Introduction

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Ce blog est un récit romancé. Pour le suivre, il faut entamer la lecture par l'article le plus ancien.


Sans doute, beaucoup de tous les écarts que tu vas voir peints te déplairont, on le sait, mais il s’en trouvera quelques-uns qui t’échaufferont au point de te couter du foutre, et voila tout ce qu’il nous faut. Si nous n’avions pas tout dit, tout analysé, comment voudrais-tu que nous eussions pu deviner ce qui te convient ? C’est à toi à la prendre et à laisser le reste ; un autre en fera autant ; et petit à petit tout aura trouvé sa place.

Sade

 

 

Malheur, cent fois malheur à la créature infortunée qui, dans un pareil abandon, se trouvait à la merci d’un scélérat sans loi et sans religion, que le crime amusait, et qui n’avait plus là d’autre intérêt que ses passions et d’autres mesures à garder que les lois impérieuses de ses perfides voluptés.

Sade

Samedi 31 juillet 6 31 /07 /Juil 22:05

Matthias n’ayant pas évacué sa tension ressortit de sous le bureau, le membre fièrement à l’air. Un peu plus tôt, en passant par la cuisine il avait aperçu un paquet de petits beurre sur une étagère. Il alla en sortir deux qu’il déposa sur la table et branla son vit jusqu’à les arroser d’un nappage blanc et gluant. Il les rapporta ensuite dans la chambre et en offrit un à chaque frères penché sur son clavier. Kévin, habitué aux plaisanteries de Matthias, s’aperçut immédiatement de la supercherie et il prit un plaisir non dissimulé à déguster ce biscuit. Grégory encore candide y croqua sans se douter de rien. Il engouffra la galette puis se plaignit :
- Elles sont pourries, c’est dégueu.
Ce qui déclencha instantanément l’hilarité générale à la grande consternation de Grégory.
La journée se passa sans aucune découverte importante et les trois amis décidèrent de se séparer en se donnant rendez-vous au lendemain. Dans un tiroir proche de l’entrée Kévin découvrit un double de la clé de l’appartement. Ils s’en saisirent ainsi les deux frères pourraient y venir quand ils auraient un peu de temps pour continuer leur recherche sans avoir besoin d’attendre celui qui aurait eu la seule clé.


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Mardi 27 juillet 2 27 /07 /Juil 21:11

Mais l’heure de gouter n’était pas arrivé et il fallait se remettre au travail. Kévin avait parcouru déjà une bonne partie des mails sans rien trouver de probant. Grégory se mit à la même tâche sur l’ordinateur portable. Matthias, qui n’avait rien de spécial à faire fureta dans les différentes pièces de la maison. Il ouvrait tiroirs et armoires dans la chambre, le salon, la cuisine. Dans une pièce qui servait de cellier il vida le panier à linge sale et huma consciencieusement tous les slips et caleçons qu’il trouva, comme si cette odeur pouvait le mettre sur la piste des disparus. Son effet ne fut pas celui-là mais il occasionna un développement d’une partie de sa personnalité. Il revint vers la chambre et passa sous le bureau devant lequel était assis Kévin qui le laissa ouvrir la braguette de son pantalon et en extraire la friandise que Matthias voulait. Kévin jeta un coup d’œil à son frère, concentré sur  l’écran, assis sur le lit, qui ne s’était aperçu de rien. Il bandait déjà avec force. On bande vite à cet âge là. Matthias engloutit le sucre d’orge et le lécha longuement privant Kévin de la concentration nécessaire pour poursuivre sa mission et l’amenant vers un épanchement de liqueur que Matthias savoura avant de l’avaler.


