Notre dos fut râpé par le sol de ciment puis se remplit d’échardes lorsque nous arrivâmes au rez-de-chaussée. Ils n’avaient qu’un seul portique, ils nous y attachèrent face à face les membres en crois et en extension maximum, les pieds ne touchant plus le sol. Malgré ma terreur, le contact sensuel avec l’épiderme d’Alexandre me rassurait et m’excitait. Mon membre n’y était pas insensible et quand je sentis des palpitations dans celui de mon amour je bandai instantanément. Ils ne nous avaient pas encore retiré les baillons sinon j’aurai embrassé Alexandre avec la passion la plus brulante que les coups de fouet qui lacéraient nos dos ne pouvaient éteindre.