais d’une façon plus méchante, en lui fessant les couilles. Là encore Monsieur Claude me dit d'y aller plus fort. L’homme banda dés les premiers coups. Il se contrôlait entre le besoin de se protéger les couilles de la douleur que je leur infligeait et l'excitation de la situation qui l'incitait à le laisser frapper. A plusieurs moments sa main s'approchait comme pour retenir mon bras puis s'éloignait de nouveau. Il jouit en peu de temps, alors que je tapais encore, avec des jets qui atteignirent sa figure et ses cheveux.
Je finis de lui poser la couche sans qu’il ne la salit encore alors il eut droit à une récompense. Un biberon spécial que j’amenais toujours avec moi, qui était toujours à la bonne température et qui se rechargeait tout seul bien qu’il faille un peu de travail pour en obtenir son lait. Il sembla à son goût puisqu’il n’en perdit pas une goutte. Je ne tardai pas à jouir dans la bouche et il avala tout puis me nettoya le gland consciencieusement.
Monsieur Claude voulut qu’on partage 50/50 entre nous le butin de la soirée et qu’en plus je lui paie les 30% conventionnels sur ma part, puisque, disait-il, il m'avait conduit et guidé. Il est vrai que sans lui je n'aurai su quoi faire mais je considérais que j'avais bien plus payé de ma personne que lui. Il m’a fallu négocier durement. On finit par tomber d’accord, on ferait moitié-moitié. J’appris que l’homme chez qui on était allé organisait ses petites sauteries dès que sa femme s’absentait. Alors que j’attendais dans la voiture, lui et Monsieur Claude avaient discuté, satisfait de ma prestation il souhaitait me revoir. La prochaine fois j'irai et en reviendrai en taxi, l’homme se chargerait des frais.