Devant notre air interrogatif ils nous expliquèrent que nous devions rapporter la nourriture dans la cellule.
- Bien sur vous n’avez droit qu’à un voyage, précisèrent-ils.
Une fois dans la cellule ils nous retireraient les baillons et nous pourrions manger tout ce que nous y aurions apporté. Alexandre et moi nous comprîmes alors la présence du spéculum depuis la
première séance de cette nouvelle forme de torture.
Ce fut lui qui se prêta en premier à l’opération. Il s’installa sur le sling et j’approchai le spéculum de son fondement. Je le vis grimacer, malgré l’expérience, lorsque j’écartai les lames de
l’appareil. Lorsque son rectum me parut suffisamment ouvert je saisis à pleine main les saucisses et la purée et les lui enfonçai dans les intestins.