Je lui dis que je pouvais sortir le temps qu’il fasse ses besoins mais il me répondit que ce n’était pas nécessaire et sans aucune pudeur, bien au contraire, restant face à moi, il commença à ouvrir sa ceinture, baisser sa braguette, puis il fit tomber ses pantalons sur ses chevilles. Son érection était immense dans son boxer rouge. De deux coups de pieds il se débarrassa de ses chaussures et de son pantalon. Son besoin pressait pour qu’il puisse prendre le temps de me faire un striptease dans les règles de l'art, alors il n’attendit pas pour faire glisser son boxer et m’apparaître dans toute sa splendeur. D’un coup de pied il l’envoya de l’autre coté de la minuscule pièce et il s’agenouilla pour poser son cul sur le pot. Il lui était impossible d’uriner avec une telle érection mais ce n’était pas le plus urgent. Avec ses mains il se saisit du bas de son t-shirt et le retira d’un mouvement circulaire très gracieux. À l’exception de ses chaussettes il m’apparaissait nu.
Mon érection, quoi que masquée par mon pantalon, était au moins aussi intense que la sienne lorsqu’il me dit :
- tu vas pas rester habillé alors que je suis à poil ?
Il ne me fallut pas plus de quinze secondes pour tout retirer, chaussettes comprises, et lui montrer l’état dans lequel il m’avait mis. Soudain son visage changea, de gai il passa par la crispation pour arriver à l’extase. On aurait pu croire qu’il atteignait le paradis alors qu’il expulsait le contenu de ses intestins dans un soupir d’aise et de jouissance. En lui tendant le papier je lui donnai les consignes de mes propriétaire en lui disant de ne pas le jeter dans le pot. Il me proposa de m’en occuper moi-même, se leva et, penché en avant, me présenta ses magnifiques fesses. Je pris une feuille et m’approchai. Je déposai un baiser sur ses reins tout l’essuyant. Je continuai à baiser son dos et ses fesses où les poils blonds faisaient un doux duvet en le nettoyant consciencieusement. Au comble de l’excitation j’ouvris ses fesses des deux mains pour déposer un baiser sur sa rondelle, puis je ne résistai pas à l'envie de sortir la langue pour la gouter. Je la léchai longuement, encouragé par ses gémissements, elle avait un gout délicieux qui ne me dégouta pas. Plus tard je me ferai la remarque que je n'aurai jamais pu faire la même chose à un autre garçon.
peut être voulez vous dire "par"