Dimanche 6 décembre 7 06 /12 /Déc 21:19

Il contourna le garçon effondré et paniqué et présenta son membre turgescent, quelle différence par rapport à tout à l’heure quand il était encore flasque, à l'entrée du fondement de le garçon et le pénétra violemment sans préparation. Il était dans un état d’excitation qui allait le mener à l’orgasme très rapidement. Le garçon pria, lui qui n'était pas croyant, pour que ce ne soit pas le cas car son orgasme coïnciderait avec sa mort. Ses yeux se révulsaient, son halètement se faisait plus court entrecoupé de courtes apnées, ses coups de reins devenaient plus puissants. Puis il s’immobilisa.

- Oh putain ! C'était moins une. Tu voudrais tout de même pas que je jouisse trop tôt.

L'assassin ne voulait pas écourter son plaisir, il voulait en profiter au maximum. Il avait décidé de laisser retomber la pression.

- Je vois combien t’aimes ça, salope, tu bandais pas comme ça tout à l'heure.

Aussi incroyable que ça puisse paraître, le garçon bandait. Il se souvint qu'il avait lu quelque part que les pendus au seuil de la mort avaient une superbe érection et que certains même polluaient leurs dessous. L'homme se saisit de sa queue et le branla vigoureusement puis il recommença à lui limer le cul. Sa frayeur lui faisait un peu oublier la matière qu'il avait dans la bouche et qu'il ne pouvait recracher. Il essayait surtout de ne pas y penser. L'homme se retira subitement et douloureusement de son cul et se dirigea vers le sac qu’il avait posé à coté de la porte, à coté de ses vêtements. Il en retira un cockring en cuir, un petit maillet en latex noir et un rouleau de film plastique transparent, du genre de celui qui sert à emballer les aliments avant de les glisser dans le frigo. Il fit des tours de la tête de le garçon avec le film plastique, au moins une dizaine, le garçon en perdit le compte, depuis le cou jusqu’au crâne. Il prenait soin de ne pas lui boucher les narines pour le laisser respirer. Sa bouche était désormais totalement hermétique, sa vision déformée par le film. Il le contourna, lui saisir les couilles à la base qu'il tira pour y installer le cockring. Elles faisaient un beau petit paquet serré qui tenait droit tout seul. Il s’introduisit à nouveau sans prévenir entre les fesses, de la main gauche saisit sa bite et de la droite le maillet. Le garçon paniquait en s’attendant au pire, certain que rien ne pouvait l’arrêter puisqu'il avait déjà commis un meurtre.


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