Le spectacle était fini. Je réalisai qu’Alexandre n’a même pas mis un préservatif.
Il faudra que je remette les pendules à l’heure concernant l’utilisation du préservatif. Ceci me traversa l’esprit rapidement et je me dis que ce n’est pas le moment, alors que ça aurait très bien pu être le moment. Je saivais qu’Alexandre était puceau avant de me rencontrer, il savait que je l’étais aussi avant d’arriver à Paris mais il ne savait rien de ce que j’avais fait depuis ni si j’avais toujours pris mes précautions. Je me promis d’avoir une discutions sérieuse avec lui le plus tôt possible.
En attendant, Alexandre pesa de tout son poids sur mon dos. Ses mains avaient repris mon sexe qui n'en pouvait plus et je m'affalai sur la porte dans un fracas assourdissant alors qu’il me pilonnait le cul avec une énergie redoublée. Mon cri de douleur initial s’était transformé en un hurlement de plaisir. Si le livreur était resté derrière la porte il ne pouvait ignorer le plaisir que l’on prenait, je lui souhaitai d’avoir de l’imagination. J'eus la confirmation qu'il était bien derrière la porte au moment où je l’entendis taper timidement. Aussitôt, dans un ultime grognement de plaisir qui aurait couvert le bruit d’un avion au décollage, mon sperme jaillit pour éclabousser le bois.