Jeudi 8 juillet 4 08 /07 /Juil 20:21

Ça faisait vingt-quatre heures que j’étais dans cette situation. Ils étaient déçus que l’amas de merde ait tenu et en même temps soulagés qu’il n’ait pas cédé pendant leur sommeil. Ils placèrent un bouchon à l’évacuation de la baignoire puis, ils me détachèrent et me sortirent d’en dessous. Je ne résistai pas et les laissai faire. Lorsqu’ils ôtèrent le ruban qui bouchait mon nez je fus assailli par une puanteur immonde que je ne sentais pas tant que je ne pouvais respirer que par la bouche. Je ne restai pas libre bien longtemps puisqu’ils m’attachèrent les mains dans le dos et m’équipèrent d’un harnais. Alexandre fut descendu de son perchoir. Ils voulaient lui faire prendre ma place sous la baignoire. Ils devaient le glisser délicatement pour ne pas faire s’écrouter le barrage qui s’y était formé et c’était impossible tant il se débattait. Il connaissait le danger qu’il allait courir là-dessous et il faisait tout son possible pour ne pas y aller. Un tampon imbibé de chloroforme mit un terme à ses protestations. C’est un corps inerte et endormi qu’ils placèrent et lièrent sous cet instrument de mort, le tuyau d’évacuation scellé à sa bouche. Quand à moi ils m’accrochèrent sur le treuil et me placèrent au dessus de la baignoire, me placèrent le masque avec le tuyau et l’entonnoir et me donnèrent deux canettes de bière à boire de force.

Ils attendirent qu’Alexandre fût revenu à lui pour lui fermer le nez avec un ruban adhésif et retirer le bouchon de la baignoire. Le barrage suintait lentement et une flaque s’était formée au niveau du bouchon. Alexandre reçut instantanément plusieurs gorgées d’un liquidé nauséabond qu’il avala résigné. Les heures qui allaient suivre seraient autrement plus dramatiques.


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