Jeudi 29 octobre 4 29 /10 /Oct 20:11

« Longer par le coté droit puis passer par derrière. Il y aura une porte ouverte qu’il suffira de pousser. » Voici la porte ouverte, les indications de Monsieur Claude étaient parfaites. « Une fois dedans, barrer la porte et prendre le couloir jusqu’au bout. » Au bout je débouchai dans le chœur. Je le vis nu, allongé de tout son long sur le carrelage glacé, les bras étendus en croix de part en part, sa soutane à coté de lui. Il avait entendu mes pas alors sans même lever sa tête il implora :

- je mérite pénitence.

A coté de lui sur le sol il y avait une verge dont je me saisis et je commençai à lui flageller le dos. Il resta silencieux un moment puis me dit qu’il méritait un châtiment plus fort, alors je redoublai de force. Ses gémissements se firent entendre, des gémissement de douleur et non de plaisir, quoique ? Toute son échine frémissait et rougissait sous mes coups. En moi un sentiment de répugnance à cet acte se mêlait à une certaine délectation du fait que c’était un homme d’église à qui je l’infligeais, un homme de la secte romaine adoratrice d’un crucifié qui répandait le malheur sur Terre car c’est du malheur qu’elle s’alimentait. Si elle avait voulu le bonheur des hommes elle aurait déjà agi depuis longtemps mais c’eût été contre productif car les hommes heureux n’ont pas besoin de superstition alors que plus les gens sont malheureux plus ils se tournent vers un arrière monde fait de promesses stériles dont bénéficient ceux qui les font, à savoir les prêtres des diverses religions.

Ses gémissements se transformèrent petit à petit en cris aigus à chacun de mes coups. La croix que ses bras faisait avec son corps était désormais de plus en plus déformée, ses bras cherchant à arrêter la source de sa douleur alors que sa volonté tentait de les garder immobiles. Son dos n’était plus seulement rougi mais marqué par des stries visibles d'un rouge de sang. Ses fesses étaient restées blanches comme la neige lorsque je me dis que je devais leur donner de la couleur également. Mes coups se portèrent alors vers cette partie de son anatomie, je me sentis comme un artiste qui ne devait négliger aucune partie de sa toile pour parfaire son œuvre d’art. Il ne s’attendait pas à ce que je frappe à cet endroit et, au premier de mes coups, poussa un hurlement, vite étouffé. Ses fesses rougissaient et prenaient la même couleur que son dos. Sa volonté avait de plus en plus de mal à maîtriser ses bras qui voulaient venir le protéger des coups. Ses jambes ne restèrent pas statiques, il gigotait désormais beaucoup mais continuait à s’offrir à sa punition. Je portai ensuite mes coups sur l'arrière de ses cuisses, puis entre elles après les lui avoir écartées du pied. Il avait beaucoup de mal à les garder ouvertes. Entre ses fesses j’aperçus ses couilles, comment allait-il réagir aux coups que j'y porterai ? La frappe suivante fut dans l’axe de son corps entre ses cuisses, les filaments de la verge s’enroulèrent sur ses fesses et certains atteignirent ses couilles. Ce fut un nouveau cri qu’il poussa et ses jambes se resserrèrent aussitôt pour protéger ces parties particulièrement sensibles. De mon pied je l’obligeai à écarter ses cuisses et je repris les coups en visant ses bourses. Le quatrième coup fut accompagné chez lui d’un hurlement et de convulsions désordonnées. Son corps ne formait plus aucune figure lisible sur le sol, je compris qu’il était en train de jouir. Mon coup suivant lui fit pousser un autre hurlement et tout son corps se recroquevilla, ses mains se portèrent au devant de la verge pour faire cesser son châtiment.


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