Dans un coin trônait une baignoire transparente en plexiglas, dans un autre un cylindre de la même matière. Une cheminée qui ressemblait à une forge, certainement pour rougir les instruments de torture. Des drapeaux nazis ornaient macabrement les murs. Une croix de Saint-André trainait dans un coin et une autre croix, classique celle là, dans le coin opposé. Hervé était debout contre un établi, mains attachés dans le dos. Ses couilles étaient emprisonnées dans un carcan lui-même fixé à l’établi. Alexandre était sanglé dans un harnais, les mains attachées à une barre accrochée à une chaine elle-même accrochée à un treuil. Il était assis au sol pieds attachés. Ils m’attachèrent à l’identique d’Alexandre, face à lui, fixant le tuyau de mon short au dessus de l’entonnoir pour que je continue à m’abreuver de mon urine. Puis ils s’activèrent sur les couilles d’Hervé en nous faisant profiter de tous les préparatifs et commentant le dispositif.