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Samedi 24 juillet 6 24 /07 /Juil 13:47

Matthias se raidit enfoncé totalement dans Grégory et envoya sa purée secoué d’une multitude de spasmes. Sa pression sur la tête de son ami faiblit et celui-ci réussissant à le repousser pour chercher de l’air reçut la fin de son hommage sur la figure et les cheveux. De multiples trainées blanches et gluantes qui coulaient. Il se saisit alors de son membre qui pulsait et qui lui faisait mal à force de bander et en quelques secondes envoya sa sauce sur l’émail de la baignoire.
- Il faudrait peut être retourner voir ce que fait ton frangin.
Grégory s’essuya la figure avec une serviette sans penser qu’il était autant maculé au niveau des cheveux et ils retournèrent dans la chambre. Kévin était en train d’éplucher tous les mails reçus. Il n’avait rien trouvé pour l’instant. Grégory reprit l’ordinateur portable sur lequel le fond d’écran avait changé. On voyait maintenant Alexandre toujours de face et toujours avec un air d’extase mais la bite qui tout à l’heure déversait sa pisse dans sa bouche était désormais partiellement enfoncée dans son cul.
- Ça aussi je peux faire gouter quand tu veux, dit Matthias en riant.


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Vendredi 23 juillet 5 23 /07 /Juil 19:12

- Détends-toi, penche la tête vers l’arrière. Un peu, pas trop. N’aie pas peur.
Matthias rassurait et conseillait Grégory tout en tentant de forcer le passage pour pénétrer encore un peu plus profondément dans cette bouche. Il avait cessé de pisser pour faciliter la manœuvre. Des deux mains sur la nuque et le crâne de son ami il le maintenait solidement. Tout à coup le bon angle fut trouvé et le gland passa l’obstacle au fond de la bouche. Grégory eut un sursaut et une nausée qu’il réussit à contrôler et le pieu de Matthias continua sa progression dans le larynx. Il était désormais en totale érection et il recommença à pisser dans l’œsophage de Grégory, un jet qui pouvait être puissant puisqu’il ne risquait plus dé déborder, allant directement dans l’estomac de son ami. Celui-ci devenait rouge par manque d’air mais il ne faisait aucune force pour se dégager. Sentir le liquide le remplir et sa chaleur le réchauffer de l’intérieur l’excitait au plus haut point même s’il regrettait de ne plus avoir le gout dans la bouche.
Quand le flot se fut tari Matthias commença les coups de butoir dans la gorge de Grégory qui manquait d’air. Il lâcha son membre qu’il branlait à y mettre le feu et tenta de repousser Matthias qui ne se laissa pas faire, proche qu’il était de l’orgasme. Son gland ne quittait pas le larynx de Grégory. En se retirant il y restait à la limite avant de replonger dans l’œsophage de toute sa force. Ses allées venues se faisaient progressivement plus rapides et son souffle plus haletant. Simultanément, les efforts de Grégory pour obtenir de l’air se faisaient plus pressants.


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Jeudi 22 juillet 4 22 /07 /Juil 20:51

- Hé les mecs, allez continuer ailleurs et laisser moi bosser. Kévin s’en mêlait, alors les deux amis le laissèrent consulter les mails d’Alexandre en tranquillité et quittèrent la pièce. Matthias, qui avait une idée derrière la tête, tout en continuant la discussion, fit promener Grégory à la recherche de la salle de bains sans que celui-ci ne se doutât de rien. Son regard s’illumina quand il vit derrière une porte ouverte une baignoire qui leur tendait des bras qu’elle n’avait pas. Grégory se retournant vit ce que son ami fixait alors qu’il le poussait dans le dos pour lui faire passer le seuil de la porte. Il commença à déboutonner sa chemise.
- Non, non. Reste habillé !
- Tu veux plus, gémit Grégory déçu tout à coup.
- Rentre dans la baignoire habillé, tu vas voir, c’est encore mieux.
Il n’eut pas besoin de dessin pour comprendre l’intention de Matthias qui ouvrait déjà sa braguette. Il s’agenouilla dans la baignoire. Pour la première fois de sa vie il voyait le membre de Matthias d’aussi prés et dans un état d’érection qui, bien que déjà avancée, n’était pas encore incompatible avec le jeu auquel ils voulaient se livrer. Il vint au devant du vit en ouvrant la bouche. Matthias se cambra un peu et fit pénétrer son gland dans la bouche gourmande qui se referma dessus comme sur un caramel. Il lui dit de ne plus bouger, se concentrant pour arriver à uriner. Ceci lui prit quelques secondes, un premier jet s’écrasa au fond du gosier de Grégory qui l’avala. Il se hâta de défaire sa braguette et d’en extraire un superbe membre parfaitement tendu qu’il branla fougueusement. A la seconde tentative Matthias émit un ruisseau continu mais de faible débit que Grégory avalait avec avidité gorgée après gorgée. Il passa la main dans la nuque de Grégory et fit pression. Son membre, tout en continuant de l’abreuver, progressait dans cet antre chaud et vint butter au fond.


