Je cessai quand j’eus vidé la moitié du plat et nous échangeâmes nos positions. Être ainsi empli par cette nourriture encore tiède était étrange mais pas désagréable. J’avais la sensation inverse
de celle que l'on a quand on défèque. Au lieu de me vider je me remplissais. Je savais que je n’aurai pas à garder cella très longtemps et que bientôt j’aurai à l’avaler. Malgré moi je
bandais.
Notre délivrance fut retardée par nos bourreaux. L’un après l’autre ils nous replacèrent sur le sling pour limer notre cul s’enfonçant dans la purée dont nous allions devoir nous sustenter.
- Je rajoute ma sauce, plaisantaient-ils.
- Petite touche maison.
- Vous allez vous régaler mes salauds.
Pas mal, j'ai trouvé celui-ci particulièrement excitant, l'ironie dans la domination sans aucun doute ;)
Merci, j'espère que d'autres passages auront aussi été à ton gout.