Jeudi 10 décembre
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20:23
Les coups cessèrent. L'homme resta planté dans le cul attendant que sa pression diminue. Le garçon ne savait plus s'il fallait accélérer sa jouissance afin de hâter la fin de ses souffrances ou
prier pour qu'il ne jouisse pas avant la fin du temps qui lui était imparti, espérant ainsi être sauvé. L'homme regarda sa montre, puis sourit pour annoncer quinze minutes encore. L’éternité qu’il
avait passé à lui exploser les couilles n'avait donc duré que trois minutes. Et il lui restait cinq périodes identiques à subir. Un hurlement de désespoir étouffé s’échappa de sa bouche. Son
désespoir était à son paroxysme lorsque les coups reprirent. Son plaisir était de le voir souffrir intensément avant de le mettre à mort, ou peut être de le mettre à mort par la souffrance. Dans
les deux cas il allait être comblé. Il allait avoir ses quinze minutes de barbarie.
On cogna à la porte pour annoncer :
- plus que cinq minutes.
Pendant les dix minutes qui venaient de passer l'homme avait fait deux pauses, au bord de l’orgasme, pour calmer son excitation. Le corps de le garçon n'était plus qu'un amas de douleur intense :
de ses couilles elle irradiait dans ses cuisses et ses abdominaux où les muscles meurtris de ses convulsions incontrôlés se tétanisaient. Ses bras et ses jambes étaient blessés par les menottes.
L'homme se retira alors de son cul et commença à se rhabiller. Il alla jusqu’à mettre ses chaussures et le garçon pensa alors que mon supplice était fini et que l'homme lui laisserait la vie
sauve mais il me trompait gravement. L'homme n’avait laissé que sa braguette et la ceinture de ses pantalons ouverts d’où sortait un membre turgescent qui n'avait pas encore craché.
Il se saisit du rouleau de film plastique, s’approcha de la tête du garçon et dit :
- Prend une forte inspiration, ça va être ta dernière.
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