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Mercredi 21 juillet 3 21 /07 /Juil 19:13

- Parle pas comme ça de ma copine.
- T’as déjà fait quelque chose avec elle ?
- Arrête !
- Elle t’a touché la bite ?
- Suffit !
- Putain ! Tu lui as touché la chatte ?
- Merde, fait pas chier.
- Les nichons ?
- Je te demande d’arrêter.
- Fais pas ton Edouard s’il te plait. Je vous demande de vous arrêter ! Je vous demande de vous arrêter ! dit-il avec la bouche en cul de poule. Et tu vas lui dire quoi ? Me chère épouse, vous voudrez bien uriner dans ma bouche, je vous en serai reconnaissant !
- Et toi, le bon samaritain, évidement t’es prêt à pisser sur la gueule de ton meilleur ami !
- T’en meurs d’envie, regarde comme tu bandes. Et puis moi aussi ça fait des années que je meurs d’envie de toi.
- Mais… je suis hétéro…


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Mardi 20 juillet 2 20 /07 /Juil 22:46

Il se connecta sur le mail tout aussi facilement que sur l’autre ordinateur. Tous les mots de passe avaient été enregistrés. Il ne pouvait s’empêcher de rapetisser la fenêtre pour revoir et contempler l’image de fond. Au début juste pour quelques secondes avant de revenir à la messagerie puis il y passait plus de temps, sidéré par une telle action, sentant son membre se tendre lentement.
- C’est pas comme ça que tu vas trouver.
L’ordinateur se serait écrasé au sol si Matthias n’avait eu les bons réflexes. Grégory, absorbé totalement par la scène vicieuse qu’il avait devant les yeux n’avait pas entendu Matthias céder sa place à Kévin et venir observer ce qu’il faisait par-dessus son épaule. Confus comme jamais dans sa vie il tentait bien maladroitement de s’expliquer mais il dut convenir que cette vision l’attirait.
- Je te fais gouter quand tu veux.
- T’es ouf, j’suis hétéro moi.
- Tu deviendras pas pédé pour avoir gouté à une teub.
Il se défendait de vouloir quoi que ce soit mais la bosse de sa braguette montrait l’état d’excitation où il se trouvait.
- Je le ferai avec ma copine, disait-il.
- Avec Claude ?
Même Kévin se joignit aux rires.
- C’est un prénom de maquerelle. Claude. Elle aurait du s’appeler Sainte Thérèse, deux qui la touchent pas, personne qui la baise.


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Lundi 19 juillet 1 19 /07 /Juil 21:11

- Plutôt que rien foutre, va voir sur le portable.
Grégory devança Kévin et se saisit du l’ordinateur portable qui reposait sur un coin du bureau. Il s’assit sur le lit et l’ouvrit. Il eut moins de chance en pressant le bouton marche car le système lui demanda un mot de passe. Il se creusa les méninges, entra successivement et en vain le prénom des deux amis, celui de la mère puis du père d’Alexandre. Même le nom du chien y passé. Au bout d’un quart d’heure et à court d’idées il déclara qu’il ne réussissait pas.
- T’as essayé de rien mettre, proposé Matthias.
- Bingo !
L’obstacle était franchi. Grégory fut surpris par l’image qui s’afficha : Alexandre de face, nu, avec l’expression du plus vif plaisir, une main sur sa bite tendue, bouche ouverte recevant un jet jaune qui sortait avec force d’une autre bite en semi érection. Il se dépêcha d’ouvrir une fenêtre en grand pour cacher cette vision qui, il dut bien l’admettre, avait occasionné une légère enflure au niveau de sa braguette.
- Tu trouves quelque chose ?
- heu… non rien, répondit-il la gorge sèche.


