J'eus droit alors au fouet. Un par devant, l'autre par derrière, ils s'acharnèrent pendant de longues minutes à me lacérer le corps avec les lanières de cuir coupant, n'épargnant rien, ni mes jambes, ni mes fesses, ni même mon sexe. Surtout mon sexe. Ils ne visaient plus que lui après un moment. Un des deux salauds vint même me masturber pour le faire grandir et me décalotter pour pouvoir frapper directement et infailliblement mon gland. Je ne pouvais rien faire pour éviter les coups. Je sentais que si je me débattais trop je risquais de me rompre une cervicale ou de m'écraser le larynx. Ils se fatiguèrent quand je ne réagis presque plus. Ils me déposèrent alors au sol et un des deux me chargea, à moitié mort, sur son dos pour aller me déposer dans la cellule tandis que l'autre reliait le collier d'Alexandre au treuil et le sortait du liquide par le cou.