Eux s’assirent et se masturbèrent en admirant ce spectacle, le boitier de contrôle du treuil entre les mains.
Bientôt mes muscles se tétanisèrent et devinrent douloureux. Il m’était impossible de rester suspendu et immobile, je bougeai bien malgré moi de haut en bas, c’était l’effet désiré par nos tortionnaires, mes fesses frôlèrent la feuille de plexiglas à plusieurs reprises et bientôt un mouvement incontrôlé de plus grande amplitude arracha à Hervé un cri atroce lorsque les clous lui mordirent les couilles. Il perdit connaissance.
Instantanément nos bourreaux actionnèrent le treuil électrique pour nous faire remonter puis s’activèrent à ranimer Hervé. Condescendants, ils nous expliquaient :
- On ne va pas continuer pendant qu’il est évanoui. Il ne sentirait pas la douleur et ça serait du gâchis.