Mardi 1 décembre 2 01 /12 /Déc 22:54

A son arrivée, l'autre garçon, envoyé par un autre protecteur, attendait. La fonction de chacun allait dépendre d’un premier test, un test de résistance, auquel ils furent soumis et que J. perdit haut la main. On leur installa des électrodes aux seins et aux couilles, toutes reliées à la même machine, et ils devaient résister le plus longtemps au courant dont l’intensité augmentait graduellement. Celui qui arrachait ses électrodes le premier pour se soustraire à la morsure de l'électricité perdait. J. perdit. Ce qu'ils ne leur avaient pas dit c’est que c’était le perdant qui allait faire l’office du supplicié. Pour que les invités apprécient au maximum leur séance il convenait que le supplicié réagisse un maximum aux sévices. Le gagnant n’était là que pour surveiller le déroulement de la soirée, placer un bâillon sur le supplicié quand la bouche de celui-ci n’était pas utilisée et stopper ceux qui voulaient aller trop loin et forcer ceux qui n’utilisaient pas de préservatif pour la sodomie à en mettre un. Si un invité était stoppé dans ses désirs par le surveillant il pouvait faire appel à l’assemblée des présent qui devait arbitrer le bien fondé de l’interdiction. Si l’assemblée jugeait celle-ci abusive alors l’invité pouvait s’exécuter mais les rôles du supplicié et du surveillant étaient inversés. Autant dire que le surveillant devait réfléchir à deux fois avant d’arrêter un invité.

Jusqu’alors cela n’avait pas été trop dur pour J. hormis quand un invité voulut lui tapoter les couilles. Comme il s'était protégé en resserrant mes genoux l'invité avait demandé à ce qu’on les lui attache aux chaînes pour lui laisser le champ libre et il eut satisfaction et depuis ce moment là il était impossible à J. de resserrer les cuisses. Il voyait les couilles de l'actuel invité aller, revenir puis s’écraser sur mon nez pour repartir et revenir, et au delà, s'il avait eu l'esprit assez clair, il aurait pu admirer une magnifique reproduction de La Luxure de Buffet accrochée au mur. Il laissait faire sachant qu'il ne pouvait rien faire d’autre et que s'il se détendait la séance serait moins éprouvante. Il essayait de ne pas penser à mon cul douloureux qui devait être aussi ouvert que le tunnel sous la manche. Il n’avait que rarement été pénétré avant ce soir. Il ne bandait plus, ne prenait aucun plaisir, il n'était que deux fourreaux pour deux bites qui limaient en cadence et qui allaient bientôt se vider. Ce qui lui était indifférent vu qu'après celles là en viendraient d’autres, et encore d'autres.

Aux râles et aux coups de butoir plus puissants il sut que celui qui l’enculait jouissait. Les gémissements de celui qui lui limait la gorge s’accélèrent et tout à coup il s’immobilisa au fond de sa gorge le privant totalement d’air. J. sentit son membre pulser et expulser sa semence dans mon gosier. Ses couilles étaient plaquées sur son nez, ses poils le chatouillaient. Il dut faire un effort surhumain pour que les restes du repas précédent ne remontent pas en espérant que ce pieu allait se retirer avant que le point de non retour soit atteint.


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