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Dimanche 18 juillet 7 18 /07 /Juil 22:19

Pendant ce temps, Matthias avait repéré l’ordinateur sur le bureau de la chambre à coucher d’Alexandre. Il appuya sur le bouton marche et celui-ci obéit poliment. Il n’y avait pas de mot de passe pour ouvrir une session. Matthias chercha Outlook express qu’il ne trouva pas, il cliqua alors sur le navigateur et Firefox afficha la page Google. Il tenta sa chance avec GMail et il gagna. La page demanda un mot de passe mais le progrès n’ayant pas de limite, il est désormais inutile de faire travailler sa mémoire pour se souvenir des mots de passe. Le navigateur avait rempli consciencieusement le nom de l’utilisateur et le mot de passe. Il ne restait plus qu’a cliquer sur le bouton connexion. Il y avait des centaines de messages non lus, des milliers de plus dans les archives, parmi lesquels une explication pourrait être trouvée. La tâche paraissait rude. Il appela à l’aide.
Kévin et Gregory n’avaient rien trouvé de leur coté si ce n’est des preuves supplémentaires de l’absence prolongée des deux amis. Ils rejoignirent Matthias dans la chambre.
- S’ils étaient partis de leur plein gré ils auraient continué à consulter leur messagerie.
- T’as raison sauf s’ils sont parti au cœur de l’Afrique.
- M’ouais… mais dans ce cas ils auraient pas laissé pourrir le frigo.
- A cet âge là on pense pas à tout.


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Jeudi 15 juillet 4 15 /07 /Juil 22:41

- T’as la clé ? Grégory allait tomber à la renverse. Comment ça t’as la clé ?
- Ben, euh ! Bah voila, Alex m’a dit que si j’avais besoin, que voila… Si je savais pas où aller…
Les yeux de Grégory s’ouvraient de plus en plus, bientôt ils allaient sortir de ses orbites et tomber au sol.
- Enfin, quoi ! Si je veux voir Matthias et que je sais pas où le voir…
- Baiser tu veux dire !
- Bah oui, baiser avec, alors je peux aller chez lui et il m’a même passé la clé pour quand il y est pas.
Matthias qui ignorait tout ça tombait aussi des nues. Kévin n’avait pas encore eu le besoin de profiter de l’hospitalité de son cousin, lui et Matthias avaient toujours réussi à se ménager un peu de temps à eux sans jamais être dérangés ni surpris jusqu’à ce jour.
L’appartement d’Alexandre et son ami paraissait abandonné depuis quelques temps. Une couche de poussière recouvrait les meubles et une odeur de renfermé prenait à la gorge. Ils commencèrent par ouvrir les fenêtres malgré la saison, on était en hiver, afin d’aérer un peu. Lorsque Kévin ouvrit le réfrigérateur une odeur fétide s’en dégagea. Des légumes avaient pourri et une brique de lait entamée avait fermenté. Sur le plan de travail de la cuisine des pommes étaient plus flétries que le fond de leur grand-mère. Dans l’évier des assiettes sales moisissaient. Tout prouvait une absence soudaine et prolongée.


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Mercredi 14 juillet 3 14 /07 /Juil 15:52

- Nettoie-toi la bouche, t’es plein de chocolat, dit-il à son frère qui avait des traces marron autour des lèvres, comme un enfant qui se goinfre. Ce dernier sortit la langue et les fit disparaître en disant dans un grand sourire :
- C’est pas du chocolat.
- T’es vraiment dégueu, répondit-il. Y’a tante Liliane qu’est affolée.
Devant nos yeux écarquillés, il s’expliqua :
- Ça fait plus d’un mois qu’elle n’a pas de nouvelles d’Alex, il appelle pas, il répond pas au tél, elle est même passé plusieurs fois chez lui et son « ami entre guillemets comme elle dit », et personne. Elle appelle tout le monde pour savoir si quelqu’un a des nouvelles. Elle parle même d’aller à la police.
- C’est qui Alex, demanda Matthias.
Grégory et son frère lui racontèrent toute l’histoire, le repas de noël mouvementé, l’esclandre, son copain, son appartement. Kévin proposa alors de passer chez lui pour fouiller à la recherche d’indices.
- Et on pète la porte pour rentrer ? objecta Grégory.
- C’est pas la peine, j’ai la clé.


