Un des deux se saisit d’un rouleau de papier adhésif et je compris mon erreur. Il en coupa une bande d’une vingtaine de centimètres qu’il plaça sur mon nez, débordant de quelques centimètres sur ma lèvre supérieure.
- On va voir si comme ça t’avales.
Puis il pinça la partie qui débordait me coupant toute arrivée d’air par mon nez. Il ne me restait qu’une solution, avaler rapidement tout le liquide afin de pouvoir respirer par la bouche. Mais la quantité était déjà énorme et, si je ne réussissais pas à vider le tuyau avant de manquer d’air j’allais me noyer. Alexandre se mit à les insulter puis à les prier pour qu’ils me laissent respirer.
- Il n’avait qu’à boire avant.