Celui qui s'acharnait derrière moi se rapprocha et décocha un coup de pieds entre nos cuisses écartés écrasant nos couilles qui pendaient, vulnérables à merci. Je me serais tordu de douleur si je n'avais autant été écartelé sur le portique. Les lanières du fouet recommencèrent leur travail et s'abattirent pendant de longues minutes même après que le sang coule, puis ils se déshabillèrent et nous prirent sans ménagement ni préparation. Leurs coups de boutoir se répercutaient sur nos membres qui se frottant l’un l’autre nous donnaient beaucoup de plaisir après la torture que nous venions de subir. L’émission de sperme couronna notre jouissance à la grande fureur de nos bourreaux qui voulaient nous punir et non nous faire jouir même si eux s’étaient également épanchés dans nos fondements.