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Mardi 13 juillet 2 13 /07 /Juil 22:02

Chapitre 7

 

Matthias pistonnait le cul de Kévin depuis bientôt une demi-heure lorsque la porte s’ouvrit brusquement. Ça ne pouvait être que Grégory, frère de Kévin et meilleur ami de Matthias, puisque les parents étaient absents pour la fin de semaine. Après un moment d’hésitation à mater les fesses de son ami monter et descendre, il fit marche arrière et referma la porte délicatement essayant de faire un minimum de bruit. Matthias avait entendu la porte s’ouvrir et il l’entendit se refermer mais il ne savait pas s’il était resté dans la chambre ou s’il les avait laissés seuls. Imaginant les yeux de son ami hétéro rivées sur ses fesses il inonda celles de Kévin d’un foutre abondant. Il se saisit du pic turgescent de son amant et le branla vigoureusement en continuant le pilonnage de son postérieur. Celui-ci ne put pas retenir un énorme hurlement qui accompagna son orgasme inter abyssal.
Matthias s’écroula sur son amant comblé en restant encore quelques instants dans son fondement. Son membre perdait de sa superbe petit à petit et décula au bout de quelques minutes délicieuses. Kévin, comme à son habitude, dés que le dard quitta son postérieur, fit volte face et le prit en bouche pour le nettoyer des traces qu’il pouvait rester.
- Ton frère nous a surpris, dit alors Matthias tandis que son membre palpitait à cette idée.
Matthias ne savait pas que Grégory était au courant de son aventure avec son petit frère. Il résista à l’envie de recommencer dans sa bouche après avoir fini dans son cul. Ils se levèrent, se rhabillèrent tous les deux et rejoignirent Grégory dans sa chambre.
- T’es en avance, dit Grégory, un peu fâché, à Matthias.
- Toi aussi, répondit Matthias et ils éclatèrent de rire, réconciliés et dans la bonne humeur.


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Vendredi 9 juillet 5 09 /07 /Juil 18:59

Ils installèrent la plateforme derrière moi et me retirèrent le plug qui faisait bouchon dans mon fondement depuis maintenant quatre jours. La quantité qui s’était amassée espérant une évacuation proche était énorme et je ne pus rien faire pour la retenir à l’intérieur de moi. Une partie tomba sur la plateforme et le reste alla s’écraser au fond de la baignoire, entre le barrage et l’évacuation. Heureusement pour Alexandre, la consistance en était pâteuse et elle colla au plexiglas sans couler vers l’évacuation. Je subis ensuite deux pénétrations coup sur coup, la seconde se poursuivant pas l’administration d’un lavement à l’urine comme ils aimaient en donner depuis la veille. Puis ils déplacèrent un peu le treuil pour que je sois à la verticale du lac de pisse, et ils nous laissèrent après m’avoir donné deux autres canettes de bière. Craignant, à juste raison, une catastrophe je serrai autant que possible mes sphincters, mais se retenir pendant une journée, ou même pendant une heure, plein devant et derrière, est surhumain, et je ne suis pas un surhomme. Je relâchai aussi doucement que possible mais le contenu de mes trippes dégringola sans contrôle dans le lac d’urine où il généra une vague meurtrière. Ce fut le raz de marrée fatal qui fil s’écrouler le barrage de merde. En rompant la digue la vague d’urine emporta tout sur son passage, la digue qu’Alexandre avait laissé et le tas que j'avais ajouté dans le lit du fleuve meurtrier. Plusieurs litres d’un liquide épouvantable se ruaient vers le tuyau qui permettait à Alexandre de respirer. Il fut irrémédiablement submergé.


