Nous choisîmes de les ignorer. Nos bouches reprirent le baiser si vite suspendu. Nos sexes se gonflèrent encore et même si nous ne pouvions pas nous toucher, mains attachés dans le dos comme nous
les avions, nos torses, notre abdomen et nos pubis se frottaient voluptueusement. Nous jouîmes une première fois comme des puceaux tant notre désir et notre bonheur d’être à nouveau ensembles
était grand alors qu’ils n’avaient toujours pas fini le premier plat.
Après leur départ nos joutes reprirent avant toujours autant d’ardeur. Je lui présentai mon cul. Mais mains pouvaient ainsi lui caresser le sexe et séparer mes fesses entre lesquelles Alexandre
s’enfonça et dans lesquelles je l’accueillis avec joie. Après m’avoir fécondé nous fîmes tous les deux demi tour et je m’enfonçai dans les siennes où je déposai ma semence.