J’avais le choix, slip, boxer en ce qui me concerne, ou tout nu. Le tarif n’est évidement pas le même. J’ai réservé mon choix jusqu’au moment de rencontrer mon « employeur ». Je m’attendais à un vieux monsieur pervers et décrépi, j’ai eu plusieurs surprises. Tout d’abord ce n’est pas un mais deux messieurs. Ensuite ils sont moins décrépis que ce à quoi je m’attendais, ce sont des quinquagénaires qui s’entretiennent mais, même s’ils ne sont pas laids, ils sont loin d’être beaux. J’ai donc préféré garder mon boxer.
J’ai commencé par la poussière avec un plumeau très « cage aux folles ». Le nombre de bibelots qui trônent sur les meubles et consoles est impressionnant. Il ne faut pas les casser. Eux sont en peignoirs de soie avec motifs floraux, rouge rosé pour le plus jeune, vert pour l'autre. Ils sont restés dans le salon faisant semblant de lire une revue dont les pages ne tournent jamais pendant que je m’active devant eux. Peut être que leur revue est écrite tellement petit qu’il faut des heures pour en finir une page. En regardant bien, le plus jeune tient sa revue à l'envers. Je m'abstiens de lui faire remarquer.
La poussière du salon finie ils me disent d’aller nettoyer la salle de bains. Je commence par l’immense baignoire. Gants de caoutchouc aux mains, je suis accroupi dedans pour la récurer lorsqu’un des messieurs fait son entrée. Il a choisi ce moment pour se laver les dents. Durant tout le brossage il ne lâche pas du regard mon reflet dans le miroir. Pendant ce temps l'autre arrive et s’approche de la cuvette des toilettes qui voisine la baignoire, soulève la lunette, défait la ceinture de son peignoir, en écarte bien les pans, prend sa bite flaccide en main et entreprend de pisser en me montrant ostensiblement tout son équipement. Il manque à plusieurs reprises sa cible car ce n’est pas la cuvette qu’il surveille mais moi dont le visage se trouve à peine à quelques centimètres. J’ai tout loisir pour observer un sexe décalotté de belle taille qui me semble augmenter de volume petit à petit. Pour s’égoutter, il secoue sa bite de droite à gauche, cherchant à m’atteindre au visage de ses dernières gouttes, il y réussit. Son ami ayant fini de se rincer la bouche se penche et lui lèche la dernière goutte, puis il tire la chasse et sort en m’ordonnant d’aller m’occuper de la cuisine alors que je n'ai même pas fini la baignoire.