Au moment de repartir, celui que nous avions attaqué redescendit de son engin, s’approcha de moi qui avait voulu le tuer, défit sa braguette, sorti son engin d’une autre nature, visa et m’arrosa de sa pisse fumante, depuis le haut de crâne jusqu’à mes jambes. Le soulagement dû à la chaleur de son urine fût à peine perceptible, avec le vent qui soufflait le liquide gela presque aussitôt sur ma peau nue me glaçant jusqu’aux os. Puis je le vis remonter sur son scooter et démarrer. Le claquement recouvrait presque totalement le bruit des moteurs qui s’éloignaient jusqu’à disparaitre.