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Jeudi 8 juillet 4 08 /07 /Juil 20:21

Ça faisait vingt-quatre heures que j’étais dans cette situation. Ils étaient déçus que l’amas de merde ait tenu et en même temps soulagés qu’il n’ait pas cédé pendant leur sommeil. Ils placèrent un bouchon à l’évacuation de la baignoire puis, ils me détachèrent et me sortirent d’en dessous. Je ne résistai pas et les laissai faire. Lorsqu’ils ôtèrent le ruban qui bouchait mon nez je fus assailli par une puanteur immonde que je ne sentais pas tant que je ne pouvais respirer que par la bouche. Je ne restai pas libre bien longtemps puisqu’ils m’attachèrent les mains dans le dos et m’équipèrent d’un harnais. Alexandre fut descendu de son perchoir. Ils voulaient lui faire prendre ma place sous la baignoire. Ils devaient le glisser délicatement pour ne pas faire s’écrouter le barrage qui s’y était formé et c’était impossible tant il se débattait. Il connaissait le danger qu’il allait courir là-dessous et il faisait tout son possible pour ne pas y aller. Un tampon imbibé de chloroforme mit un terme à ses protestations. C’est un corps inerte et endormi qu’ils placèrent et lièrent sous cet instrument de mort, le tuyau d’évacuation scellé à sa bouche. Quand à moi ils m’accrochèrent sur le treuil et me placèrent au dessus de la baignoire, me placèrent le masque avec le tuyau et l’entonnoir et me donnèrent deux canettes de bière à boire de force.

Ils attendirent qu’Alexandre fût revenu à lui pour lui fermer le nez avec un ruban adhésif et retirer le bouchon de la baignoire. Le barrage suintait lentement et une flaque s’était formée au niveau du bouchon. Alexandre reçut instantanément plusieurs gorgées d’un liquidé nauséabond qu’il avala résigné. Les heures qui allaient suivre seraient autrement plus dramatiques.


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Mercredi 7 juillet 3 07 /07 /Juil 22:55

Ils nous quittèrent en continuant à se marrer. Alexandre ne pouvait continuer sa technique car il avait peur qu’en poussant il ne puisse retenir le contenu de ses intestins, mais il laissait couler puis stoppait ainsi de suite jusqu’à avoir bien soulagé sa vessie. C’était la première fois depuis qu’il était ainsi suspendu qu’il était soulagé de ce coté là, pour peu de temps. Le fait que je doive tout avaler le mortifiait mais il était doublement mortifié maintenant qu’il devait soulager ses trippes. Il tenta la même technique, laisser couler, en espérant ne pas expulser de gros morceaux susceptibles de boucher le tuyau par lequel je respirais. Ce qui en sortit fut une bouillie épaisse, marron foncé et d’une odeur épouvantable qui reste accrochée au fond de la baignoire, au moins je n’aurai pas à avaler ça. Uniquement l’urine de l’assassin, d’un brun dégoutant, coulait jusqu’à ma bouche. Alexandre se vida donc sans crainte déposant une montagne de merde molle et puante sur le plexiglas.
A tour de rôle, un des monstres revenait régulièrement toutes les demi-heures vider deux canettes dans l’entonnoir pour les faire boire à Alexandre et le forcer à les pisser. Il le félicita pour l’immensité de la merde qu’il avait déposée au fond de la baignoire puis il fit faire volte face à Alexandre pour que son jet d’urine arrive en amont du monticule où elle commença à former un lac qui se remplissait à mesure qu’Alexandre pissait. Ils s’en amusaient à chaque fois qu’ils revenaient de voir que le monticule, poussé par le lac d’urine, se déplaçait petit à petit vers le trou d'évacuation.

Ils nous dirent qu’ils resteraient pour assister à la conclusion de tout cela. Même s’ils  enregistraient tout ce que les deux caméras filmaient, le direct n’a pas son pareil pour ce genre de spectacle. Ils en bandaient déjà. La plateforme servit à nouveau. Les deux montèrent dessus pour se soulager au dépends du cul d’Alexandre. Le second soulagea en même temps sa vessie d’un liquide qui n’irait pas grossir le lac puisqu’en ressortant il coulerait en aval du barrage.
La nuit arrivait et le barrage tenait encore. La quantité de liquide en amont devenait impressionnante, d’autant plus qu’ils y pissaient pour grossir le lac. Pendant la nuit il commença à déborder mais le monticule n’avançait plus. Leurs visites se faisaient plus rares. Ils dormaient. Nous ne le pouvions pas mais je m’assoupissais, allongé sous la baignoire, quand rien ne coulait dans ma gorge.


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